Citations sur bÉrang.

Oui, je secouerai la poussière Qui ternit ses nobles couleurs [du drapeau tricolore]

Aigles et cygnes, quoi qu'on fasse, Sont toujours de méchants ragoûts

Anglais.... Vos diplomates, vos chevaux, N'ont pas épuisé nos bravos

À tant d'esprit passez la négligence : Ah ! du talent le besoin est l'écueil

On peut bien manger sans nappe ; Sur la paille on peut dormir

D'un masque saint ils couvrent leur vengeance ; Rougiraient-ils devant ma probité ?

Encore une étoile qui file, Qui file, file et disparaît

J'entonne sur les troubadours Un chant dithyrambique

En avant, partons, camarades, L'arme au bras, le fusil chargé

Dans une conque de saphir De huit papillons attelée

Il [le roi d'Yvetot] faisait ses quatre repas Dans son palais de chaume

Des gueux chantons la louange ; Que de gueux hommes de bien !

À ton revers j'admire une reprise ; C'est encore un doux souvenir

Après une suite traîtresse De pics, de repics, de capots

Des prières.... Pour conjurer des sorcières L'oeil malfaisant tourné vers nous

Trois douzaines de Cupidons Hier mendiaient, et la marmaille Les poursuivait de gais lardons

L'arbre sacré [de la liberté] sur ce concours immense Forme un abri de rameaux toujours verts

Aurions-nous mieux employé la jeunesse, Vécu moins vite avec un riche avoir ?

Vivent les grands airs Du conservatoire !

De leur humeur mélancolique Ils [les noirs] sont tirés par des pantins

Mille vaisseaux iront sur l'onde, Chargés de vins, et de fleurs pavoisés

En rajustant sa cornette

Troubadours et trouvères Aux nez des rois vidaient gaîment leurs verres

Dans mes calculs, Dieu ! quel déboire, Si de ton héros je parlais !

J'ai trop bravé nos tribunaux ; Dans leurs dédales infernaux, J'entends Cerbère et ne vois point Minos