Citations sur bÉrang.

Aux déités, fables des vieux empires, Nous opposons des diables peu tentants

Malheureusement je n'ai pas l'amour des sinécures....

À ton revers j'admire une reprise ; C'est encore un doux souvenir

Chaque siècle a son amusette

Fourier nous dit.... Peuple.... Travaille, groupé par phalange, Dans un cercle d'attractions

Muse, de vos chansonnettes Aujourd'hui l'on va tâcher De faire des allumettes Pour ranimer ce bûcher [de l'Émile]

Les anciens préjugés renaissent ; On va quitter les pantalons

Au détour d'une eau qui chemine à flots purs, sous de frais lilas, Vous avez vu notre chaumine

Combien la nature est féconde En plaisirs ainsi qu'en douleurs !

Seul il [le drapeau tricolore] peut voiler nos malheurs ; Déployons-le sur la frontière

Le vois-tu bien [le bonheur] là-bas, là-bas, Là-bas, là-bas, c'est en Asie ? Roi, pour sceptre il porte un damas Dont il use à sa fantaisie

Je l'avais, dès la veille, Fait fuir de ton boudoir

Le lendemain l'époux cent fois Raconte à la noce égayée....

Mes amis, fâché de la peine ; Surtout ne tirez point trop bas

Oui, je suis un pauvre sauvage Errant dans la société

Les valets, troupe chamarrée, Troquant aujourd'hui leur livrée

Et toi, peuple animal, Porte encor le bât féodal

Vos pieds dans le satin N'osent fouler l'herbette

Voir, c'est avoir, allons courir, Car tout voir c'est tout conquérir

Ce noble mortel Marche en brandissant Un sabre innocent

Vous applaudissiez aux lumières D'un siècle aveugle et perverti

Au soir des ans doit sembler doux Ce chant qui nous a charmés tous

Dans ce Paris plein d'or et de misère, En l'an du Christ mil sept cent quatre-vingt, Chez un tailleur, mon pauvre et vieux grand-père, Moi nouveau-né, sachez ce qui m'advint

Tel qu'aux déserts parfois brille un mirage, Aux coeurs vieillis j'offre un doux souvenir

C'est presque un cercle académique, Me disait maint esprit caustique