Citations sur corneille

Et j'en bannis par là ces rois et leurs agents

Enfin ma bonté cède à ma juste fureur

Mon coeur outré d'ennuis n'ose rien espérer

Que m'importe qu'il [le ciel] montre un visage plus doux Quand il fait des malheurs qui ne sont que pour nous

[Le monde] à qui par sa défaite il [Pompée] met les fers aux mains

Et cent voix tout à coup, sans être articulées

Et ce pays si beau.... Avec un oeil d'envie est toujours regardé

L'amour est libéral, mais c'est avec adresse ; Le prix de ses présents est en leur gentillesse

Il faut bonne mémoire après qu'on a menti

Mon inclination a bien changé d'objet

J'ai craint un ennemi, mon bonheur me le livre

Quand j'ai voulu me taire, en vain je l'ai tâché

Ne borne pas ta gloire à venger un affront

Leur secte [des chrétiens] est insensée, impie et sacrilége.... Mais sa fureur ne va qu'à briser nos autels, Elle n'en veut qu'aux dieux, et non pas aux mortels

Je verrai par l'effort de votre obéissance Où doit aller celui de ma reconnaissance

Ma bouche accortement saura s'en acquitter

Son esprit ébranlé par les objets présents

Sa coutume l'emporte et non pas la raison

Le Cid et Pompée, où les actions sont un peu précipitées

Cette promesse opiniâtre ce prince dans sa résolution

S'il la sauve, peut-être on trouvera dans Rome Plus de coeur que de crime en l'ardeur d'un jeune homme

Seigneur, nous n'avons pas si grande ressemblance Qu'il faille de bons yeux pour y voir différence

Ce n'est que la douleur qui lui coupe la voix

Le front assez ouvert, l'oeil perçant, le teint frais

Le Bourguignon d'ailleurs sépare nos provinces, Et servirait pour nous de barre à ces deux princes