Citations sur corneille

.... seigneur, étant seuls, je parle avec franchise

D'un balcon chez mon frère J'ai vu.... que ne peut-on, madame, vous le taire ?

Mais ai-je sur son âme encor quelque pouvoir ?

Et pour le rappeler des portes du trépas

Elle brouille tout notre sort

Quelque ravage affreux qu'étale ici la peste....

[Ils] descendaient au tombeau tout chargés d'infamie

Rendons-lui donc visite, Et, comme ambassadeur, proposez cet hymen.... Je seconderai Rome et veux vous introduire

Tous deux pour leur pays sont morts en gens d'honneur

Je perds une maîtresse en gagnant un empire ; Mon amour en murmure et mon coeur en soupire ; Et de mille pensers mon esprit agité Paraît enseveli dans la stupidité

Les hommes valeureux le sont du premier coup

Et je me plains à lui des inégalités Qu'il me force de voir lui-même en ses bontés

Je ne vous puis souffrir de dire une sottise

Et c'est le dire assez qu'ordonner qu'on efface Un grand crime impuni par le sang de sa race

Un moment pousse et rompt un transport violent ; Mais l'indignation qu'on prend avec étude, Augmente avec le temps, et porte un coup plus rude

[Apprends que l'amour est] Courageux et surtout hors de cette faiblesse, Qui force à se chercher et pour soi s'intéresse

Je lui prête mon bras et veux dès maintenant, S'il daigne s'en servir, être son lieutenant

Toute ingrate qu'elle est, je tremble à lui déplaire

Pensez-vous que j'ignore, ou que je dissimule, Que vous n'auriez pas eu pour moi plus de scrupule [que vous m'auriez assassiné comme vous avez assassiné Pompée] ?

Votre ordinaire est-il de rêver en parlant ?

Il se juge en autrui, se tâte, s'étudie

Mais je me fis toujours maître de ma fortune

Par le droit de la guerre il fut toujours permis D'allumer la révolte entre ses ennemis

Je ne me compte point pour un de vos sujets

Je ne dénierai point, puisque vous les savez, De justes sentiments dans mon âme élevés