Citations sur bÉrang.

Mon coeur en belle haine A pris la liberté

Peut-être un cafard qui sait peindre Jusqu'au charme de la vertu

La presse éclaire, et le gaz illumine, Et la vapeur vole aplanir les mers

Chaque siècle a son amusette

Dansez vite, obéissez donc, Il est le roi du rigodon

Le plus grave ordonne à l'instant Vingt galoubets pour mon escorte

Dans la soupente d'un portier, Je naquis au rez-de-chaussée

Le ciel nous dote D'une marotte Tour à tour grave et quinteuse et falote

D'un sot à face rubiconde Ils [nos fils] feront un épicurien

De la halle on dirait deux forts : Peut-être ce sont des milords

S'il faut mon sang pour la victoire, Agnès, tout mon sang coulera

Près de la borne où chaque État commence, Aucun épi n'est pur de sang humain

Lise, ne fais plus de conquêtes Pour le bonheur de tes sujets

Non, chez nous point, Point de ces coups de poing Qui font tant d'honneur à l'Angleterre

J'en sais [des chapons] qui sont bons maris, Qui même ont de la famille

Dans nos palais, où près de la victoire Brillaient les arts, enfants des beaux climats, J'ai vu du nord les peuplades sans gloire De leurs manteaux secouer les frimas

Non, non, vous ne passerez pas, Dit le soldat, c'est ma consigne

Que ma saison dernière Soit encore un printemps

De soupçons jaloux assiégé, Dorval n'a ni bu ni mangé

Nos fils, ne se reposant guère, Batailleront à tout propos

Vivandière du régiment, C'est Catin qu'on me nomme

Des Anacréons j'ai la liste ; Ils encombrent ville et faubourgs

Quand secouerai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs [du drapeau tricolore] ?

On aura fait quelque conte, Et de dépit transportés Peut-être ils règlent le compte De leurs infidélités

Et mon riche habit me conseille D'apprendre à m'incliner bien bas