Citations sur c. delav.

Tout m'obéit encore, et tout marche animé D'un mouvement commun par mon ordre imprimé

Esprits aériens de la terre et des eaux Qui murmurez dans le creux des ruisseaux

Tu sais qu'un mot de moi peut donner le trépas

Il [un acteur] est assez mauvais pour que je le protége

Par quels jeûnes cruels son corps s'est-il usé ?

D'un essaim de beautés la danse enchanteresse

D'un moment de repos ma faiblesse a besoin

[Qui] D'un songe équivoque envoyé par les dieux Lira d'un oeil plus sûr l'avis mystérieux

Mais loin de me flétrir par un assassinat, Je lui dirai : Montfort, je t'appelle au combat

Quoi ! j'ai percé l'horreur de cette nuit profonde

J'avilirais le sceptre à venger mon injure

D'un formidable bruit le temple est ébranlé, Tout à coup sur l'airain ses portes ont roulé

Dans mon coeur attendri quel sentiment s'éveille ?

On est jusqu'à vingt ans petit pour sa nourrice

Les lois, les vains égards, les devoirs convenus M'ont chargé de liens jusqu'alors inconnus

Il est temps de partir, la nuit vient, et pour guide, Mon père, vous n'avez qu'une vierge timide

Absente, quand le fleuve a reçu nos présents, Elle n'a point offert les voeux que notre zèle Adresse chaque jour à ses flots bienfaisants

J'ai vu Sous un faste imposant des corps dont la mollesse Faisait mentir le fer qui chargeait leur faiblesse

Par votre ordre en courrier j'ai précédé sa chaise

Jusqu'en ses profondeurs le Gange s'est troublé

La flamme des trépieds jetait des feux sinistres

La popularité, que pour toi je redoute, Commence, en nous prenant sur ses ailes de feu, Par nous donner beaucoup et nous demander peu

Ah ! que la vérité nous donne d'éloquence !

Cet asile de paix dont l'ombre et le silence Des conseils corrupteurs gardaient votre innocence

Qu'on rassemble les chefs des plus nobles maisons