Citations sur victor hugo

Au quinzième siècle.... l'université couvrait la rive gauche de la Seine, depuis la Tournelle jusqu'à la tour de Nesle

Comme les écailles D'un lézard changeant

Que la ville étagée en long amphithéâtre....

Ayant ceci présent qu'il était votre aïeul Celui qui vient de cheoir de la pourpre au linceul

Et moi, je vais rester, souffrir, agir et vivre ; Voir mon nom se grossir dans les bouches de cuivre De la célébrité

Que je voie.... Les étoiles des chars se croiser dans les rues, Et serpenter le peuple en l'étroit carrefour

Souvent sa robe diaprée [de la demoiselle, insecte], Souvent son aile est déchirée Aux mille dards des buissons verts

Hélas ! mon père [Louis XVI] est mort d'une mort bien amère ; Ses bourreaux, ô mon Dieu, m'ont abreuvé de fiel

Une duègne, affreuse compagnonne Dont la barbe fleurit et dont le nez trognonne

L'oeil ose à peine atteindre à sa face sereine [du glacier], Tant il est avant dans les cieux !

Parmi les fleurs J'entends les gais pinsons et les merles siffleurs

Puis c'étaient des bijoux, des colliers, des merveilles.... Des tissus plus légers que des ailes d'abeilles

Combien vivent joyeux, qui devaient, soeurs ou frères, Faire un pleur éternel de quelques ombres chères !

Vous aimez madame et ses yeux noirs, Vous y venez mirer les vôtres tous les soirs

Ami, cache ta vie et répands ton esprit

Fantastiques beautés, ce lugubre sourire M'annonce-t-il votre courroux ?

Allez, allez, ô jeunes filles, Cueillir des bluets dans les blés

Dors, ô fils d'Apollon ; ses lauriers te couronnent ; Dors en paix : les neuf soeurs t'adorent comme un roi ; De leurs choeurs nébuleux les songes t'environnent, La lyre chante auprès de toi

Ma muse, égarant son essor, Ose aux noms profanés qu'un vain orgueil proclame, Mêler ce chaste nom que l'amour dans mon âme A caché....

Que m'importe après tout que depuis six années Ce roi fût retranché [Charles X] des têtes couronnées ?

Car Dieu mit ces degrés aux fortunes humaines ; Les uns vont tout courbés sous le fardeau des peines ; Au banquet du bonheur bien peu sont conviés

On vous voyait [mes odes].... Demander aux temps gothiques Leurs vieux contes toujours nouveaux

La tour hospitalière Où je pendrai mon nid

Mais tu n'aimes qu'un temps comme notre hirondelle, Moi, je t'aime comme je vis

Comme elle court [Lazzara] !... Par les chemins perdus, par les chemins frayés