Citations sur corneille

[Il] Respecterait en lui le démon de l'empire

Parlez, la force en main et hors de leur atteinte

Sans y perdre de temps, ouvrez votre pensée

Unissez en votre musique La flûte à la viole, et la lyre aux tambours ; Que l'orgue à tant de sons mêle un son magnifique, Prête un harmonieux secours

Qui l'eût dit ? Que notre heur fût si proche et sitôt se perdît

Et prennent à l'empire un chemin éclatant

Abandonner mon camp en est un [crime] capital, Inexcusable en tous, et plus au général

Mais ce prince paraît, souffrez que je l'évite

Et ne savez-vous pas, avec toute la France, D'où ce titre d'honneur a tiré sa naissance, Et que la vertu seule a mis en ce haut rang Ceux qui l'ont jusqu'à moi fait passer dans leur sang ?

D'un prince malheureux ordonnez quelque chose

Dorise se feint être un jeune gentilhomme contraint pour quelque occasion de se retirer de la cour

Tu n'as frappé mes yeux d'un moment de clarté....

Ce jour nous fut propice et funeste à la fois

Ne fais point d'autre crime, et j'atteste les dieux Qu'au lieu de t'en haïr, je t'en aimerai mieux

Vous formez des craintes que j'admire

Il est une autre voie et plus sûre et plus prompte Que dans l'éternité j'aurais lieu de bénir

Et j'ai le coeur transi De crainte que quelqu'un ne te découvre ici

S'efforce à noircir une si belle vie

Et sort d'une maison si féconde en guerriers Qu'ils y prennent naissance au milieu des lauriers

Mais après ce nuage en l'air évaporé

Contre ma douleur j'aurais senti des charmes, Quand une main si chère eût essuyé mes larmes

Ces nombreuses lignées Qui du sang d'Israël portent si haut l'honneur

Mourant sans déshonneur, je mourrai sans regret

Aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années

Je vous en donne avis, de peur d'une surprise