Citation c est moi
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Une Sélection de 350 citations et proverbes sur le thème c est moi.
350 citations
... vous ne me consolerez pas avec la pensée du malheur d'autrui. Ce que je souffre est pour moi.
Nous nous tutoyons ou nous nous vouvoyons?
Tutoyons-nous
Vous vouvoyez souvent ?
Je tutoie comme je vouvoie
Moi, je me tue à tutoyer, mais tout me voue à vouvoyer
Vous nous voyez nous vouvoyer ?
Nous voirons; je veux dire, nous verrons
Tout à fait, toutefois tout nous fait nous tutoyer; d'ailleurs, qui vous vouvoie ?
Mes parents, mais je ne les vois jamais
Ainsi, vos vieux vous vouvoient sans vous voir
Et toi, qui te tutoie ?
Mon oncle, mais seulement chez moi
Donc, ton tonton te tutoie sous ton toit
Oui, mais mon neveu ne veut nous vouvoyer
Et que faites-vous des dames ?
Tutoyons les veuves et vouvoyons les tantes
Mais ma tante est veuve; elle vouvoie son toutou et tutoie sa voiture
Vous n'aurez qu'à louvoyer, tantôt la tutoyer, tantôt la vouvoyer
Et les nouveaux venus, les vouvoierons-nous ?
Je veux voir les nouveaux venus nous vouvoyer. Les nouveaux non vouvoyants se verront renvoyés comme des voyous
Et les non voyants ?
Les non voyants vouvoieront !
Même au nouvel an ?
J'aimerais vous y voir, sous leur nombre les non vouvoyants vont vous noyer
Au nouvel an, votre dévoué n'envoie de voeux qu'aux vouvoyants non dévoyés
Vous vous fourvoyez !
Je ne me fourvoie pas, monsieur, mais je me fous de vous revoir !
Alors, allez vous faire voir !Donc, premièrement, permettez-moi d'affirmer ma ferme conviction que la seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle-même — l'indéfinissable, la déraisonnable, l'injustifiable terreur qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir la déroute en marche en avant.
The Poetics of Music […] qui, avec une édition anglaise des écrits de Paul Klee intitulés The Thinking Eye […], est devenu une de mes bibles dans les années soixante, et ce paragraphe en particulier a fait résonner une corde très puissante : « Ainsi ma liberté consiste en ma façon d’évoluer dans le cadre étroit que je me suis assigné pour chacune de mes entreprises. J’irai même plus loin : ma liberté sera d’autant plus grande et plus significative, plus je limiterai étroitement mon champs d’action, plus je m’entourerai d’obstacles. Tout ce qui diminue la contrainte diminue la force. Plus on impose de contraintes, plus on se libère des chaînes qui entravent l’esprit. » Je pense que c’est un très beau texte, et c’est devenu pour moi un principe directeur.
Me voici, être humain violent, blanc, noir, brun ou rouge, et il ne m'intéresse pas de savoir si j'ai hérité de cette violence ou si la société l'a engendré en moi : ce qu'il m'importe de savoir, c'est si je peux m'en libérer.
Je suis le plus grand, je suis le meilleur, la seule différence avec les autres champions, c'est que moi je n'ai pas encore commencé à jouer.
Moi, à cause du froid (car il ne fait pas chaud du tout, le temps est sec) et par précaution, j'ai dès maintenant endossé la chemise de flanelle. Me voilà donc condamné au gilet de santé.
Au début de chaque atelier, je demande aux stagiaires de se poser et de répondre publiquement à la question " Qui je suis ? ". C'est le point de départ de toute création. Car il ne s'agit pas pour moi de leur faire simuler des personnages, mais de leur permettre, au contraire, de les assumer à travers leur propre langage, puis de se hisser par le travail, la lecture, l'écriture, jusqu'à la force de la poésie. Le premier jour, je dis toujours : " Au commencement était le verbe, et le verbe était Dieu. Voulez-vous être Dieu avec moi ? "
La première fois que j'ai mis les pieds en Amérique, c'était au Québec. C'était en 1965 et c'est ici que j'ai vu ma première Cadillac, ma première Mustang, mangé mon premier smoked meat et mon premier hamburger et vu mon premier gros building. Pour un Français américanophile comme moi, c'était l'idéal. à un point tel que plus tard, lorsque je suis enfin allé à New York, j'ai été presque déçu. Le choc de la découverte, je l'avais vécu à Montréal.
Je suis le plus samplé, le plus volé. Ce qui est à moi est à moi, et ce qui est à vous est à moi aussi. J'ai une chanson là-dessus, mais je ne la publierai jamais. Je ne veux pas entrer en guerre avec les rappeurs. Si ça n'était pas bon, ils ne l'auraient pas volé.
J’aborde les rôles avec ma personnalité. Je ne sais pas faire autrement. Mais ce sont des rôles très différents pour moi. Le seul que je revendique pleinement comme étant un décalque de moi, c’est le personnage de Georges dans Cuisine et Dépendances (1993). Il n’y a pas une réplique que moi, Jean-Pierre Bacri, je renierais. Peut-être qu’aujourd’hui j’aborde les personnages avec un peu plus de lenteur. Inconsciemment, ma manière de les jouer a quelque chose à voir avec une forme de maturité.
J'ai des liens assez forts avec la Bretagne ; grâce à l'absence de télévision, et à la bonne volonté de mes parents qui le soir, l'hiver au coin du feu, l'été, l'après-midi, sur la terrasse, me lisaient des légendes, me racontaient des histoires. Parmi toutes ces histoires, bien entendu il y avait ce qu'on appelle la matière de Bretagne. J'ai baigné là-dedans : le rythme effréné des galops de chevaux, le choc des épées sur les boucliers... Et puis également, c'est en Bretagne qu'on allait en vacances, quand j'étais petit. Tout ça pour dire que même si je n'ai rien de breton en moi, la Bretagne m'a durablement influencé. Et c'était donc tout naturel que mon premier livre se déroule dans une ambiance celte.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Sur cette question du bonheur de la répétition, j'ai aussi l'exemple de mon jeune chien. C'est un Welsh corgi, un chien très populaire dans les pays anglo-saxons. Un peu comme un renard... mais roux et blanc. Il peut aller rechercher la balle que je lui lance pendant trois heures avec une joie intacte. Pourquoi est-ce que moi, je m'amuse moins? Ce n'est pas seulement la taille du cerveau... Il y a aussi cette idée qu'il faut absolument que des choses nouvelles et merveilleuses vous arrivent. Ça donne à penser...
Comment admettre qu’on a été abusé, quand on ne peut nier avoir été consentant ? Quand on a ressenti du désir pour cet adulte qui s’est empressé d’en profiter ? Pendant des années, je me débattrai moi aussi avec cette notion de victime.
Mon idée d'une personne agréable est celle d'une personne qui est d'accord avec moi.
Ben Laden restera dans l'histoire, sa notoriété est internationale et indiscutable. Pour moi, c'est le personnage le plus important de l'histoire contemporaine. Il a réussi à changer les rapports de force. Il est seul contre la plus grande puissance du monde. Donc forcément cela impose le respect.
Hâtons-nous; le temps fuit et nous traîne avec soi:
Le moment où je parle est déjà loin de moi.Qu'est-ce que la créolisation ? C'est un mélange inextricable de cultures dont on ne peut prédire à l'avance les résultantes. Ce phénomène appelle une nouvelle manière de penser, rompant avec l'ancienne qui consistait à réagir en disant : « Je ne veux pas de ça car cela ne vient pas de chez moi. » Je crois cette notion de créolisation utile pour penser le monde d'aujourd'hui. Mais je suis opposé à l'idée de créolité, qui fixe et fige sur l'ancien mode identitaire.
J’ai tant regardé la rivière
et le soleil
et le doux ciel,
que j’ai lâché mon roseau vert.
Il est allé dans l’eau si claire,
il est allé jusqu’à la mer !
J’ai voulu cueillir aussitôt
un autre roseau si beau,
mais je me suis coupée aux herbes,
mes cheveux ont traîné dans l’eau...
(Ah ! rendez-moi donc mon roseau
et ma prairie et ma rivière !)
J’ai vu passer le fils du roi ;
il m’a dit : « Ma belle, pourquoi,
le long de la jolie rivière,
pourquoi pleures-tu là ? »
Ha ! Ha !
C’était le fils du roi.
Il m’a dit : « Viens avec moi,
et si tu veux tu seras reine.
Tu auras pour filer la laine
un rouet d’or, et un fuseau
aussi léger qu’un os d’oiseau !»
Las! je suis reine et prisonnière
dans un royaume merveilleux.
Mon cœur, mon cœur a tant de peine,
pleurez, pleurez, mes yeux.
Où sont mes sœurs et ma rivière ?
J’ai perdu mon roseau vert.Vous tous qui êtes la Ville,
Esprits et hommes,
La grande ville de Pallas!
Soyez saints, et vous saurez que le partage avec moi n'est pas une chose redoutable.Oui, il y a, parfois, quelques raccords qui pèchent, faute de temps et d'argent. Mais la perfection de Titanic m'emmerde. Je la trouve hypocrite. La perfection n'est pas de ce monde, donc il y a forcément une faille. On perd du temps à la trouver. Avec moi, au moins, elle est visible... Si j'y passais plus de temps, mes films seraient plus léchés, plus lisses. Pas sûr qu'ils seraient meilleurs.
Raph dit que la mauvaise humeur, c'est comme la grippe : il suffit qu'il y en ait un qui l'ait pour que dix l'attrapent. Moi, ce que je comprends pas c'est qu'on arrive pas à contaminer les gens aussi avec la bonne humeur. Raph m'a répondu que les maladies sont beaucoup plus faciles à transmettre que les B-attitudes comme le Beau, le Bon et le Bien.
«Après moi le déluge» est la devise inavouée de tout un chacun: si nous admettons que d'autres nous survivent, c'est avec l'espoir qu'ils en seront punis.
– De quoi dépend la grandeur et le salut d’un État ?... De la police, n’est-ce pas ?
– C’est vrai, général.
– Un pays sans police est un grand navire sans boussole et sans gouvernail.
– C’est à la fois juste et poétique, Gibassier.
– On peut donc regarder la mission de l’homme de police comme la plus sainte, la plus délicate et la plus utile à la fois de toutes les missions.
– Ce n’est pas moi qui vous dirai le contraire.
– D’où vient donc, alors, que, pour occuper cette fonction importante, pour remplir cette mission conservatrice, on choisit d’ordinaire des idiots de la plus laide espèce ? d’où vient cela ? Je vais vous le dire : c’est que la police, au lieu de s’occuper des grandes questions gouvernementales, entre dans les détails les plus infimes et se laisse aller à des préoccupations tout à fait indignes d’elle.
Le Ressassement éternel de Maurice Blanchot
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Mots et Grumots (2003) de Marc Escayrol
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Discours d'investiture de Franklin Delano Roosevelt, le 4 mars 1933 de Franklin Delano Roosevelt
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The Twin Dimensions: Inventing Time and Space de Igor Féodorovitch Stravinski
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Se Libérer du connu (1970) de Jiddu Krishnamurti
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En réponse à un collègue qui lui demanda comment il s'en tirait au golf. de Mohammed Ali ou Cassius Clay
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Correspondance, 3 novembre 1849 de Gustave Flaubert
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Entretien d'Armand Gatti, Télérama 1995 de Armand Gatti
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Interview Véridique comme dans... very Dick, cyberpress.ca parue le 1 juin 2008 de Dick Rivers
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"Being James Brown", 12 juin 2006, dans Rolling Stone Magazine. de James Brown
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Interview Trois Couleurs, Propos recueillis par Renan Cros, Octobre 2017 de Jean-Pierre Bacri
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Interview accordée par Erik L'Homme
à Harmonia Amanda et Tsaag Valren, pour Wikinews, le 12 novembre 2011 de Erik L'Homme
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Propos recueillis par Didier Sénécal, paru Lire, septembre 2001. de Michel Houellebecq
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Sans référence de Benjamin Disraeli
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Entretien pour L'Écho des savanes, février 2002 de Dieudonné
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Epîtres (1669-1695), III de Nicolas Boileau-Despréaux
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Entretien L'Humanité, 6 Février 2007 réalisé par Rosa Moussaoui et Fernand Nouvet de Edouard Glissant
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Petites voix (1930) de Madeleine Ley
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L'Orestie (458 av. J.-C.), Les Euménides de Eschyle
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Hommage Jean-Pierre Mocky, mort d’un anar du cinéma, Télérama, le 09 Aout 2019 de Jean-Pierre Mocky
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Jade et les sacrés mystères de la vie (1991) de François Garagnon
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De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
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Les Mohicans de Paris (1854-1855) de Alexandre Dumas
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