Citations sur bÉrang.

C'est nous qui fessons, et qui refessons Les jolis petits, les jolis garçons

Vingt fois pour vous [plaisirs] j'ai mis ma montre en gage

Jeté sur cette boule, Laid, chétif et souffrant, Étouffé dans la foule, Faute d'être assez grand ; Une plainte touchante De ma bouche sortit ; Le bon Dieu me dit : chante, Chante, pauvre petit !

Denys, sur moi fais donc vite un couplet

Béni sois-tu, vin détestable ! Pour moi tu n'es point redoutable

Toutes fragiles fleurs, sitôt mortes que nées

Encore une étoile qui file ?... Mon enfant, quel éclair sinistre ! C'était l'astre d'un favori Qui se croyait un grand ministre Quand de nos maux il avait ri

Tel vécut sur un piédestal, Qui n'aura jamais de statue

J'ouvre, bon Dieu ! c'était lui [Napoléon 1er] Suivi d'une faible escorte ; Il s'asseoit où me voilà, S'écriant : oh ! quelle guerre ! Il s'est assis là, grand'mère, Il s'est assis là !

Ce pauvre diable ainsi parlant Mettait en gaieté tout l'hospice

Chez nos descendants on n'aura.... Pas même un aimable vaurien

Si du trône, par occurrence, Un roi tombait, que subito On le ramène en son château

Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu ! te quitter c'est mourir

Aux gens atrabilaires Pour exemple donné, En un temps de misères Roger Bontemps est né

Un diable cornard effronté, Vilains, ici guette vos belles

Je ne tiens qu'au refrain bachique Par le tournebroche annoncé

Ce successeur de Charlemagne, De simple mérita le nom

Avec son habit un peu mince, Avec son chapeau goudronné, Comme l'honneur de la province Ce bourguignon [vin de Bourgogne] nous est donné

Déjà le sort a soufflé dans les voiles, Déjà l'espoir prépare les agrès

D'un sot à face rubiconde, Ils [nos fils] feront un épicurien

Les échasses de l'étiquette Guindent bien haut un coeur bien bas

Roses d'automne, effeuillez-vous pour elle, Tous les amours ne sont pas envolés....

Mille vaisseaux iront sur l'onde, Chargés de vins, et de fleurs pavoisés

J'y vois de gros gardes Cuirassés de bardes, Portant hallebardes De sucre candi

Humanité, règne, voici ton âge, Que nie en vain la voix des vieux échos