Citation Sur le temps
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Une Sélection de 510 citations et proverbes sur le thème Sur le temps.
510 citations
Je pense à gagner sérieusement de l’argent. Ma liberté est là, uniquement là. Le temps dont je dispose est très court. Je veux qu’il soit sans angoisse du lendemain — cette fameuse angoisse que personne n’a pu m’enlever. L’argent ne fait pas le bonheur : une phrase inventée pour calmer les pauvres ! L’argent fait mon bonheur, je le proclame. Quelle volupté de signer de mon nom sur le chèque, en bas et à droite ! Ce nom est à moi ; il est la somme de mes efforts, de mon travail. Il est ma jouissance et mon orgueil, le signe le plus visible de ma liberté. De ma réussite.
J'ai la main malheureuse, je casse de temps en temps une écuelle, un verre. Ma mère crie ... que nous serons bientôt sur la paille, si ce brise-tout ne se corrige pas.
Longtemps, on reste sur cette terre comme une chenille, dans l'attente du papillon splendide et diaphane que l'on porte en soi. Et puis, le temps passe, la nymphose ne vient pas, on reste larve, constat affligeant, qu'en faire
J'ai longtemps hésité à écrire un livre sur la femme. Le sujet est irritant, surtout pour les femmes; et il n'est pas neuf. La querelle du féminisme a fait couler assez d'encre, à présent elle est à peu près close : n'en parlons plus. On en parle encore cependant. Et il ne semble pas que les volumineuses sottises débitées pendant ce dernier siècle aient beaucoup éclairé le problème. D'ailleurs y a-t-il un problème? Et quel est-il ? Y a-t-il même des femmes ?
Théoriquement on sait que la terre tourne, mais en fait on ne s'en aperçoit pas, le sol sur lequel on marche semble ne pas bouger et on vit tranquille. Il en est ainsi du Temps dans la vie.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il n’existe pas de beauté sur le Plateau, au sens où il entend ce mot. Pas d’émotion palpable, rien que le froid déroulement du temps.
Les méditations sur la mort (genre Pascal) sont le fait d'hommes qui n'ont pas à lutter pour leur vie, à gagner leur pain, à soutenir des enfants. - L'éternité occupe ceux qui ont du temps à perdre. Elle est une forme du loisir.
Nous sommes sur le promontoire extrême des siècles !... À quoi bon regarder derrière nous, du moment qu'il nous faut défoncer les vantaux mystérieux de l'Impossible ? Le Temps et l'Espace sont morts hier. Nous vivons déjà dans l'absolu, puisque nous avons déjà créé l'éternelle vitesse omniprésente.
Je voulais appeler le film pendant un temps Le Lieu et la parole, racontait-il en 1985 sur France Culture, dans l'émission Le Cinéma des cinéastes. C'est en effet essentiel parce que ces lieux vides, ces lieux défigurés, cette sorte de... non-lieu de la mémoire d'une certaine façon se met à vivre par la parole mais les lieux en même temps donnent à la parole une vérité extraordinaire.
Les grands amoureux sont de grands oisifs. Ou de grands rêveurs. Lamartine sur son lac, Musset à Venise, Chopin au piano, Albert Cohen, fonctionnaire distrait. Ils ralentissaient le temps, dépiautaient chaque minute pour en faire une éternité de frissons.
Maintenant, pour revenir au sérieux, je présente ce livre au public avec la ferme conviction que tôt ou tard il rencontrera ceux pour qui seuls il est fait ; au surplus, je me repose tranquillement sur cette pensée, qu'il aura lui aussi la destinée réservée à toute vérité, à quelque ordre de savoir qu'elle se rapporte, et fût-ce au plus important : pour elle un triomphe d'un instant sépare seul le long espace de temps où elle fut taxée de paradoxe, de celui où elle sera rabaissée au rang des banalités. Quant à l'inventeur, le plus souvent il ne voit de ces trois époques que la première ; mais qu'importe ? si l'existence humaine est courte, la vérité a les bras longs et la vie dure : disons donc la vérité.
Il a dit, au moins cent fois: «Vache de temps» et: «Temps de chien!» parce que la vache du temps lui pissait sur la figure et que le chien le mordillait partout.
Pour échapper à la souffrance, le plus souvent on se réfugie dans l'avenir. Sur la piste du temps, on imagine une ligne au-delà de laquelle la souffrance présente cessera d'exister.
On devient très sanguinaire par les temps qui courent, et l’on voudrait que tout le peuple allemand soit anéanti, avec seulement quelques individus épargnés, sur le modèle Sodome et Gomorrhe.
Le besoin qu’éprouve l’homme primitif de couvrir d’ornements son visage et tous les objets dont il se sert est l’origine même de l’art, le premier balbutiement de la peinture. C’est un besoin d’origine érotique, le même besoin d’où jaillissaient les symphonies d’un Beethoven. Le premier homme qui barbouilla un ornement sur la paroi de sa caverne éprouva la même jouissance que Beethoven composant la Neuvième. Mais si le principe de l’art reste identique, l’expression varie au cours des siècles, et l’homme de notre temps qui éprouve le besoin de barbouiller les murs est un criminel ou un dégénéré. Ce besoin est normal chez l’enfant, qui commence à satisfaire son instinct artistique en crayonnant des symboles érotiques. Chez l’homme moderne et adulte, c’est un symptôme pathologique.
Je copiais ces lignes de Paul Valéry que je porte sur moi depuis lors et qu'il avait écrites le 30 mai 1945 : « J'ai la sensation que ma vie est achevée, c'est-à-dire que je ne vois rien à présent qui demande un lendemain. Ce qui me restes à présent ne peut être désormais que du temps à perdre. Après tout, j'ai fait ce que j'ai pu. »
il n'y a pas dans la conscience sociale du prolétariat universel une seule protestation contre le régime capitaliste qui ne condamne en même temps par une logique invincible les annexions violentes pratiquées sur des peuples qui n'acceptent pas l'autocratie militaire de l'étranger.
Le chemin n'est pas fait pour aller vite d'un point A à un point B, il est fait pour se perdre, et perdre du temps. Ou prendre son temps, sil l'on veut. Retrouver un monde à taille humaine et ses humains habitants. Ses animaux et ses végétaux. Chaque nouvelle erreur est une nouvelle rencontre, chaque pas sur un sentier en creuse davantage l'existence sur la croûte terrestre, et l'on zigzague autour de la modernité à quatre kilomètres à l'heure.
Hélas! j'aurai passé près d'elle inaperçu, - Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire, - Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, - N'osant rien demander et n'ayant rien reçu.
A voir leurs mimiques et leurs sourires, j'ai vu qu'elles plaisantaient sur l'entorse à leur régime. Les femmes font tout le temps des régimes auxquels elle adorent faire des infidélités.
J'ai la sensation que ma vie est achevée, c'est-à-dire que je ne vois rien à présent qui demande un lendemain. Ce qui me reste à vivre ne peut plus désormais être que du temps à perdre. Après tout j'ai fait ce que j'ai pu. Je connais 1. assez mon esprit. Je crois que ce que j'ai trouvé d'important — je suis sûr de cette valeur — ne sera pas facile à déchiffrer de mes notes. — Peu importe. Je connais my heart aussi. Il triomphe. Plus fort que tout, que mon esprit, que l'organisme. — Voilà le fait. Le plus obscur des faits. Plus fort que le vouloir vivre et que le pouvoir comprendre est donc ce sacré coeur. — « Coeur », c'est mal nommé. Je voudrais au moins, trouver le vrai nom de ce terrible résonateur. Il y a quelque chose en l'être qui est créateur de valeurs, et cela est tout-puissant, irrationnel, inexplicable, ne s'expliquant pas. Source d'énergie séparée mais qui peut se décharger aussi bien pour que contre la vie de l'individu.
Si vous saviez ! C'est le mal du siècle. Tous ces pauvres enfants sont livrés à eux-mêmes, pendant que les deux parents sont dévorés par la même ambition. C'est simple, ils courent tout le temps. Vous savez quelle est la phrase que les parents disent le plus souvent à leurs enfants ? « Dépêche-toi ! » Et bien sûr, c'est nous qui subissons tout. Les petits nous font payer leurs angoisses et leur sentiment d'abandon.
La dispute de cette rentrée a été furieuse. On a longtemps vu sur le montant de la porte toutes sortes d'empreintes de mains sanglantes.
De temps en temps, l'esprit d'un homme est étiré par une nouvelle idée ou sensation, et ne recule jamais vers ses anciennes dimensions. Après avoir regardé les Alpes, j'ai senti que mon esprit avait été étiré au-delà des limites de son élasticité, et ajusté si lâchement sur mes vieilles idées d'espace que j'ai dû les étaler pour l'adapter.
Alice (1972) de Alice Sapritch
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Jacques Vingtras, l'Enfant (1879) de Jules Vallès
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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Le Deuxième Sexe (1949) de Simone de Beauvoir
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A la recherche du temps perdu, A l'ombre des jeunes filles en fleurs (1919) de Marcel Proust
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Plateau (2017) de Franck Bouysse
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Mauvaises pensées et autres (1941) de Paul Valéry
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Manifeste du futurisme, Le Figaro, 20 février 1909. de Filippo Tommaso Marinetti
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Claude Lanzmann pour son film "Shoah" dans l'émission "Le cinéma des cinéastes" le 02/06/1985 sur France Culture.
de Claude Lanzmann
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Embrassez-moi (2003) de Katherine Pancol
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Préface de la première édition de Le Monde comme volonté et comme représentation de Arthur Schopenhauer
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La Belle Lurette (1935) de Henri Calet
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L'insoutenable légèreté de l'être (1984) de Milan Kundera
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Comme neige au soleil (1982) de William Boyd
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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L'honneur de vivre: témoignage (1974) de Robert Debré
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Discours prononcé à la chambre des députés de l'Assemblée nationale le 7 mars 1895, de Jean Jaurès
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En avant, route ! (2010) de Alix de Saint-André
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Sans référence de Alexis-Félix Arvers
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Robe de marié (2009) de Pierre Lemaitre
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Cahiers, 10 mai 1945 de Paul Valéry
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Chanson douce de Leïla Slimani
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Les Misérables (1862) de Victor Hugo
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L'Autocrate à la table d'hôte de Oliver Wendell Holmes
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