Citations sur ib. v 3

Et que vos conjurés entendent publier Qu'Auguste a tout appris, et veut tout oublier

Ah ! fallait-il en croire une amante insensée ? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée ?

Il tient en ma faveur leur naissance couverte

Sa confidence auguste a mis entre mes mains Des secrets d'où dépend le destin des humains

Après avoir deux fois essayé la menace....

C'est toi dont l'ambassade, à tous les deux fatale, L'a fait pour mon malheur pencher vers ma rivale

Petit poisson deviendra grand, Pourvu que Dieu lui prête vie

Vous, dès que cette reine, ivre d'un fol orgueil, De la porte du temple aura passé le seuil

Votre sincérité s'y fait assez paraître

Mais voyez quelle insolence de vouloir retenir le vol qu'il m'a fait !

Faites, faites, monsieur, les choses à ma tête

Une céleste flamme D'un rayon prophétique illumine mon âme

Holagu Ilecoukan, un de leurs souverains [des Perses], rassembla les astronomes les plus instruits à Maragha, où il fit construire un magnifique observatoire

Et mettre en ton esprit cet éternel effroi Que le crime en tous lieux met aux âmes sans foi

Et que demain l'hymen couronne leur amour

Le changement, madame, est commun à la cour

Et quand la mort viendra frapper votre jeunesse Vous chercherez partout des yeux consolateurs

Et faites retentir jusques à son oreille De Joas conservé l'étonnante merveille

Sentiments mélancoliques

On craint qu'après sa soeur [qu'il avait tuée] il n'en maltraite d'autres

Tu permis, Scipion, les lâchetés d'un prince

Je réponds d'une paix jurée entre mes mains

Que sur son passage Tout d'un calme profond lui présente l'image

La tendresse n'est point la vertu des héros

Ce crime quoique grand, énorme, inexcusable