Citations sur bÉrang.

L'ombre s'avance et la nuit Roule son char sur la neige

Les ans font-ils neiger sur nous, à nos yeux tout se décolore

J'ai vu sa parure enfantine Plaire par ce qui lui manquait, Ruban perdu, boucle défaite ; Elle était bien, la voilà mieux

Elle attirait les gens Par des airs engageants

Je fus bercé par tes faiseurs De vers, de chansons, de poëmes ; Ils sont, comme les confiseurs, Partisans de tous les baptêmes

Je ne veux pas qu'on me pleure, Moi le boute-en-train des fous

[Que] Bien ou mal mis, Tous amis, Dans l'ivresse endormis, Nous rêvions les vendanges

Oui, noir ou blanc, soyons le fou du roi

J'ouvre, bon Dieu ! c'était lui [Napoléon 1er] Suivi d'une faible escorte ; Il s'asseoit où me voilà, S'écriant : oh ! quelle guerre ! Il s'est assis là, grand'mère, Il s'est assis là !

Le vois-tu bien, là-bas, là-bas, Là-bas, là-bas ? dit l'espérance ; Bourgeois, manants, rois et prélats Lui font de loin la révérence

Mon coeur en belle haine A pris la liberté

En scène, d'abord admirons La grâce de ces deux lurons

Notre siècle, penseur brutal, Contre Delille s'évertue

Lanterne en main, dans l'Athènes moderne Chercher un homme est un dessein fort beau

Sur les coussins où la douleur l'enchaîne, Quel mal, dis-tu, vous fait ce roi des rois ?

Je les entends rire en buvant Chez la mère Simonne

Nous voyons à ses pieds [du Temps] rapides La poudre des siècles passés

Vous avez guindé la sculpture

Et rends enfin au Vaudeville Ses grelots et son tambourin

Que font ces nains si bien parés Sur des trônes à clous dorés ?

Nous nous aimions sans nous connaître ; Nos baisers se croisaient dans l'air

Après une suite traîtresse De pics, de repics, de capots

Qu'il va lentement le navire à qui j'ai confié mon sort !

Tu veux fuir de ma chambrette, Pour courir je ne sais où

Minerve dans mes chansons Fait la cabriole