Citations sur bÉrang.

Le clinquant ne vous convient plus, J'ai cinquante écus de rente

Pour l'étouffer [la liberté] en vain la tyrannie Fait signe au nord de déborder sur nous

Chamarré de vieux oripeaux, Ce roi, grand avaleur d'impôts, Marche entouré de ses fidèles

Il est, Sophie, un monstre à l'oeil perfide [la police] Qui de Venise ensanglanta les lois

Des chansons en quatre points Le froid nous désole

Les petits coups, selon toi, Sentent le buveur qui chancelle

Chers enfants, chantez, dansez, Votre âge Échappe à l'orage

Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j'aime !.... Mon vieil ami, ne nous séparons pas

Aux gens atrabilaires Pour exemple donné, En un temps de misères Roger Bontemps est né

Quoi ! morts tous deux ! dans cette chambre close Où du charbon pèse encor la vapeur

Encore une étoile qui file ?... Mon enfant, quel éclair sinistre ! C'était l'astre d'un favori Qui se croyait un grand ministre Quand de nos maux il avait ri

L'épouse veut encor Fuir l'époux qui l'embrasse ; Mais sur plus d'un trésor Le fripon fait main basse

La gaudriole qu'on exile Doit refleurir sur son terrain

Parce qu'il court et va partout [l'homme], Ce pantin se croit libre

En fait de vin, qu'on se montre savant

On lit dans une dédicace Qu'en latin il citait Horace

En moins d'un mois, pour loger ma sagesse, J'ai mis à sec un tonneau de vin vieux

Quand la paix répand son baume Sur les maux qu'on endura

Rien ne prédit la gloire d'un Orphée à mon berceau qui n'était pas de fleurs

L'aimable fée apparaît à mes yeux, Ses doigts distraits effeuillent une rose

Béni sois-tu, vin détestable ! Bien qu'au maître de ce banquet Des flatteurs vantent ton bouquet

Rosette, sous de frais atours, Courait à pied, leste et riante

Dans mon réduit, où l'on voit l'indigence, Sans m'éveiller assise à mon chevet

L'opulence a doré Jusqu'à ta couchette

C'est en éclatant sur nos têtes Que la foudre nous éclaira