Citations sur bÉrang.

J'en sais [des chapons] qui sont bons maris, Qui même ont de la famille

Chamarré de vieux oripeaux, Ce roi, grand avaleur d'impôts, Marche entouré de ses fidèles

Garnissant sa quenouille immense, Clotho lui dit : oui, travaillons

On lit dans une dédicace Qu'en latin il citait Horace

L'étranger envahit la France, Et je maudis tous ses succès

Fi ! dites-vous ; sous l'épigramme Ces fous rêveurs [Fourier, St-Simon, Enfantin] tombent tous trois

Çà, mesdames, qu'en pensez-vous ? C'est à vous de juger les coups. Quoi ! ce spectacle vous atterre !

Joyeux chasseurs d'Ille-et-Vilaine, De votre cor je prends le ton

Retroussant ma moustache blonde, Sous un uniforme brillant

En fait de vin, qu'on se montre savant

Fi des coquettes maniérées ! Fi des bégueules du grand ton !

Pauvres enfants ! de fantômes funèbres Quelque nourrice a peuplé vos esprits

Qu'un fat soit l'aigle des salons, Qu'un docteur sente l'ambre.... Paris, enclin au trait malin, Grâce à nous les ballotte

Près de la cuve qui bouillonne On voit s'égayer le vieillard

Fi des coquettes maniérées ! Fi des bégueules du grand ton !

Heureux villageois, dansons

Tu réveilles ta maîtresse, Minette, par tes longs cris

Deux saisons règlent toutes choses, Pour qui sait vivre en s'amusant : Au printemps nous devons les roses, à l'automne un jus bienfaisant

Reine des flots, sur ta barque rapide, Vole en chantant, au bruit des longs échos ; Les vents sont doux, l'onde est calme et limpide, Le ciel sourit ; vogue, reine des flots

De ce couple qui s'aime Livrons la vie au sarcasme des cours

Tout roi que la peur désenivre Nous prodigue aussi les joujoux

Oui, dit l'ange, et je te fis don Des trois besaces d'un vieux moine

Après un coup de romanée, La douche ayant calmé mes sens, J'ai maudit ma muse obstinée à railler les hommes puissants

Vous qu'afflige la détresse, Croyez que plus d'un héros Dans le soulier qui le blesse Peut regretter ses sabots

C'est Mirabeau tonnant contre la cour ; Sa voix nous crie : encore une bastille