Citations sur corneille

Don Lope : Vous êtes notre juge, il faut vous adoucir. - Carlos : Vous y pourriez peut-être assez mal réussir

Sylla.... N'a fait qu'ouvrir le champ à César et Pompée

Adieu, seigneur, j'y suis la plus intéressée

Sans qu'on l'ose accuser d'avoir manqué de coeur

Sa tête sur un bras languissamment penchée

Vos frères sont vainqueurs quand nous sommes trahis ; Et, voyant le haut point où leur gloire se monte, Vous regardez fort peu ce qui nous vient de honte

Voyez couler nos pleurs sans y mêler vos larmes

Et dites hautement à quel prix votre choix Veut faire l'un de nous le plus heureux des rois

Je vis par mes soldats mes aigles arrachées....

Le ciel va couronner aussi votre vertu

Pareille à ces éclairs qui dans le fort des ombres....

... Le dernier point Est le seul qui te déplaise ; Cette amitié de milieu Te semble être selon Dieu

Que la foudre à vos yeux m'écrase si je mens !

Pour tous remercîments il faut que je te chasse

Crains-tu si peu le blâme et si peu les faux bruits ?

Mon bonheur ordinaire M'acquiert les volontés de la fille et du père

.... toi-même, des tiens devenu le bourreau, Au sein de ton tuteur [Cicéron] enfonças le couteau

J'en obtiendrai pour fruit le nom de son amie, Je vous verrai, consul, m'en apporter les lois

Je cherche à te rejoindre et non à m'en défendre [de la mort]

Avec fort peu de peine Un flux de pleine mer jusqu'ici les amène

Et nous verrons bientôt son coeur inquiété Me demander pardon de tant d'impiété

À de plus grands honneurs faut-il qu'un père aspire ?

Mon crime redoublé n'émeut point ta colère ?

Dût le peuple en fureur pour ses maîtres nouveaux De mon sang odieux arroser leurs tombeaux, Dût le Parthe vengeur me trouver sans défense, Dût le ciel égaler le supplice à l'offense, Trône, à t'abandonner je ne puis consentir

Apprends-moi plus au long la véritable histoire