Citations sur corneille

Ta tête répondra de tant de barbaries

Je suis reine, seigneur ; et Rome a beau tonner, Elle ni votre roi n'ont rien à m'ordonner

Ma valeur n'a point lieu de te désavouer

Que ne publieront point l'envie et l'imposture ?

Le destin se déclare, et nous venons d'entendre Ce qu'il a résolu du beau-père et du gendre ; Quand les dieux étonnés semblaient se partager, Pharsale a décidé ce qu'ils n'osaient juger

Car enfin n'attends pas que j'abaisse ma haine

Un pas hors du devoir nous peut mener bien loin

Tout mon coeur s'applique Aux soins de rétablir un jour la république

Que Rome se déclare ou pour ou contre nous

De si faibles sujets troublent cette grande âme !

On prend soudain au mot les hommes de sa sorte, Et, sans rien hasarder, à la moindre longueur, On leur donne la main dès qu'ils offrent le coeur

Comme il est changé ! Vous voyez comme il travaille ! Comme il est bon ! Comme il est aimable ! Vous ne croirez jamais comme chacun l'admire

La mort la plus infâme, ils l'appellent martyre

Le ciel sur nos souhaits ne règle pas les choses

[Elle] Attend l'ordre d'un père à choisir un époux

On nous imputerait ce mauvais artifice

Là, là, n'en riez point ; autrefois, en mon temps, D'aussi beaux fils que vous étaient assez contents, Et croyaient de leur peine avoir trop de salaire, Quand je quittais un peu mon dédain ordinaire

Je voudrais le connaître, Mais connaître dans l'âme

Tout mon dessein avorte au milieu du succès

Otez moi donc de doute Et montrez-moi la main qu'il faut que je redoute

La façon de donner vaut mieux que ce qu'on donne

Je viens tout de nouveau vous apporter ma tête

Elle n'ôte à pas un ni donne d'espérance

.... Mon sang rompt le cours du mal que j'avais fait

Et mon coeur tout entier vole à votre secours