Citations sur c. delav.

Les gens de milady ! que milady permette...

Du lieu saint, à pas lents, je montais les degrés Encor jonchés de fleurs et de rameaux sacrés

Un horrible soupçon me tourmente et me ronge

Quand, muet d'épouvante et tremblant de colère, Il [Néron] apprit que ces flots, instrument du forfait, Se soulevant d'horreur, lui rejetaient sa mère

Ces purs ravissements, cette divine extase D'une âme sans remords que la ferveur embrase

Aux tableaux fabuleux qu'il traçait des cités

Il s'essaie à braver un sceptre qui lui pèse

Je dois te refuser, hélas ! et ne le puis

Quand un lis virginal penche et se décolore, Par un ciel brûlant desséché, Sous l'urne qui l'arrose il peut renaître encore ; Mais quand un ver rongeur dans son sein est caché, Quel remède essayer contre un mal qu'on ignore ?

Mais bientôt d'une guerre utile à nos projets Ses trésors épuisés font languir les apprêts

[Un complot] dont les ramifications, partant de Rouen... s'étendent jusqu'à Vire.... en traversant.... Falaise

Messieurs, l'ouvrage que nous allons avoir l'honneur de représenter devant vous est une espèce de proclamation, un manifeste dramatique que nous vous adressons

Pour ces penseurs profonds le rire est trop bourgeois

On l'exalte partout, on l'admire, on l'encense

Il apprend mon dessein, l'adopte, l'autorise

Contre ces forcenés les lois sont sans vigueur

Espères-tu, livrée aux orages des sens, Offrir un encens pur et des voeux innocents ?

Soyons donc président de ce club respectable

Les fruits se sèchent-ils sur nos lèvres arides ?

Les dieux dans leurs bienfaits gardent-ils des limites ?

À qui réserve-t-on ces apprêts meurtriers ?

Et le peuple inconstant n'a qu'un jour de courage

Qui vous nourrit ? - Les dons du passant que j'implore

Ce jour qui va s'éteindre est le dernier pour moi

Ce torrent qui grossit me ferme le chemin