Citations sur bÉrang.

À tout jeu le sort nous triche, Mais enfin est-on gris, On s'en fiche

N'ayant pu mordre sur la lime, Le hideux serpent l'avala

Ce pauvre diable ainsi parlant Mettait en gaieté tout l'hospice

À ton revers j'admire une reprise, C'est encore un doux souvenir

Maint vieux parent me répète Que je mange ce que j'ai

Tu vois régner [aux États-Unis], sans trouble et sans servage, La paix, les lois, le travail et les moeurs

Votre tombeau sera pompeux, sans doute ; J'aurai sous l'herbe une fosse à l'écart

Sous ses haillons où s'engouffre la bise, C'est du pain qu'elle attend de nous

Je sais fort bien que sur moi l'on babille, Que soi-disant J'ai le ton trop plaisant

Des gens enfournent ; D'autres défournent ; Aux broches tournent Veau, boeuf et mouton

Pierrots et paillasses Charment sur les places Le peuple ébahi

Vous, pages et varlets, Guerre aux vilains, et rossez-les !

J'enflamme un campagnard grison, Je suis cruelle et celui-là m'épouse

J'encense une personne auguste ; Pour toi je ne puis plus chanter

Tout cet éclat dont la France est si fière, Tout ce savoir qui ne la défend pas, S'engloutira dans les flots de poussière, Qu'autour de moi vont soulever tes pas

Arrachez-moi des fanges de Lutèce ; Sous un beau ciel mes yeux devaient s'ouvrir

J'ai pris pour passagère La muse des chansons

Je veux, pour vous, prendre un ton moins frivole : Corinne, il fut des anges révoltés ; Dieu sur leur front fait tomber sa parole, Et dans l'abîme ils sont précipités

Un diable, cornard effronté, Vilains, ici guette vos belles

Oui, je suis un pauvre sauvage Errant dans la société

Seuls nous chasserons, Et tous vos tendrons Subiront l'honneur Du droit du seigneur

Ce successeur de Charlemagne, De simple mérita le nom

Cet ange [une jeune fille].... M'apparut jetant la pâture Aux oiseaux un jour de frimas

Son coursier décharné De loin chez nous l'a ramené

Monsieur Judas est un drôle Qui soutient avec chaleur Qu'il n'a joué qu'un seul rôle Et n'a pris qu'une couleur