Citations sur bÉrang.

La liberté va rajeunir le monde

Je ne veux pas qu'on me pleure, Moi le boute-en-train des fous

Heureux l'écot où la commère Apportait sa pinte et son verre !

Quand déjà l'on n'y voit guère, Quand on a peine à marcher

C'est en éclatant sur nos têtes Que la foudre nous éclaira

Près de la borne où chaque Etat commence, Aucun épi n'est pur de sang humain

Diablotins, par ribambelle, Viennent baiser ses pieds nus

Mais à sa table un financier Me verse-t-il rasade

Quels biens sur vous un prince va répandre ! D'abord viendra l'étiquette aux grands airs

Pour recoudre à fond mes goussets, J'aurais dû prendre à son décès Les aiguilles de mon grand-père [un tailleur]

En avant, partons, camarades, L'arme au bras, le fusil chargé

J'ai pris goût à la république, Depuis que j'ai vu tant de rois

C'est nous qui fessons, et qui refessons Les jolis petits, les jolis garçons

Nous nous aimions sans nous connaître ; Nos baisers se croisaient dans l'air

Jamais sceptre n'a fait sur terre Autant de bien que mon archet

Quand la goutte l'accable Sur un lit délabré

Que de géants là-bas je vois paraître ! Vieux ou nouveaux, tous nobles à cordons !

Combien de fois auprès de la plus belle Dans vos banquets j'ai présidé chez vous ! Là de mon coeur jaillissait l'étincelle Dont la gaîté vous électrisait tous

L'humble format sut plaire à cette classe Sur qui les arts sèment trop peu de fleurs

D'impurs ruisseaux, gonflés par nos orages, Font déborder cet égout des Tarquins [la cour]

Vous paierez, sans y songer, L'étranger et les ministres, Les ventrus et l'étranger

Des chansons en quatre points Le froid nous désole

Le Russe.... Las de pain noir et de gland, Veut manger notre pain blanc

Grâce au ciseau du marbrier, Une couronne de laurier Va d'orgueil enivrer mes restes

Fi des salons où l'ennui qui se berce Bâille entouré d'un luxe éblouissant