Citations sur bÉrang.

Ou bien, dit-il, de ce couple qui s'aime, Livrons la vie au sarcasme des cours

Je préside à tous les banquets, à ma fête j'ai des bouquets

Comme balayeuse on me loge, Depuis quarante ans, Dans le château, près de l'horloge

Tant par vous truis [je vous trouve] toz tens sauvage et dure

L'État n'a point dépéri, Je reviens gras et fleuri

Mais, dites-vous, il avait donc des rentes ! Eh ! non, messieurs ; il logeait au grenier

Déjà sa main [de Lisette] à l'étroite fenêtre, Suspend son châle en guise de rideau

De l'homme inculte il [l'esprit de poésie] adoucit la vie, Et sous le dais montre au doigt les tyrans

À table il aime qu'on rie ; Mais parfois j'y suis trop vert

Si Bacchus, dont je suis l'apôtre, Ne m'inspire un joyeux transport

De tout Cythère Sois le courtier ; On payera bien ton ministère

Combien la nature est féconde En plaisirs ainsi qu'en douleurs !

Que de cristaux, de bronzes, de colonnes, Tributs de l'amour à l'amour

Achille était poétique, Mais morbleu nous l'effaçons

La presse éclaire, et le gaz illumine, Et la vapeur vole aplanir les mers

Frappe [Jupin] ; mais sur notre hémisphère Vise donc plus bas ou plus haut

Un conquérant, dans sa fortune altière, S'est fait un jeu des sceptres et des lois

Il me reste un gâteau de fête ; Demain nous aurons du pain noir

Français, à leur sainte alliance [des corsaires barbaresques] Envoyons, pour droit d'assurance, Nos censeurs anciens et nouveaux, Et nos juges et nos prévôts

Comme ils sont dodus et gras, Ces bons citoyens du Maine !

Mais qu'un tendron te tire par la basque, Tu lui souris

. Et tout renaît, et déjà l'aubépine A vu l'abeille accourir à ses fleurs

Aux bons coeurs, ajoute la nonne, Quand mes prières s'adressaient, Du riche je portais l'aumône Aux pauvres qui me bénissaient

Un noir cachot peut illustrer mes vers

Soldat bientôt, courant au feu, Je perdis une jambe en route