Citations sur bÉrang.

Sur le dos des gens du village Après boire il cassait les pots

Près des femmes que sommes-nous ? Des pantins qu'on ballotte ; Messieurs, sautez, faites les fous Au gré de leur marotte ; Le plus lourd et le plus subtil Font la danse complète ; Et Dieu pourtant n'a mis qu'un fil à chaque marionnette

Des erreurs de l'espèce humaine Dieu veut que chacun ait son lot

Je crois qu'un ordre exprès des cieux Tient en haleine la sagesse

....Imprégné des flots de musc et d'ambre Qu'un fat exhale en se mirant

Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré

Grâce à moi [muse] qu'il rendit moins folle, D'être gueux il se consolait

Ah ! la muse de Collé, C'est la gaudriole ô gué ! C'est la gaudriole

[Le portrait du roi d'Yvetot] C'est l'enseigne d'un cabaret Fameux dans la province

Mais qu'un tendron te tire par la basque, Tu lui souris

Les champs de Rome ont payé mes exploits, Et j'en rapporte un cep de vigne

Mettre un manteau de bure, Vieil ami de vingt ans

Il eût de la pomme d'Ève, Ah ! Croqué jusqu'au dernier pepin

Deux saisons règlent toutes choses, Pour qui sait vivre en s'amusant : Au printemps nous devons les roses, à l'automne un jus bienfaisant

il se tord

Oui, sur Probus, prince équitable, Il [le vin] nous souffle un chorus flatteur

Petite bonne agaçante et jolie

Quand le vin tape L'époux qu'on drape, Que sur la nappe Il s'endort à point

S'il faut mon sang pour la victoire, Agnès, tout mon sang coulera

Les échasses de l'étiquette Guindent bien haut un coeur bien bas

Des astres faux conjurez l'influence ; Effroi d'un jour, ils pâliront demain

Société, vieil et sombre édifice, Ta chute, hélas ! menace nos abris, Tu vas crouler....

Je vais au palais d'une altesse, Et j'achète un habit de cour

J'ai d'un géant vu le fantôme immense Sur nos bivouacs fixer un oeil ardent ; Il s'écriait : mon règne recommence ; Et de sa hache il montrait l'occident ; Du roi des Huns c'était l'ombre immortelle

Sur un trône l'ennui se carre, Fier d'être encensé par des sots