Citation quand les enfants
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Une Sélection de 90 citations et proverbes sur le thème quand les enfants.
90 citations
On pense toujours la mort comme les enfants, on s’imagine se voyant ne plus y être. Mais quand on est mort, on ne le sait pas, on est seul à ne pas le savoir. Vous n’êtes pas témoin de votre mort.
Les juifs et les catholiques ne différaient guère à ses yeux. Les premiers avaient des jours de congé qui tombaient n'importe quand et les seconds concevaient leurs enfants d'une manière tout aussi hasardeuse.
Quand les sages sont au bout de leur sagesse, il convient d'écouter les enfants.
Je ne peux m'empêcher de trouver toute existence extraordinaire. Pour peu qu'on veuille bien prendre la peine de se pencher dessus, chaque vie est exceptionnelle et mérite d'être contée, avec sa part de lumière, ses zones d'ombre et ses fêlures - il y en a toujours, je sais comment les détecter. D'ailleurs, c'est mon obsession, ça, quand je rencontre quelqu'un je me demande quelle est sa fêlure: c'est ce qui le révèle. Et dans ce domaine, il n'existe pas d'injustice, pas d'inégalité: chacun porte sa fêlure, les misérables et les milliardaires, les petites gens et les puissants, les employés et les patrons, les enfants et les parents.
J'ai remarqué, en lisant l'écriture, qu'en plusieurs passages, lorsqu'il s'agit de reprocher à l'humanité des fureurs ou des crimes, l'auteur dit: les enfants des hommes; et quand il s'agit de sottises ou de faiblesses, il dit: les enfants des femmes.
Quand je parle de mes enfants, je dis qu'ils ne sont pas comme les autres. Ça laisse planer un doute. Einstein, Mozart, Michel-Ange n'étaient pas comme les autres.
Les grands-mères font exprès d'être sourdes pour que leurs petits-enfants se souviennent de l'odeur de leurs cheveux quand ils leur parlaient à l'oreille.
... vivre une belle histoire et quand c'est une histoire d'amour, ça vous force à croire qu'il y a encore de l'espérance dans cette sale vie, ça fait aimer les enfants et le sol et la proue des barges et le travail.
Quand on est parent, on s'exprime souvent avec une crânerie ridicule lorsqu'il s'agit de ses enfants. On jure pouvoir encaisser toutes les injustices, relever tous les défis. Aucune barre n'est trop haute. On ferait tout pour nos petits. Mais personne n'est blindé, les parents moins que les autres. Nos enfants nous rendent vulnérables.
Quand j'étais enfant, j'appartenais à l'espèce des poids lourds, difficiles à vaincre, difficiles à remuer, lents à s'émouvoir. Aussi il arrivait souvent que quelque poids léger, maigre de tristesse et d'ennui, s'amusait à me tirer les cheveux, à me pincer, et avec cela se moquant, jusqu'à un coup de poing sans mesure qu'il recevait et qui terminait tout. Maintenant, quand je reconnais quelque gnome qui annonce les guerres et les prépare, je n'examine jamais ses raisons, étant assez instruit sur ces malfaisants génies qui ne peuvent supporter que l'on soit tranquille. Ainsi la tranquille France, comme la tranquille Allemagne, sont à mes yeux des enfants robustes, tourmentés et mis enfin hors d'eux-mêmes par une poignée de méchants gamins.
Nombreux sont les amis de circonstance, surtout quand on a des enfants. Mais l'amitié essentielle est aussi rare que l'amour.
Regardez un peu les livres d'histoire. Vous verrez ce que ça veut dire, tous ces gens qui chérissent leurs maladies. Il y a seulement cinquante ans, les enfants exhibaient fièrement leurs genoux écorchés. Quand les adultes se cassaient la jambe, ils se dessinaient mutuellement des petits coeurs sur leurs plâtres. Tout le monde se plaignait de rhume des foins, de douleurs lombaires, de problèmes digestifs... mais, en fait, on ne voulait qu'une seule chose : éveiller une compassion injustifiée. Les bobos en tout genre passaient pour des sujets de conversation sérieux. Aller chez le médecin devenait un sport national. La maladie passait aux yeux des gens pour la preuve de leur existence, comme s'ils avaient été incapables de sentir leur corps tant qu'ils n'avaient mal nulle part.
Nous portons tous la trace du regard qui s'est posé sur nous quand nous étions enfants ou adolescents. Nous la portons sur nous, oui, comme une tache que seules quelques personnes peuvent voir.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il m'est arrivé d'espérer quand il y a eu ce petit Syrien échoué sur une plage turque. Je me suis dit que quelqu'un quelque part se souviendrait de cette île française et dirait qu'ici aussi les enfants meurent sur les plages. Je ne suis qu'un flic, moi, et j'en ai vu des petits corps baigné d'écume et j'en ai pris, comme ça, dans les mains, tout doucement. Parfois, quand j'apprends qu'un kwassa kwassa s'est échoué dans le lagon, je sens un poids dans mes mains, comme si les petits corps ne m'avaient jamais quitté.
On m'a fait le procès sur la racaille. Mais c'était injuste (...) C'était moi la racaille ! Honte sur eux ! A l'époque c'était Marianne, c'étaient Domenach et son compère, qui avaient osé titrer « Le voyou de la République » quand j'avais parlé du problème de la délinquance à Paris, avec les roms qui exploitaient leurs enfants, qui battaient leurs enfants... c'était moi le voyou. Mais ça c'est la maladie d'une partie des élites françaises, qui préfèrent trouver un coupable
Et quand le soir dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits enfants avec votre bonne conscience, au regard de Dieu, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d'inconscient que n'en aura jamais le désespéré.
Le temps n’appartient à personne, mais surtout pas à moi. Depuis des années, je cours derrière lui sans parvenir à le saisir. Le travail, la cuisine, le ménage, les courses, les papiers, les enfants. Les minutes pour moi ont la saveur des choses rares. Quand j’étais petite, je n’avais que deux désirs : devenir grande et ne jamais avoir à me doucher. Aujourd’hui, je donnerais beaucoup pour faire une pause dans ma vie d’adulte, et une longue douche chaude est devenue un luxe ultime.
Les parents, quand il y a quelque chose de grave, ils n'osent pas le dire aux enfants, alors ils préparent des crêpes pour faire semblant d'être heureux. Ils croient que, comme ça, le truc sera plus facile à avaler.
Nous écrivons des livres parce que nos enfants se désintéressent de nous. Nous nous adressons au monde anonyme parce que notre femme se bouche les oreilles quand nous lui parlons.
J'ai un âge où, apparemment, mon avis compte. On me sonde, on me consulte avant de me traîner de force dans des lieux hostiles. Quand vos enfants cessent de vous demander d'où ils viennent et ne vous disent plus où ils vont, disait un proverbe affiché à l'entrée du Super-U l'été dernier, c'est qu'ils sont devenus des ados. Je me souviens que mon père l'avait lu à haute voix, avec l'air d'un disciple de Confucius qui médite les paroles du Maître. Alors qu'en réalité, c'était juste une grosse connerie écrite au marqueur bleu effaçable sur un panneau d'hypermarché, entre la météo du jour et « Le Conseil de votre poissonnier »...
Quand une femme a des ambitions (mondaines, intellectuelles, ou professionnelles comme aujourd'hui) et les moyens de les satisfaire, elle est infiniment moins tentée que d'autres d'investir son temps et son énergie dans l'élevage de ses enfants.
Quand on envoie les enfants au marché,
Les marchands sont sûrs de gagner.Quand on n'aime pas les enfants et qu'on n'a pas de fortune, il faut acheter des singes.
La violence, qu’elle soit verbale, psychologique, physique, entre époux, entre parents et enfants, entre nations, toute forme de violence survient quand les gens sont incapables de se relier à ce qui se passe en eux. Au lieu de cela, ils ont appris à pointer du doigt les « mauvais », à rejeter la responsabilité ce qui leur arrive sur les autres… au lieu de chercher à comprendre et à révéler la douleur, la peur et les besoins inassouvis cachés par les mots de l’agresseur. Ce phénomène de société est extrêmement dangereux.
Interview pour Psychologies, 2010 de Jean-Pierre Bacri
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So shocking ! (2012) de Alan Bennett
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Dialogues des Carmélites (1948) de Georges Bernanos
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Les funambules (2020) de Mohammed Aïssaoui
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Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes (1795) de Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
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Où on va, papa ? (2008) de Jean-Louis Fournier
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Carnet de notes (2001) de Patrick Sébastien
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Théâtre de village de Félix Leclerc
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Défendre Jacob (2012) de William Landay
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Propos sur le bonheur (1928) de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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Indigo (2013) de Catherine Cusset
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Corpus delicti : un procès (2010) de Juli Zeh
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D'après une histoire vraie (2015) de Delphine de Vigan
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Tropique de la violence (2016) de Nathacha Appanah
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Émission Quotidien sur TMC, 10 septembre 2020 de Nicolas Sarkozy
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Sans référence de Abbé Pierre
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Les possibles (2021) de Virginie Grimaldi
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Ca va déménager (2003) de Guillaume Guéraud
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Journal tome 1, 20 décembre 1962 de Les frères Goncourt
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Être vraiment soi, aimer pleinement l'autre ! : La Communication NonViolente en couple et entre amis (2011) de Marshall Rosenberg
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