Citations sur moliere

Et qu'il vaut mieux souffrir d'être au nombre des fous, Que du sage parti se voir seul contre tous

Sans que mille accidents ni votre indifférence Aient pu me détacher de ma persévérance

Que cherchez-vous, cavalier, dans cette maison ?

Cependant arrivé, vous sortez bien et beau, Sans prendre de repos ni manger un morceau

La naine, un abrégé des merveilles des cieux

Et ce fameux secret vient d'être dévoilé

Diable ! Que diable faire ? Où diable va-t-il prendre tout ce qu'il dit ? Que diable est-ce là, les gens de ce pays-ci sont-ils insensés ?

Dans les choses qui dépendront de notre métier

Que vient de te donner cette farouche bête ? - Cette lettre, monsieur, qu'avecque cette boîte....

J'admire ma simplicité et la faiblesse de mon coeur

Ils ne sauraient servir, mais ils peuvent vous nuire

Le valet lui faisait comprendre à tous coups l'impertinence de ses propositions

J'y suis trop engagé pour en avoir le démenti

J'ai ton fait

Et ne vais point chercher, pour m'estimer heureux, Si Mascarille ou non s'arrache les cheveux

Le commissaire viendra bientôt, et l'on s'en va vous mettre en lieu où l'on me répondra de vous

Mais je lui disais, moi, qu'un froid écrit assomme

Aux brocards de chacun vous alliez vous offrir

[Il] Verra, que vous croyez, la promesse accomplie....

À quoi bon se montrer et, comme un étourdi, Me venir démentir de tout ce que je di ?

Et soyez averti Que renfermer sa femme est un mauvais parti

Votre fluxion ne vous sied point mal, et vous avez grâce à tousser

Aussi est-ce à vous seul qu'on voit avoir recours toutes les muses nécessitantes ; vous êtes la grande protectrice du mérite incommodé

La Nuit : Et vos ailes aux pieds sont un don de leurs soins [des dieux]. - Mercure : Oui, mais, pour aller plus vite, Est-ce qu'on s'en lasse moins ?

Je veux pour espion qui soit d'exacte vue, Prendre le savetier du coin de notre rue