Citation tout a ete dit
Découvrez une citation tout a ete dit - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase tout a ete dit issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème tout a ete dit.
80 citations
L'avenir, comme l'a dit le poète, n'appartient à personne et surtout pas aux élus dont les mandats durent toujours moins longtemps que les problèmes des électeurs.
Pendant longtemps, j'ai pensé qu'il était superflu de faire un album contre le racisme. Il me semblait que c'était une évidence, qu'il ne fallait pas enfoncer les portes ouvertes. Les temps changent, semble-t-il. Tout a sans doute été dit, mais comme personne n'écoute, il faut recommencer.
- Comment vont les enfants? dit Sarah à Myriam. - - Je suis inquiète, le médecin dit qu'il fait un complexe d'Oedipe. - - Tout ça c'est pas grave, du moment qu'il est sage et qu'il aime bien sa maman.
C'est en feuilletant virtuellement le site « Dicocitations » que je suis tombé sur cette surprenante déclaration qu'a faite Gérard Depardieu. Le site réunit 117 000 citations, proverbes et dictons du monde entier. Je crois pouvoir affirmer sans me tromper qu'il me serait impossible de tout citer avant les informations de 9 heures. J'aurai pu choisir une réflexion de Raymond Aron qui dit Objectivité ne signifie pas impartialité mais universalité. J'aurais pu préférer une pensée de Jean-Paul Sartre qui a dit : Le désir s'exprime par la caresse comme la pensée par le langage. J'ai privilégié une citation de Gérard Depardieu : Je pète souvent. Je pète souvent. comme un cri du coeur, un aveu, une confidence.
L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
Mardi, à la Maison-Blanche, nous avons célébré la Journée internationale des filles, de même que Let Girls Learn. Et j’ai eu le plaisir de passer des heures à m’entretenir avec certaines des plus formidables jeunes femmes qu’on puisse rencontrer, des jeunes femmes d’ici aux États-Unis et de partout dans le monde. Nous avons discuté de leurs espoirs et de leurs rêves. Nous avons parlé de leurs aspirations. Je croyais qu’il était essentiel de rappeler à ces jeunes femmes à quel point elles sont importantes et précieuses. Je voulais qu’elles comprennent que toute société se mesure à la façon dont elle traite ses femmes et ses filles. Je leur ai dit qu’elles méritaient d’être traitées avec dignité et respect, je leur ai dit qu’elles devaient ignorer quiconque les rabaisse ou les dévalorise, et qu’elles devaient faire entendre leur voix partout dans le monde. Je les ai quittées en me sentant si inspirée, tout comme je me sens inspirée par tous les jeunes ici aujourd’hui, et j’étais si réjouie par ces jeunes filles.
Aujourd'hui, il y a plus de dangers. Ils sont multiples. Vous avez le danger nucléaire. Vous avez le danger économique, celui de la domination de l'argent un peu partout. Vous avez les crises de la démocratie, comme il y en a eu à l'époque, et qui aujourd'hui sont aussi graves. Donc, il y a des traits semblables, mais aussi des traits très différents. Surtout, il y a l'absence de conscience lucide que l'on marche vers l'abîme. Ce que je dis n'est pas fataliste. Je cite souvent la parole du poète Hölderlin qui dit que « là où croît le péril croît aussi ce qui sauve ». Donc, je pense quand même qu'il y a encore espoir.
La hausse des denrées tenait peut-être pour une part à leur rareté, mais elle tenait surtout à la baisse énorme, au discrédit toujours croissant de l'assignat.
Il n'y a de terrible en nous et sur la terre et dans le ciel peut-être que ce qui n'a pas encore été dit. On ne sera tranquille que lorsque tout aura été dit, une bonne fois pour toutes, alors enfin on fera silence et on aura plus peur de se taire.
De Saturne, astre immobile, froid, très éloigné du Soleil, on dit que c’est la planète de l’automne et de la mélancolie. Mais Saturne est peut-être aussi l’autre nom du lieu de l’écriture – le seul lieu où je puisse habiter. C’est seulement quand j’écris que rien ne fait obstacle à mes pas dans le silence de l’atone et que je peux tout à la fois perdre mon père, attendre, comme autrefois, qu’il revienne, et, enfin, le rejoindre. Et je ne connais pas de joie plus forte.
Ah, si l'«à quoi bon» n'avait germé dans mon âme, puis n'avait poussé, puis n'avait tout recouvert, n'avait étouffé les autres plantes, j'aurais été un autre, comme dit l'autre.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Tout à coup elle a un corps qui ne fait plus un avec ce qu'il y a dans sa tête, un corps dont elle a conscience et qui ne la représente plus, un corps encombré dont tout le monde se met à parler et que tout le monde se permet de jauger, d'évaluer, mesurer et elle ne peut rien y faire, il est là et elle doit se mouvoir avec ça, avec tout ce qu'on en dit et qui ne lui plaît pas.
Tout est susceptible d'humilier un enfant ; la moindre remarque, la plus petite brutalité, un mouvement d'humeur, un geste violent peuvent s'inscrire à jamais dans sa chair, y gravant le texte de ses folies à venir, dont il sera le monomaniaque interprète et le jouet chevronné. Qui nous dit que la démence ne provient pas d'une humiliation de trop ?
Approchez, monsieur de Bonnefoy, approchez. Prenez un siége, s'il vous plaît. Ma femme m'a dit, monsieur, que vous étiez fort honnête homme, et tout à fait de ses amis; et je l'ai chargée de vous parler pour un testament que je veux faire.
Or, d’où vint l’immense succès du Mérite des femmes ? De ce que ce petit poème fut comme l’écho de la conscience publique. On sortait de la Révolution et de la Terreur. Les femmes y étaient apparues sublimes de dévouement, de courage, de vertus. L’âme de tous était comme tourmentée d’un vague besoin de reconnaissance, d’admiration pour ces héroïnes et ces martyres, et quand tout à coup on vit un jeune homme, rompant à la fois avec les vieilles épigrammes et les vieux madrigaux, renier également Boileau et Dorat, substituer aux faveurs du dix-huitième siècle et aux satires du dix-septième, l’éloge sérieux des mérites et des devoirs de la femme, peindre en elle l’épouse, la fille, la sœur, la mère, une immense acclamation répondit au cri du poète.
Civilisation, civilisation, orgueil des Européens, et leur charnier d’innocents, Rabindranath Tagore, le poète hindou, un jour, à Tokyo, a dit ce que tu étais ! Tu bâtis ton royaume sur des cadavres. Quoi que tu veuilles, quoi que tu fasses, tu te meus dans le mensonge. À ta vue, les larmes de sourdre et la douleur de crier. Tu es la force qui prime le droit. Tu n’es pas un flambeau, mais un incendie. Tout ce à quoi tu touches, tu le consumes.
La pauvreté, d'abord, n'a jamais été un malheur pour moi: la lumière répandait ses richesses. Même mes révoltes en ont été éclairées. Elles furent presque toujours, je crois pouvoir le dire sans tricher, des révoltes pour tous, et pour que la vie de tous soit élevée dans la lumière. Il n'est pas sûr que mon coeur fût naturellement disposé à cette sorte d'amour. Mais les circonstances m'ont aidé. Pour corriger une indifférence naturelle, je fut placé à mi-distance de la misère et du soleil. La misère m'empêcha de croire que tout est bien sous le soleil et dans l'histoire; le soleil m'apprit que l'histoire n'est pas tout. Changer la vie, oui, mais non le monde dont je faisais ma divinité. C'est ainsi, sans doute, que j'abordai cette carrière inconfortable où je suis, m'engageant avec innocence sur un fil d'équilibre où j'avance péniblement sans être sûr d'atteindre le but. Autrement dit, je devins un artiste, s'il est vrai qu'il n'est pas d'art sans refus ni sans consentement.
Enfin, je dis que pour être heureux il faut être susceptible d'illusion, et cela n'a guère besoin d'être prouvé ; mais, me direz-vous, vous avez dit que l'erreur est toujours nuisible : l'illusion n'est-elle pas une erreur ? Non : l'illusion ne nous fait pas voir, à la vérité, les objets entièrement tels qu'ils doivent être pour nous donner des sentiments agréables, elle les accommode à notre nature. Telles sont les illusions de l'optique : or, l'optique ne nous trompe pas, quoiqu'elle ne nous fasse pas voir les objets tels qu'ils sont, parce qu'elle nous les fait voir de la manière qu'il faut que nous les voyions pour notre utilité. Quelle est la raison pour laquelle je ris plus que personne aux marionnettes, si ce n'est parce que je me prête plus qu'aucun autre à l'illusion, et qu'au bout d'un quart d'heure je crois que c'est Polichinelle qui parle ? Aurait-on un moment de plaisir à la comédie, si on ne se prêtait à l'illusion qui vous fait voir des personnages que vous savez morts depuis longtemps, et qui les fait parler en vers alexandrins ? Mais quel plaisir aurait-on à un autre spectacle où tout est illusion, si on ne savait pas s'y prêter ? Assurément, il y aurait bien à perdre, et ceux qui n'ont à l'opéra que le plaisir de la musique et des danses y ont un plaisir bien décharné et bien au-dessous de celui que donne l'ensemble de ce spectacle enchanteur. J'ai cité les spectacles, parce que l'illusion y est plus aisée à sentir. Elle se mêle à tous les plaisirs de notre vie, et elle en est le vernis.
J'irais presque jusqu'à dire que cette même chose, se connaître soi-même, est tempérance, d'accord en cela avec l'auteur de l'inscription de Delphes. Je m'imagine que cette inscription a été placée au fronton comme un salut du dieu aux arrivants, au lieu du salut ordinaire « réjouis-toi », comme si cette dernière formule n'était pas bonne et qu'on dût s'exhorter les uns les autres, non pas à se réjouir, mais à être sages. C'est ainsi que le dieu s'adresse à ceux qui entrent dans son temple, en des termes différents de ceux des hommes, et c'est ce que pensait, je crois, l'auteur de l'inscription à tout homme qui entre il dit en réalité : « Sois tempéré. » Mais il le dit, comme un devin, d'une façon un peu énigmatique ; car « Connais-toi toi-même » et « Sois tempéré », c'est la même chose, au dire de l'inscription et au mien. Mais on peut s'y tromper : c'est le cas, je crois, de ceux qui ont fait graver les inscriptions postérieures : « Rien de trop » et « Cautionner, c'est se ruiner. »
Vous devez enfin devenir maîtres de vous-mêmes. Et, par exemple, savoir faire respecter la loi que vous aurez choisie, comme celle du blocus et de la quarantaine. Un historiographe de Provence dit qu’autrefois, lorsque quelqu’un des consignés venait à s’échapper, on lui faisait casser la tête. Vous ne désirerez pas cela. Mais vous n’oublierez pas non plus l’intérêt général. Vous ne ferez pas d’exception à ces règles pendant tout le temps où elles seront utiles et même si votre coeur vous presse.
Les jésuites ont été, si on peut parler de la sorte, au rabais du marché de Pélage; ils ont dit aux chrétiens: vous pouvez tout, et Dieu vous demande peu de chose.
Xénophon a dit : « La chasse est la véritable image de la guerre. » Cela était vrai du temps où l'homme chassait pour se nourrir. Depuis, il a appris à chasser pour la chasse seule. Il est même des hommes qui ont remplacé la sanction du coup de fusil par celle du cliché photographique. Ce qui compte, c'est la recherche, la quête, l'intelligence de la nature et de ce qui y vit, et enfin ce moment extraordinaire où, tout étant accompli, on est, en une seconde, le maître de la vie ou de la mort d'une existence.
... tout ce que les hommes ont dit de mieux a été dit en grec.
Je n'ai pas dit : la populace, j'ai dit : les populaces. Dans ma pensée, ce pluriel est important. Il y a une populace dorée comme il y a une populace déguenillée ; il y a une populace dans les salons, comme il y a une populace dans les rues. À tous les étages de la société, tout ce qui travaille, tout ce qui pense, tout ce qui aide, tout ce qui tend vers le bien, le juste et le vrai, c'est le peuple ; à tous les étages de la société, tout ce qui croupit par stagnation volontaire, tout ce qui ignore par paresse, tout ce qui fait le mal sciemment, c'est la populace. En haut : égoïsme et oisiveté ; en bas : envie et fainéantise : voilà les vices de ce qui est populace. Et, je le répète, on est populace en haut aussi bien qu'en bas. J'ai donc dit qu'il fallait aimer le peuple ; un plus sévère eût ajouté peut-être : et haïr la populace. Je me suis contenté de la dédaigner.
Mille et une pensées (2005) de Philippe Bouvard
Références de Philippe Bouvard - Biographie de Philippe Bouvard
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Bouvard (n° 75738) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Chat du rabbin (2002-2015) de Joann Sfar
Références de Joann Sfar - Biographie de Joann Sfar
Plus sur cette citation >> Citation de Joann Sfar (n° 156452) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Différence entre l'esprit et l'humour, 37e congrès du P.E.N., 1970. de Tony Mayer
Références de Tony Mayer - Biographie de Tony Mayer
Plus sur cette citation >> Citation de Tony Mayer (n° 52739) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Je veux être futile à la France (2013), 14 décembre 2012 de François Morel
Références de François Morel - Biographie de François Morel
Plus sur cette citation >> Citation de François Morel (n° 162778) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, in L 'autre journal, n°1, mai 1990 de Gilles Deleuze
Références de Gilles Deleuze - Biographie de Gilles Deleuze
Plus sur cette citation >> Citation de Gilles Deleuze (n° 168466) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Discours de Michelle Obama au New Hampshire, Le 13 octobre 2016 de Michelle Obama
Références de Michelle Obama - Biographie de Michelle Obama
Plus sur cette citation >> Citation de Michelle Obama (n° 170425) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Grand entretien, France Info, le 08 juillet 2021 de Edgar Morin
Références de Edgar Morin - Biographie de Edgar Morin
Plus sur cette citation >> Citation de Edgar Morin (n° 172720) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Histoire socialiste de la Révolution française (1924) de Jean Jaurès
Références de Jean Jaurès - Biographie de Jean Jaurès
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Jaurès (n° 73903) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
Références de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline - Biographie de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
Plus sur cette citation >> Citation de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline (n° 44249) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Saturne (2020) de Sarah Chiche
Références de Sarah Chiche - Biographie de Sarah Chiche
Plus sur cette citation >> Citation de Sarah Chiche (n° 170778) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal en miettes (1967) de Eugène Ionesco
Références de Eugène Ionesco - Biographie de Eugène Ionesco
Plus sur cette citation >> Citation de Eugène Ionesco (n° 69049) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165201) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La légèreté (2014) de Emmanuelle Richard
Références de Emmanuelle Richard - Biographie de Emmanuelle Richard
Plus sur cette citation >> Citation de Emmanuelle Richard (n° 168814) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Orléans (2019) de Yann Moix
Références de Yann Moix - Biographie de Yann Moix
Plus sur cette citation >> Citation de Yann Moix (n° 163292) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Malade imaginaire (1673), I, 7, Argan de Molière
Références de Molière - Biographie de Molière
Plus sur cette citation >> Citation de Molière (n° 64724) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Soixante ans de souvenirs (1884) de Ernest Legouvé
Références de Ernest Legouvé - Biographie de Ernest Legouvé
Plus sur cette citation >> Citation de Ernest Legouvé (n° 167203) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Batouala (1921) de René Maran
Références de René Maran - Biographie de René Maran
Plus sur cette citation >> Citation de René Maran (n° 165813) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 171277) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Discours sur le bonheur (1779) de Émilie Du Châtelet
Références de Émilie Du Châtelet - Biographie de Émilie Du Châtelet
Plus sur cette citation >> Citation de Émilie Du Châtelet (n° 175233) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Charmide de Platon
Références de Platon - Biographie de Platon
Plus sur cette citation >> Citation de Platon (n° 159253) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Exhortation aux médecins de la peste (1941)
de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 168419) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Destruction des jésuites de Jean le Rond d'Alembert
Références de Jean le Rond d'Alembert - Biographie de Jean le Rond d'Alembert
Plus sur cette citation >> Citation de Jean le Rond d'Alembert (n° 36136) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Sport (1963) de Paul Vialar
Références de Paul Vialar - Biographie de Paul Vialar
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Vialar (n° 161610) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mémoires d'Hadrien (1951) de Marguerite Yourcenar
Références de Marguerite Yourcenar - Biographie de Marguerite Yourcenar
Plus sur cette citation >> Citation de Marguerite Yourcenar (n° 26580) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Correspondance, lettre à M. Pierre Vinçard rédacteur en chef de la Ruche populaire, le 2 juillet 1841 de Victor Hugo
Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
Plus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo (n° 158895) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
- Tabac - Tact - Talent - Tao - Tasse - Telephone - Telephone portable - Television - Temeraire - Temps - Tendresse - Tension - Tentation - Terre - Terrorisme - Theatre - Theme - Theologien - Therapie - Timidite - Timidité - Tissus - Titanic - Toilette - Tolerance - Tombe - Torture - Tourisme - Touriste - Tout l'amour - Tradition - Traduction - Trahison - Train - Traite - Transcendance - Transparence - Transport - Travail - Travailler - Trésor - Tricher - Triste - Tristesse - Tristesse - Tromper - Tuer - Tutoyer - Tyrannie
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur tout a ete dit
Toutes les citations sur tout a ete dit Citations tout a ete dit Citation sur tout Citations courtes tout
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens
