Citations sur moliere

Allons, courons avant que d'avec eux il sorte

Mais au moins sois complaisante aux civilités qu'on te rend

Qui se sent morveux, qu'il se mouche

Quelque tempête va renverser mes desseins, Et ce secret sans doute est celui que je crains

J'ai voulu l'acheter, l'édit, expressément, Afin que d'Isabelle il soit lu hautement

Et c'est trop condamner ma bouche d'imposture

Ce n'est pas s'expliquer en termes ambigus

Cela ne vous offense point ; il ne tombe entre lui [votre père] et vous aucun soupçon de ressemblance

Chargez-le comme il faut, monsieur, et rendez les choses bien criminelles

Vous devriez brûler tout ce meuble inutile, Et laisser la science aux docteurs de la ville

Votre zèle pour moi s'est trop inquiété

Lélie : Si tu m'es inflexible, Je m'en vais me tuer. - Mascarille : Soit, il vous est loisible

La ballade, à mon goût, est une chose fade ; Ce n'en est plus la mode ; elle sent son vieux temps

Si le roi m'avait donné Paris, sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie....

Et sa morale faite à mépriser le bien Sur l'aigreur de sa bile opère comme rien

La grasse est, dans son port, pleine de majesté

Un coeur ne pèse rien, alors que l'on l'affronte

Comme au point allait la politique

Comme la partie n'est pas égale, il faut user de stratagème et éluder adroitement le malheur qui me cherche

Et, de son large dos morguant les spectateurs, Aux trois quarts du parterre [il] a caché les acteurs

On vous voit en tous lieux vous déchaîner sur moi

Ah ! ruban tant qu'il vous plaira ; mais ce le où elle [Agnès] s'arrête n'est pas mis pour des prunes ; il vient sur ce le d'étranges pensées, ce le scandalise furieusement ; et, quoi que vous puissiez dire, vous ne sauriez défendre l'insolence de ce le

Oui, ma foi, cela vous rendrait la jambe bien mieux faite

On est faite d'un air, je pense, à pouvoir dire Qu'on n'a pas pour un coeur soumis à son empire

De quel démon est donc leur âme travaillée ?