Citations sur bÉrang.

Monsieur Judas est un drôle Qui soutient avec chaleur Qu'il n'a joué qu'un seul rôle

La liberté va rajeunir le monde

Payant tribut à l'attribut De sa gaîté falote [de Mo mus]

J'ouvre, bon Dieu ! c'était lui [Napoléon 1er] Suivi d'une faible escorte ; Il s'asseoit où me voilà, S'écriant : oh ! quelle guerre ! Il s'est assis là, grand'mère, Il s'est assis là !

Des fleurs de votre teint Où faites-vous emplette ?

Le bon vin Pour toi ne vieillit pas en vain, Beau joueur d'orgue au service divin

N'est-on pas las d'ambitions vulgaires, De sots parés de pompeux sobriquets ?

Par la cartouche encor toute noircie Leur bouche est prête à flatter les tyrans

Aux jeunes gens racontes-en l'histoire [des trois journées de juillet] ; Guide leur nef, instruis-les de l'écueil ; Et, de la France un jour font-ils l'orgueil, Va réchauffer ta vieillesse à leur gloire

Si nous t'enterrons, Bel art dramatique, Pour toi nous dirons La messe en musique

D'un lutin c'est tout l'esprit, C'est un coeur de tourterelle

Grands dieux ! combien elle est jolie ! Et pour moi ses feux sont constants

Ne souffrons pas qu'elle bourdonne, Qu'elle bourdonne autour de nous

Il [l'homme] prend nos amours pour modèles ; Mais nos guenons nous sont fidèles

Un festin que Rose apprête, Gaîment par nous est dressé

L'indigence glane chez d'autres, Mais elle moissonnait chez lui [un riche]

Que la beauté vous charme et vous attire ; Dans ses bras coulez tous vos jours

Notre ami s'est fait à table D'un brigand bien redoutable Le fidèle historien

Auprès de ta femme, sans crainte, Se glisse un chasseur franc luron

Buvez un peu ; c'est dans le vin qu'on noie L'ennui, l'humeur et les chagrins

À courir les fillettes.... Il s'est couvert de dettes

Les bigots, par rancune, Au sorcier criaient tous

Vous avez vu tomber la gloire D'un Ilion trop insulté

Vois déjà briller dans mes regards Tout le feu dont mon sang bouillonne

C'est un charme que la mémoire ; On se répète jeune ou vieux