Citations sur bÉrang.

Il grelottait dans sa coquille, Quand d'un luth je lui fis l'octroi

Déjà sa main [de Lisette] à l'étroite fenêtre, Suspend son châle en guise de rideau

Il mesure au bruit des combats Tout le bruit de sa renommée

Dieux ! il [le dard de la mouche] perce la collerette [de Lisette] : Le sang coule ! accourez, Amours

Au fait, pourquoi pensionner Ma muse indépendante et vraie ?

Je sais fort bien que sur moi l'on babille, Que soi-disant J'ai le ton trop plaisant

Fi des coquettes maniérées ! Fi des bégueules du grand ton !

Ô chérubins à la face bouffie, Réveillez donc les morts peu diligents

À moins de douze couplets, Au diable une chansonnette

La presse éclaire, et le gaz illumine, Et la vapeur vole aplanir les mers

Reine du monde, ô France, ô ma patrie, Soulève enfin ton front cicatrisé

Écoute, mouchard, mon ami, Je suis ton capitaine

Rose en douillette, en fourrure, Ici contre la froidure, Vient m'offrir un doux soutien

Il [Satan] jure, il grimace, il se tord, Il crève comme un hérétique

Sages et fous, gueux et monarques, Apprenez un fait tout nouveau

Aux déités, fables des vieux empires, Nous opposons des diables peu tentants

Les champs de Rome ont payé mes exploits, Et j'en rapporte un cep de vigne

C'est le conducteur de la chaîne, Ses captifs sont plus gais que lui

Tout charlatan se tambourine

Près de la borne où chaque État commence, Aucun épi n'est pur de sang humain

Que la beauté vous charme et vous attire ; Dans ses bras coulez tous vos jours

Mon fermier.... Dénigrait la glèbe et la taille

Tu veux fuir de ma chambrette, Pour courir je ne sais où

Au toit du pauvre il [le chansonnier Béranger] répand l'allégresse, à l'opulence il sauve des ennuis

Sous une toile proprette Son triomphe est assuré