Citation etaient pouvait
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Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème etaient pouvait.
40 citations
Elle pouvait se rappeler six de ses oeuvres. Quelques-unes étaient rapides et tintaient comme des clochettes. Une autre était comme l'odeur de la terre après la pluie au printemps. Mais toutes l'attristaient et l'excitaient en même temps.
Il pouvait être huit heures du soir. Je revenais d'un village voisin, quand je fus frappée, en passant devant le parc municipal pourtant déjà fermé, d'y voir un groupe d'étranges jeunes hommes, qui s'accrochaient aux grilles pour mieux dévisager les passants. Ils étaient vêtus d'amples capes romantiques, d'amusants petits feutres surmontés d'une haute plume, et avaient l'air de dire : Lancez nous des cacahuètes.
Du jour où j'ai compris que la mort pouvait me dérober un visage aimé, du jour où j'ai compris que ceux que j'aimais étaient mortels, j'ai voulu les aimer plus forts.
Lorsque toutes les corrections qu'il était nécessaire d'apporter à un numéro spécial du Times avaient été rassemblées et collationnées, le numéro était réimprimé. La copie originale était détruite et remplacée dans la collection par la copie corrigée. Ce processus de continuelles retouches était appliqué, non seulement aux journaux, mais aux livres, périodiques, pamphlets, affiches, prospectus, films, enregistrements sonores, caricatures, photographies. Il était appliqué à tous les genres imaginables de littérature ou de documentation qui pouvaient comporter quelques signification politique ou idéologique. Jour après jours, et presque minute par minute, le passé était mis à jour. On pouvait ainsi prouver, avec documents à l'appui, que les prédictions faites par le Parti s'étaient trouvées vérifiées. Aucune opinion, aucune information ne restait consignée, qui aurait pu se trouver en conflit avec les besoin du moment. L'Histoire toute entière était un palimpeste gratté et réécrit aussi souvent que c'était nécessaire. Le changement effectué, il n'aurait été possible en aucune cas de prouver qu'il y avait eu falsification.
Il s'était fait une vie de hauts et de bas perpétuels. Les brusques transitions de la rêverie à l'exaltation et de la nonchalance absolue aux excès bruyants étaient devenues un état normal dont il ne pouvait plus se passer.
Le Parti pouvait mettre à nu les plus petits détails de tout ce que l'on avait dit ou pensé, mais les profondeurs de votre coeur, dont les mouvements étaient mystérieux, même pour vous, demeuraient inviolables.
Violent, agressif, le féminisme pouvait être tout ce qu'on voulait, mais il n'avait jamais tué personne. Contrairement au masculinisme qui, non content de dominer, tuait tous les jours. Que ce soit dans les violences conjugales, l'iniquité des lois de certains pays qui condamnaient les femmes lorsque c'était l'homme qui avait commis la faute, les vengeances familiales pour le prétendu honneur, les agressions de rue ou les tueries purement misogynes. Où les femmes étaient tuées parce qu'elles étaient des femmes.
De gros nuages se fendaient en bosses et protubérances. Les formes étaient courbes, galbées, bombées comme des jarres, suspendues comme des coraux, pleines de veinures secrètes, tout obéissait à des emblèmes féminins. Elle confirma à cet instant que le nom du ciel ne pouvait pas être masculin.
Elle aimait les cimetières parce que là ils étaient tous égaux, les puissants et les faibles, les pauvres et les riches, les gens qui avaient été aimés et ceux dont personne ne s'était soucié, ceux qui avaient connu le succès et ceux qui avaient échoué. À cela le mausolée ou la statue d'ange ou l'imposant tombeau ne changeaient rien. Ils étaient tous également morts, nul ne pouvait ni ne voulait plus être grand, et trop grand ne voulait plus rien dire.
Il avait fixé bien des yeux de femmes dans sa vie et beaucoup de ces yeux ardents, pudiques,troublants, délicats, rusés ou fiers, l'avaient aussi fixé, mais jamais de tels yeux. Ils étaient à la fois distants et proches, compréhensibles et énigmatiques, insensibles et compatissants. Ce regard, en même temps qu'il éveillait le désir, avait quelque chose qui vous éteignait, vous transportait au loin, au-delà de la vie, au-delà de la tombe, d'où l'on pouvait se regarder avec sérénité.
Tout Taubelman était là, une énorme tête hugolienne remplie de songes tonitruants qui sortaient tantôt en pus de l'anthrax, tantôt en mots de sa bouche. En un sens, les mots étaient plus rassurants. Ils créaient un monde imaginaire auquel on ne pouvait pas rester insensible et sans doute avais-je tort de discuter sur des points de détail la vérité taubelmanienne. Cet homme entouré de fumées ne mentait pas plus qu'un autre et dégageait à sa manière une poésie dont l'attrait demeurait certain.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
L’avenir n’était qu’une somme d’expériences à reconduire, service militaire de vingt-quatre mois, travail, mariage, enfants. On attendait de nous l’acceptation naturelle de la transmission. Devant ce futur assigné, on avait confusément envie de rester jeunes longtemps. Les discours et les institutions étaient en retard sur nos désirs mais le fossé entre le dicible de la société et notre indicible paraissait normal et irrémédiable. Ce n’était pas même quelque chose qu’on pouvait penser, seulement ressentir chacun dans son for intérieur en regardant A bout de souffle.
Elle avait toujours mesuré le pouvoir d'un geste simple, la force du détail. Elle savait, par exemple, que se souvenir de la date anniversaire d'un enfant ou de sa couleur préférée pouvait être la clé de son coeur, puis de son esprit. Si ses élèves retenaient ce qu'elle leur enseignait, c'était surtout parce qu'ils voulaient lui faire plaisir et non pas parce qu'ils y étaient obligés.
Dans l'esprit des hommes, une femme ne pouvait pas être dangereuse. Quelle sottise ! Les femmes étaient capables de presque tout ce que faisaient les hommes. Qui prenaient tout en main quand les hommes étaient à la guerre ou en croisade ?
II n'y avait rien d'autre sur la terre, rien, ni personne. Ils étaient nés du désert, aucun autre chemin ne pouvait les conduire. Ils ne disaient rien. Ils ne voulaient rien. Le vent passait sur eux, à travers eux, comme s'il n'y avait personne sur les dunes. Ils marchaient depuis la première aube, sans s'arrêter, la fatigue et la soif les enveloppaient comme une gangue. La sécheresse avait durci leurs lèvres et leur langue. La faim les rongeait. Ils n'auraient pas pu parler. Ils étaient devenus, depuis si longtemps, muets comme le désert, pleins de lumière quand le soleil brûle au centre du ciel vide.
La corruption avait invariablement infiltré les civilisations successives depuis la nuit des temps. Si le coeur était corrompu, la culture pouvait ouvrir la voie de la guérison, au prix d'un effort soutenu. Si l'esprit était atteint, la rédemption était plus ardue. Mais quelle solution trouver si l'esprit et le coeur étaient rongés jusqu'à la moelle ?
Il n'y avait rien d'autre sur la terre, rien, ni personne. Ils étaient nés du désert, aucun autre chemin ne pouvait les conduire. Ils ne disaient rien. Ils ne voulaient rien.
Comme tous les amoureux, ils étaient persuadés que ce qui menaçait l'amour ne pouvait venir que du monde, que de l'extérieur ; ils ne soupçonnaient pas que le germe de sa mort pût se trouver à l'intérieur d'eux-mêmes.
Les gens à Stamps disaient que les préjugés des Blancs de notre ville étaient tels qu'un Noir ne pouvait pas acheter de la glace à la vanille. Sauf pour la Fête nationale. Les autres jours, il devait se contenter de glace au chocolat.
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre. Et, d’avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n’osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l’on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n’en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n’ont pas la force de résister à l’ambiance. On s’habitue à l’alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d’assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l’espace de trente jours. Depuis, hélas ! j’en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu’il a pu boire en un mois.
Abraham ou les paysans d'autrefois sont morts vieux et comblés par la vie parce qu'ils étaient installés dans le cycle organique de la vie, parce que celle-ci leur avait apporté au déclin de leurs jours tout le sens qu'elle pouvait leur offrir et parce qu'il ne subsistait aucune énigme qu'ils auraient encore voulu résoudre. Ils pouvaient donc se dire satisfaits de la vie.
Il n'y avait rien d'autre sur la terre, rien, ni personne. Ils étaient nés du désert, aucun autre chemin ne pouvait les conduire. Ils ne disaient rien. Ils ne voulaient rien.
Une pluie mêlée de flocons de neige tombait sur la terre étrangère. La piste de béton, les bâtiments et les gardes de l'aérodrome étaient trempés. La neige fondue baignait la plaine et les collines à l'entour, faisant luire l'asphalte noir de la chaussée. En toute autre saison cette pluie monotone eût semblé à quiconque une triste coïncidence. Mais le général n'était guère surpris. Il venait en Albanie afin d'assurer le rapatriement des restes de ses compatriotes tombés à tous les coins du pays pendant la dernière guerre mondiale. Les négociations avaient été entamées dès le printemps et les contrats définitifs signés seulement à la fin du mois d'août, quand, justement, les premières journées grises font leur apparition. On était maintenant en automne. C'était la saison des pluies, le général le savait. Avant son départ, il s'était renseigné sur le climat du pays. Cette période de l'année y était humide et pluvieuse. Mais le livre qu'il avait lu sur l'Albanie lui aurait-il appris que l'automne y était sec et ensoleillé, cette pluie ne lui aurait pas, pour autant, paru insolite. Au contraire. Il avait en effet toujours pensé que sa mission ne pouvait être menée à bien que par mauvais temps.
Car ils étaient unis par un fil... qui ne pouvait exister qu'entre deux individus de leur espèce, deux individus qui avaient reconnu leur solitude dans celle de l'autre.
Le coeur est un chasseur solitaire (1940) de Lula Carson Smith, dite Carson McCullers
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Léon Morin, prêtre (1952) de Béatrix Beck
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Dans la maison du père (2000) de Yanick Lahens
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1984 (1949) de George Orwell
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Elle et Lui (1859) de George Sand
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1984 (1949) de George Orwell
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Complot (2019) de Nicolas Beuglet
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Héritage (2020) de Miguel Bonnefoy
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Olga (2018) de Bernhard Schlink
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Avril brisé (1978) de Ismaïl Kadaré
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Un taxi mauve (1973) de Michel Déon
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La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
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Les Années (2008) de Annie Ernaux
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L'Ile des oubliés (2012) de Victoria Hislop
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Les Piliers de la terre (1989) de Ken Follett
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Désert (1980) de J. M. G. Le Clézio
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Dark Web (2018) de Dean Koontz
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Désert (1980) de J. M. G. Le Clézio
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Les Chambres du coeur (1950) de Anaïs Nin
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Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage (2008) de Maya Angelou
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Batouala (1921) de René Maran
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Le Savant et le politique (1919) de Max Weber
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Désert (1980) de J. M. G. Le Clézio
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Le Général de l'armée morte (1963) de Ismaïl Kadaré
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La Solitude des nombres premiers (2009) de Paolo Giordano
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