Citations sur reveil

C'est une chose merveilleuse de voir combien sérieusement et vivement il décrit son réveil comme en sursaut au milieu de la nuit

Afin de provoquer pour la mémoire de Fouquet un réveil de l'attention publique, il faudrait apporter un contingent de divulgations nouvelles

Un sommeil inquiet sur de confus nuages Élève incessamment de flatteuses images, Et sur le vain rapport fait naître des souhaits Que le réveil admire et ne dédit jamais

Un songe.... Qui d'un amas confus des vapeurs de la nuit Forme de vains objets que le réveil détruit

Je sais ce qu'est un songe et le peu de croyance Qu'un homme doit donner à son extravagance, Qui d'un amas confus des vapeurs de la nuit Forme de vains objets que le réveil détruit

Mourons ; que craindre encor quand on a cessé d'être ? La mort, c'est le sommeil.... c'est un réveil peut-être !

La mort, c'est le sommeil ; c'est un réveil peut-être.... Peut-être ! ah ! c'est ce mot qui glace épouvanté L'homme au bord du cercueil par le doute arrêté

Votre tante n'est encore qu'éveillée ; et, entre le réveil et la sortie d'une demi-vieille, il y a bien des cérémonies de toilette

Toute la vie n'est peut-être qu'un songe continuel ; peut-être que le moment de la mort sera un réveil soudain

Voilà un réveil assez gai et assez bouffon

Voilà, dit le chevalier, un réveil assez gai et assez bouffon ; et à qui en as-tu donc, ou si c'est aux anges que tu ris ?

Le réveil suit de près vos trompeuses ivresses, Et toutes vos richesses S'écoulent de vos mains

....à son réveil il treuve L'attirail de la mort alentour de son corps

À son réveil il trouve L'attirail de la mort alentour de son corps

Ce réveil incertain d'un être qui s'ignore, Cet espace infini s'ouvrant devant ses yeux, Ce long regard de l'homme interrogeant les cieux

Et qu'est-ce que la vie ? Un réveil d'un moment ! Labyrinthe sans clef ! question sans réponse !

Comme une grande image Survit seule au réveil dans un songe effacé

Mon coeur à ce réveil du jour que Dieu renvoie.... Murmure en s'éveillant son hymne intérieur, Demande un jour de paix, de bonheur, d'innocence

Quand son oeil s'entr'ouvre pareil Au rayon de l'aube première, D'un enfant le premier réveil Est moins pur aux yeux de sa mère

En quel insensible sommeil, Europe, restes-tu plongée ! Le cri de la Grèce égorgée Ne hâte-t-il pas ton réveil ?

Ô réveil plein d'horreur ! ô songe peu durable !

Quoi ! tandis que Néron s'abandonne au sommeil, Faut-il que vous veniez attendre son réveil ?

De tous ces vains plaisirs où leur âme se plonge Que leur restera-t-il ? ce qui reste d'un songe Dont on a reconnu l'erreur ; à leur réveil (ô réveil plein d'horreur !)....

Quoi ! tandis que Néron s'abandonne au sommeil, Faut-il que vous veniez attendre son réveil ?

Dès que le moment de ce réveil terrible sera venu, dès qu'ils [les peuples] auront pensé qu'ils ne sont pas faits pour leurs chefs, mais que leurs chefs sont faits pour eux