Citations sur c. delav.

Tel [comédien] que le public applaudit comme homme de talent, nous l'estimons comme honnête homme

Heureux progrès des ans ! Que son port est plus fier, ses traits plus imposants !

Tu fus moins scrupuleux dans plus d'une entreprise

Ah ! que l'incertitude est un affreux tourment !

L'arrêt porté par eux et qu'un hérault proclame Ordonne que la mort réservée à l'infâme De mon corps lapidé disperse les lambeaux

Le peuple mutiné massacre tes soldats

En loyal chevalier j'ai réclamé mes droits

Ces hommages publics, ces emblèmes, ces armes.... Importunaient vos yeux où j'ai surpris des pleurs

Nos guerriers, instruits par vos leçons, Comme un rêve insensé méprisent mes soupçons

Ma volonté ce soir une fois approuvée, Ma cour la connaîtra ; la séance est levée

Songez.... Que la publicité.... - Je vais la rendre immense

D'un peuple adulateur l'ardente idolâtrie

Le prêtre accomplissait les mystères divins

Messieurs, l'ouvrage que nous allons avoir l'honneur de représenter devant vous est une espèce de proclamation, un manifeste dramatique que nous vous adressons

Mais loin de me flétrir par un assassinat, Je lui dirai : Montfort, je t'appelle au combat

D'un essaim de beautés la danse enchanteresse

La femme qui lui plaît le rencontre partout ; Dans les jardins publics...

....Je confie à vos soins Les plantes que par choix cultivait ma tendresse

Invoquons la faveur de ces puissants génies à qui des bois sacrés les nymphes sont unies

Vous apportez sans doute à ce grave entretien Un coeur aigri, blessé, bien différent du mien

Par ces chemins de fleurs.... Qu'il est doux d'égarer ses désirs et ses pas !

Des pieds des voyageurs j'interrogeais la trace

L'hymen dont la solennité Unit la tribu sainte à la tribu guerrière

Entendre un peuple entier vous nommer ses sauveurs

Vous aussi, de Thémis généreux nourrissons [ les étudiants en droit]