Citations sur corneille

Cette vieille amitié faisait votre entretien

J'ai pitié de moi-même et jette un oeil d'envie Sur ceux dont notre guerre a consumé la vie

Et je ne rendrai pas menace pour menace !

N'apprendras-tu jamais, âme basse et grossière....

Et mes yeux, éclairés des célestes lumières, Ne trouvent plus aux siens [de Pauline] leurs grâces coutumières

Votre sévérité, sans produire aucun fruit, Seigneur, jusqu'à présent a fait beaucoup de bruit

Mais ce qui m'en déplaît et qui me désespère, C'est de perdre la soeur pour éviter le frère, Et me violenter à fuir ton entretien, Puisque te voir encor, c'est m'exposer au sien

Madame, croyez-moi, vous serez excusable D'avoir moins de chaleur contre un objet aimable

Et tous ces rois de nom en effet obéissent, Tandis que de leur rang l'inutile fierté S'applaudit d'une vaine et fausse égalité

En sorte qu'il s'y trouve [en des personnages de tragédie] un bel exemplaire d'équité ou de dureté

Jamais nous ne goûtons de parfaite allégresse ; Nos plus heureux succès sont mêlés de tristesse

Carlos, voulant s'asseoir parmi les comtes, et empêché par Don Manrique : J'ai vu la place vide, et cru la bien remplir. - Don Manrique : Un soldat bien remplir une place de comte !

Une sincère humilité, Une parfaite charité, Un ferme désaveu de toute propre estime

Albe en jette [des cris] d'angoisse, et les Romains de joie

Tourne ailleurs les efforts de tes bras triomphants

Cet État de nouveau rangé sous ma puissance

Un coup d'oeil en triomphe, et, dès que je vous voi, Il ne me souvient plus de vos manques de foi

Il me semble surtout incessamment le voir Déposer en nos mains son absolu pouvoir

Je crains que ce don n'ait jamais son aveu

Combats pour m'affranchir d'une condition Qui me livre à l'objet de mon aversion

Tant qu'a duré la guerre, on m'a vu constamment Aussi bon citoyen comme parfait amant

Un même instant conclut notre amour et la guerre

Le poids honteux des fers

On recommande assez la patience aux autres, Mais il s'en trouve peu qui veuillent endurer

Quand à ton père usé je rendis la vigueur, J'avais encor tes voeux, j'étais encor ton coeur