Citation Dans la vie on fait
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150 citations
Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Un artiste pour être tout à fait dans la vérité de la vie spirituelle doit être seul, et ne pas prodiguer de son moi, même à des disciples.
Ami lecteur, avant de pénétrer dans les méandres du récit, je voudrais te poser une question : Qui es-tu ? Je voudrais que tu réfléchisses un instant à ce qui fait que tu es toi. Il n’y a pas l’ombre d’un mouvement sectaire derrière cette entrée en matière, il n’y a pas de paroisse, pas de salut, pas d’enfer. Tout juste des questions, car les questions sont la vie même. Tant qu’il existera quelqu’un pour se questionner, l’humanité vivra, avancera, reculera, s’effondrera, renaîtra de ses cendres. Donc qui es-tu ?
On ne peut bien décrire la vie des hommes, si on ne la fait pas baigner dans le sommeil où elle plonge et qui, nuit après nuit, la contourne comme une presqu'île est cernée par la mer.
L'hérésie est la vie de la religion. C'est la foi qui fait les hérétiques. Dans une religion morte, il n'y a plus d'hérésies.
Les seuls gens vrais pour moi sont les fous, ceux qui sont fous d’envie de vivre, fous d’envie de parler, d’être sauvés, fous de désir pour tout à la fois, ceux qui ne baillent jamais et qui ne disent jamais de banalités, mais qui brûlent, brûlent comme des feux d’artifice extraordinaires, qui explosent comme des araignées dans les étoiles et en leur centre on peut voir la lueur bleue qui éclate et tout le monde fait « Waou » !
Dans la vie on fait ce qu'on peut. Le malheur, c'est qu'on peut faire beaucoup de bêtises.
On s’engage un jour dans un chemin qui fait de vous une certaine femme. Un autre chemin vous aurait conduite ailleurs et aurait fait de vous une tout autre femme. Elle croyait avoir oublié – ou du moins, presque oublié – que la vie aurait pu être différente. Dieu seul sait les efforts qu’elle avait faits en ce sens.
Mais la vie est "ainsi", depuis toujours, et tout en fait partie : douleur, séparation et nostalgie. Il faut la prendre comme un tout, et TOUT trouver beau et bien. Enfin, c'est comme ça que je fais. Et pas par sagesse longuement méditée, mais simplement parce que telle est ma nature. Je sens instinctivement que c'est la seule façon juste de prendre la vie, voilà pourquoi je me sens réellement heureuse dans n'importe quelle situation.
C'est dans un état bien particulier que j'écris ces mots, puisque cette nuit je ne serai plus. Je me trouve sans le sou, au terme de mon supplice de drogué qui ne supporte plus la vie sans sa dose, et je ne puis endurer plus longtemps ma torture. Je vais sauter par la fenêtre, me jeter dans cette rue sordide. Il ne faudrait pourtant pas croire que la morphine, dont je suis l'esclave, ait fait de moi un être faible ou dégénéré. Lorsque vous aurez lu ces quelques pages hâtivement griffonnées, vous ne vous étonnerez pas – encore que vous ne puissiez jamais le comprendre parfaitement – que je me trouve devant cette unique alternative : l'oubli ou la mort.
Les enfants ont un privilège: on ne leur demande pas de justifier leur existence. On ne demande pas à un enfant ce qu'il fait dans la vie. On le sait bien: il joue, il pleure, il rit. Il vit - et ça suffit pour vivre.
Il en a toujours été ainsi dans ma vie. Personne n'a jamais répondu à mon amour. Je ne demande qu'à aimer, qu'à avoir des amis et je demeure toujours seul. On me fait l'aumône, puis on me fuit. La chance ne m'a vraiment pas favorisé.
La vie se presse dans les coeurs, l'amour fait oublier tout ce qui n'est pas divin comme lui, et l'on vit plus en quelques instants que pendant de longues périodes.
Je compris que le mal, dans cette vie, ce n'étaient pas les échardes acérées qui vous piquent et vous blessent, mais le doux appel de l'amour auquel on fait la sourde oreille.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
Montrer les limites de l'interprétation psychanalytique et de l'explication marxiste et que seule la liberté peut rendre compte d'une personne dans sa totalité, faire voir cette liberté aux prises avec le destin, d'abord écrasée par ses fatalités puis se retournant sur elles pour les digérer peu à peu, prouver que le génie n'est pas un don mais l'issue qu'on invente dans les cas désespérés, retrouver le choix qu'un écrivain fait de lui-même, de sa vie et du sens de l'univers jusque dans les caractères formels de son style et de sa composition, jusque dans la structure de ses images, et dans la particularité de ses goûts, retracer en détail l'histoire d'une libération : voilà ce que j'ai voulu.
C'est la flamme intérieure qui fait les vraies bonnes photos. C'est ce qu'on donne de soi-même, la vie qu'on insuffle dans son regard.
Crois-moi, il n'y a pas de grande douleur, pas de grands repentirs, de grands souvenirs. Tout s'oublie même les grandes amours. C'est ce qu'il y a de triste et d'exaltant à la fois dans la vie. Il y a seulement une certaine façon de voir les choses et elle surgit de temps en temps. C'est pour ça qu'il est bon quand même d'avoir eu un grand amour, une passion malheureuse dans sa vie. Ça fait du moins un alibi pour les désespoirs sans raison dont nous sommes accablés.
Faire son deuil, c'est lancer une poignée de vie dans les yeux de la mort. On sait qu'elle n'en sera aveuglée qu'un bref instant, mais cela fait du bien.
Peut-être eût-il fait un bon général mais, dans sa vie privée, il fut un de ces profonds scélérats qui abritent leurs entreprises et leurs mauvaises actions derrière le paravent de la légalité et sous le toit discret de la famille...
Par-dessus tout, ce que je cherche déjà, sans le savoir, c’est à déchiffrer le mystère qui parvient à réunir deux êtres derrière la porte close d’une chambre à coucher, ce qui se trame alors entre eux. Comme dans les contes pour enfants où le merveilleux fait brusquement irruption dans le réel, la sexualité s’apparente dans mon imaginaire à un processus magique d’où naissent miraculeusement les bébés, et qui peut surgir à l’improviste dans la vie de tous les jours, sous des formes souvent indéchiffrables. Provoquée, ou accidentelle, la rencontre avec cette puissance énigmatique suscite très tôt chez l’enfant que je suis une curiosité persistante, et terrifiée.
Je pense que face à la même société, à la même époque, les femmes ont quand même à faire face à deux fois plus d'adversité que les hommes, parce qu'elles doivent déjà s'affranchir de la société, généralement aussi selon les époques, de leur famille, un rôle préconçu qu'on attend d'elles. Le fait qu'elles doivent déjà surmonter ça, et qu'en plus certaines d'entre elles arrivent à changer des choses dans leur vie et en général, et que ça ait une influence sur leur entourage et sur leur époque, c'était quelque chose qui m'intéressait.
Il y a longtemps que je ne suis pas allé en forêt. Je n'aime pas beaucoup ces zones inhumaines, je préfère rester à distance, sur la route, près des maisons, de la lumière. Ce qui me met mal à l'aise, ce qui - soyons honnête - me fait peur, ce ne sont pas les arbres, qui n'ont jamais fait de mal à personne, qui poussent tranquillement depuis toujours, ce n'est pas non plus la vie secrète qui s'y cache, les bêtes, invisibles mais sans doute innombrables, les oiseaux, les vers, les insectes, tout ce qui grouille, les limaces, les rongeurs (les loups ?) dissimulés dans les feuillages et l'ombre, je n'ai pas peur d'un écureuil ou d'un hibou - non, ce qui m'inquiète et me maintient à l'écart, c'est au contraire l'absence de vie perceptible, d'humanité, quand on regarde de l'extérieur (en voiture par exemple, ou derrière la vitre d'un train qui passe), le silence qu'on imagine, l'immobilité apparente de cet enclos vert figé, si vaste, rien ne bouge là-dedans depuis des années, des siècles, de loin on peut même supposer que rien n'y respire. Et à l'intérieur, dans le vert, il n'y a pas de témoin.
Le disciple que Jésus aimait » : Jean s'était désigné à cinq reprises (ce qui était assez désobligeant pour les autres disciples). Et il avait, seul, reposé sur la poitrine de Jésus. Et, comme par hasard, il était le plus jeune des Douze : une vraie jeune fille, à en croire les peintres. Et la mystérieuse palpitation de son Evangile... Dans la vie souffrante de Jésus, l'abbé de Pradts n'était touché que par cela : l'Evangile était pour lui une fable séduisante, analogue à la Théogonie, à l'Iliade, à l'Odyssée, aux Mille et Une Nuits. Et il y avait deux mille ans que les chrétiens lisaient cet épisode de Jean, sans que leur attention en fût éveillée. Quant à Alban, le personnage de la Passion pour qui il avait un faible était Ponce Pilate, Romain égaré parmi des Orientaux auxquels il n'entendait rien, et qui cependant s'efforçait avec obstination de sauver l'un d'eux qu'il pressentait être un pur. Un moment venait enfin où il cessait d'être courageux, moitié sur le conseil de sa femme (détail savoureux), moitié parce que « j'en ai par-dessus la tête de ces histoires de roi ou pas roi des Juifs. Qui est le roi des Juifs : est-ce moi qui peux le savoir ? J'en ai fait suffisamment ; qu'ils se débrouillent entre eux ; ah ! pour me punir de quoi (mais je crois deviner : je n'ai pas rampé assez dans l'affaire Servilius) m'a-t-on envoyé dans ce bled ? » Ponce Pilate n'était pas un héros, mais il était de ceux que les anges avaient nommés « les hommes de bonne volonté » . Pour Alban, ce Quirite juste et dédaigneux était vraiment un ami.
Le pire dans tout ça, poursuivit le savant, c'est que l'imagination, source de toute créativité, est aussi détruite par le temps passé devant les écrans. Une étude canadienne a montré que des enfants vivant sans télévision parvenaient à inventer 40 % d'usages possibles en plus pour un objet que les enfants qui la regardent. D'une part, parce que la télé fait le récit à la place de l'enfant et, d'autre part, parce qu'elle le prive d'un temps de jeu dans la vie réelle. Des jeux qui le forceraient à s'adapter à des contraintes physiques très concrètes : lancer le ballon au bon endroit malgré le vent, fixer deux morceaux de bois ensemble sans outils, ou même tout simplement planifier la construction de son village de jouets. Cette expérience de la vraie vie est celle qui nous permet en tant qu'humains de développer nos capacités cognitives et motrices qui sont les socles de l'intelligence.
De l'esprit des lois (1748) de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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A la recherche du temps perdu, A l'ombre des jeunes filles en fleurs (1919) de Marcel Proust
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Loin (2021) de Alexis Michalik
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A la recherche du temps perdu, Le Côté de Guermantes (1921-1922) de Marcel Proust
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Péguy de André Suarès
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Sur la route (1957) de Jack Kerouac
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Sans référence de Alfred Capus
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Tous les fleuves vont à la mer (1978) de Belva Plain
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Rosa, la vie : lettres de Rosa Luxemburg de Rosa Luxemburg
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Dagon (Dagon and Other Macabre Tales) - (1965) de Howard Phillips Lovecraft
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La merveille et l'obscur (1991) de Christian Bobin
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Mes amis (1924) de Emmanuel Bove
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Armance (1827) de Henri Beyle, dit Stendhal
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La lettre à Helga (2013) de Bergsveinn Birgisson
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La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
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Saint Genet, comédien et martyr (1952) de Jean-Paul Sartre
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Dans Paris Match, 26 février 2015 de Laetitia Casta
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La Mort heureuse (1971) de Albert Camus
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Parfums (2012) de Philippe Claudel
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La Rabouilleuse (1842) de Honoré de Balzac
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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France TV Info, 29 septembre 2016 de Pénélope Bagieu
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Au printemps des monstres (2021) de Philippe Jaenada
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Le dernier message (2021) de Nicolas Beuglet
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