Citations sur c. delav.

Aucun vers ne m'arrête ; Je cours à ma réplique

.... des clairons les belliqueux accents Pour la première fois font tressaillir mes sens

Pour détrôner l'abus, proscrironsnous l'usage ?

J'ai vu Sous un faste imposant des corps dont la mollesse Faisait mentir le fer qui chargeait leur faiblesse

Devant Dieu, sur mon honneur de gentilhomme, je le jure

Cet enfant qui pleurait redevint un héros, Et son dernier regard fit pâlir ses bourreaux

Soyons donc président de ce club respectable

Et le peuple inconstant n'a qu'un jour de courage

Je t'aime avec excès, sois à moi sans partage

Ce que je dis ici, partout je le dirai, C'est que l'honneur, monsieur, vous fut toujours sacré, Et qu'en le proclamant par un public hommage Je venge la vertu dans sa plus noble image

Tu n'auras pas l'ennui de traîner à ta suite Un vieillard chancelant qui gênerait ta fuite

Ce captif ennemi, toléré parmi nous

Tu te fais une joie orgueilleuse et cruelle, D'attacher sur mon front une honte éternelle

Ah ! que l'incertitude est un affreux tourment !

Messieurs, l'ouvrage que nous allons avoir l'honneur de représenter devant vous est une espèce de proclamation, un manifeste dramatique que nous vous adressons

Au laurier qui t'est cher si j'offre une eau limpide....

En souvenir de moi, protégez-la toujours

Au pied de l'échafaud, sans changer de visage, Elle s'avançait à pas lents ; Tranquille elle y monta

Ces forêts d'orangers, ces monuments pompeux

Je vais à soixante ans recommencer ma vie !

[Qui] D'un songe équivoque envoyé par les dieux Lira d'un oeil plus sûr l'avis mystérieux

Je ne crois plus aux Dieux, je crois aux fils ingrats

Je dois te refuser, hélas ! et ne le puis

Irai-je, Quand tout semble tranquille, inventer des dangers.... Pour exhaler sans crainte une haine inutile ?

Sire, il y a dans tous les pays chrétiens un vieux proverbe qui dit : Il vaut mieux avoir affaire à Dieu qu'à ses saints ; et je le crois plus vrai en Espagne que partout ailleurs