Citation d ou on vient
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Une Sélection de 100 citations et proverbes sur le thème d ou on vient.
100 citations
La conscience ressemble aux facultés de l'esprit, elle a besoin d'éducation. En l'exerçant, on lui apprend à Voir plus juste, et par conséquent à se faire mieux obéir. Souvent, dans la vie, on ne fait le mal que parce qu'on n'aperçoit pas clairement le bien, ou qu'on parvient à se le cacher sous quelque sophisme.
On ne revient jamais, quand on vient de gagner, sur le lieu où s'est livré la bataille.
Quand on a deux corps, il vient des moments où l'on est à moitié.
Une phrase d’Anaïs Nin me revient à l’esprit: « Une vie ordinaire ne m’attire pas. » (…) Elle mena une vie désordonnée et eut toujours plusieurs relations en même temps. Son mari était au courant et fermait les yeux. « La largesse ou l’étroitesse de notre existence dépend de l’audace que nous avons », disait-il. Mais pourquoi est-ce que nous recherchons, pourquoi est-ce que je recherche toujours « la largesse de l’existence » à l’extérieur ? Pourquoi suis-je persuadée que la vie devient étriquée lorsqu’elle prend un tour domestique, apprivoisé, et qu’elle est plus vaste lorsqu’elle est chaotique et tournée vers l’extérieur ? Est-ce réellement ainsi ?
Quand le goût des livres vient tôt, il tient à sa fonction de fenêtre sur d’autres horizons plus ou moins extraordinaires, mais s’y ajoute le statut d’objet du livre, de propriété facile à acquérir ; il est le premier bien que l’on peut avoir pour soi, égal aux biens des adultes, et non pas leur imitation, comme le sont les jouets.
Quand on renonce à aimer pour choisir ce que l'on croit être la sagesse, quand on oublie que la vie est un acte d'amour, un jour vient où l'on découvre que l'on a perdu.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Quand l'idée vient, il faut s'y mettre tout de suite, sinon elle moisit et je n'ai plus envie. Quand je suis sur un album, je ne pense plus qu'à lui. Je me lève, je prends mon petit déjeuner et je me mets à ma table. J'arrête quand je suis moulue. Ou alors je travaille jusque vers 8 ou 9 heures du soir, avec un verre. J'aime bien. Les gens ne pensent pas que la bande dessinée, c'est du boulot. Mais un album me prend environ un an et demi. Davantage, s'il y a des choses techniques à dessiner. Comme des Vélib' ou des voitures. Je déteste ça !
On devient grand le jour où on commence à battre papa au golf. On devient adulte le jour où on le laisse gagner.
J'aime l'automne parce que tout devient bonus. Les jours raccourcissent, mais il y a une urgence à profiter du moindre rayon, de la première éclaircie. et puis, j'adore les couleurs, le feuillage arc-en-ciel des arbres. On dirait un tableau de maître. L'été, ils sont tous verts, c'est sans surprise, mais, dès septembre, c'est une explosion de couleurs, des nuances plus merveilleuses les unes que les autres: entre deux feuillages verts, un jaune; un arbre rouge qui irradie, incendie, embrase à lui seul une forêt entière, les milles teintes d'orange qui redonnent à chaque regard un nouvel intérêt. En automne, la nature récompense les patients, les observateurs, les optimistes, ceux qui décèlent le beau là où d'autres ne prennent pas le temps de le voir.
La vie, en toute condition humaine, la vie entière n'est qu'oisiveté, s'il convient de nommer ainsi le labeur, le tracas qui ne tend pas vers quelque grand objet ou qui tend vers un but qu'il ne saurait rejoindre.
C'est un grand réconfort, un cadeau, d'être face à une tâche dont on sait parfaitement qu'elle bénéficiera à autrui. Peu importe la raison : par amour, par sens du devoir ou autre. Du moment qu'on s'y consacre à fond. On n'a d'autre souci que celui de bien faire, et quand on y parvient, on en retire une immense satisfaction.
Ah ! si, je veux te donner quelque chose, un bon conseil. Veux-tu savoir la maxime qui m'a servi de règle dans toute ma vie ? Écoute ceci, et crois-moi : l'homme qui n'a pas de besoins devient tôt ou tard le maître de ceux qui en ont .
L'avenir est une campagne
Contre la mort Ce que je gagne
Sur le malheur C'est le terrain
Que la pensée humaine rogne
Pied à pied comme un flot marin
Toujours qui revient où naguère
Son écume a poussé sa guerre
Et la force du dernier grain.L'esprit est plus fort que la chair, ce qui veut dire que la chair est légère à porter pour l'esprit. Ça signifie qu'il y a une manière de vivre - une manière de le faire, mec. C'est là qu'intervient Rastafari. Parce que tous les autres disent que quand on meurt on va au Paradis. Non, ça me plait pas. Parce que si je vais au paradis quand je serai mort, j'étais où, avant ? Si le paradis était l'endroit fait pour moi, si c'était là que j'étais avant de naître, j'aurais dû y rester.
Pour réduire cette question à l'énoncé le plus simple, il s'agit de savoir si la force d'un corps qui a une certaine vitesse devient double ou quadruple, quand sa vitesse devient double.
L'argent, si concret quand on en manque ou quand on en a peu, devient léger, quasiment gazeux, aussitôt qu'il se trouve rassemblé en grande quantité.
Un grand homme n’a qu’un souci : devenir le plus humain possible, — disons mieux : devenir banal. Devenir banal, Shakespeare, banal Gœthe, Molière, Balzac, Tolstoï… Et chose admirable, c’est ainsi qu’il devient le plus personnel. Tandis que celui qui fuit l’humanité pour lui-même, n’arrive qu’à devenir particulier, bizarre, défectueux… Dois-je citer le mot de l’Évangile ? Oui, car je ne pense pas le détourner de son sens : « Celui qui veut sauver sa vie (sa vie personnelle) la perdra ; mais qui veut la perdre la sauvera (ou pour traduire plus exactement le texte grec : « la rendra vraiment vivante »).
Puis vient le jour des révélations de l'Apocalypse, où l'on comprend qu'on est maudit, et misérable, et aveugle, et nu et alors, fantôme funeste et dolent, il ne reste qu'à traverser les cauchemar de cette vie en claquant des dents.
– De quoi dépend la grandeur et le salut d’un État ?... De la police, n’est-ce pas ?
– C’est vrai, général.
– Un pays sans police est un grand navire sans boussole et sans gouvernail.
– C’est à la fois juste et poétique, Gibassier.
– On peut donc regarder la mission de l’homme de police comme la plus sainte, la plus délicate et la plus utile à la fois de toutes les missions.
– Ce n’est pas moi qui vous dirai le contraire.
– D’où vient donc, alors, que, pour occuper cette fonction importante, pour remplir cette mission conservatrice, on choisit d’ordinaire des idiots de la plus laide espèce ? d’où vient cela ? Je vais vous le dire : c’est que la police, au lieu de s’occuper des grandes questions gouvernementales, entre dans les détails les plus infimes et se laisse aller à des préoccupations tout à fait indignes d’elle.Quand on renonce à aimer pour choisir ce que l'on croit être la sagesse, quand on oublie que la vie est un acte d'amour, un jour vient où l'on découvre que l'on a perdu. La vie ne se gagne que si l'on aime.
Il vient un moment où, après avoir perdu les illusions sur les autres, on les perd sur soi-même.
Tout ce qui ressemble de près ou de loin à une relation amoureuse s’apparente à une parade nuptiale digne des dindons. On se gonfle les plumes, on se rengorge (pour les mâles), on se tortille le derrière, on roucoule (pour la femelle). On devient moche, on devient con(ne), on laisse tomber ses ami(e)s, on prend des airs niais, on rit pour un rien, enfin on ne rit plus du tout. On se fait des serments, on les viole, on ment, on se sépare. Au suivant ! Et ça recommence
On prend ce qui vient, au moment ou ça vient, on ne lutte ni contre la guerre, ni contre la vie, ni contre la mort, on fait semblant que le seul maître du monde, c'est le temps.
Phase un : la séduction de la belle-famille, systématiquement accompagnée de remises en question personnelles très fortes. Un peu comme un chiot au chenil qui veut être choisi et fait la moue la plus attendrissante possible. Mais intérieurement, il tremble. Il vient avec son passé, sa gueule cassée et il est plein d'espérances quant à sa nouvelle famille d'accueil. Mais il n'a qu'une peur : décevoir et être abandonné à nouveau. Phase deux : l'intégration, pure et simple, des règles de la famille. On fait des efforts pour rentrer dans le moule, on prend sur soi, on marche au pas. Phase trois : ma préférée, la rébellion ! Ça passe ou ça casse, mais au moins on est fixé. Notre vraie nature ressurgit enfin. On ne peut plus faire semblant.
Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867) de Ernest Legouvé
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Les Serpents (2004) de Marie NDiaye
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Clair de femme (1977) de Romain Gary
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Lait noir (2009) de Elif Shafak
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Une enfance de rêve (2014) de Catherine Millet
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Sans référence de Martin Gray
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Dans l'hebdomadaire l'Express n° 3011, 19 mars 2009. de Claire Bretécher
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Écrit anonyme de Anonyme
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Le tourbillon de la vie (2021) de Aurélie Valognes
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Canti, Au comte Charles Pepoli de Giacomo, comte Leopardi
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La Femme d'En Haut (2013) de Claire Messud
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L'idée de Jean Têterol (1878) de Victor Cherbuliez
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Le Fou d'Elsa (1963) de Louis Aragon
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La sagesse et l'espoir (2011) de Bob Marley
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Eloges, Bernoulli de Jean le Rond d'Alembert
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Jachère-party (1996) de Roland Topor
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De l'influence en littérature (1900) de André Gide
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Sur la route (1957) de Jack Kerouac
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Les Mohicans de Paris (1854-1855) de Alexandre Dumas
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Le livre de la vie (1973) de Martin Gray
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Cahiers, 1957-1972 (1997) de Emil Cioran
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Comment (bien) rater ses vacances (2010) de Anne Percin
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Un long dimanche de fiançailles de Jean-Baptiste Rossi, dit Sébastien Japrisot
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En voiture, Simone ! de Aurélie Valognes
Références de Aurélie Valognes - Biographie de Aurélie Valognes
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