Citation car je
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Une Sélection de 520 citations et proverbes sur le thème car je.
520 citations
Que ne suis-je un arbre sans fleurs ni fruits, - Car la peine causée par l'abondance est plus amère que la stérilité, - Et la douleur du riche dont on ne veut rien accepter - Est plus cruelle que celle du mendiant qui ne reçoit rien de personne.
Quand je vais dans un pays, je n'examine pas s'il y a de bonnes lois, mais si on exécute celles qui y sont, car il y a de bonnes lois partout.
... je vois une absence de signification en toute chose; - je vois cela et je m'aime, car être une chose c'est ne rien signifier. - Etre une chose, c'est ne pas être susceptible d'interprétation.
Je ne confonds pas les casseurs avec des concitoyens qui veulent faire passer un message, j'éprouve de la compréhension pour ces concitoyens, mais je ne céderai rien à ceux qui veulent la destruction et le désordre, car la République, c'est à la fois l'ordre public et la libre expression des opinions.
Je ne dirai pas les raisons que tu as de m'aimer. Car tu n'en as point. La raison d'aimer, c'est l'amour.
Dans tout service, il faut des gens intelligents, car enfin il y a un travail à faire, se disait-il. Sous Napoléon, j'eusse été sergent; parmi ces futurs curés, je serais grand vicaire.
Car moi, le mutilé de la face, je ne vieillirai pas. La guerre m'a fait vieillard à vingt-quatre ans. Je n'ai pas eu le courage de me suicider. J'ai eu le courage de ne pas me suicider. La rancoeur, l'aigreur menacent. Je fais face à l'ennemi intérieur.
Vous-imaginez-vous à quelle intensité de souffrance aveugle peut atteindre un petit enfant innocent chargé dès son plus jeune âge, du fardeau de la connaissance, car je crois que certains êtres naissent vieux, lucides et tristes.
Je fais la même entreprise que Montaigne, mais avec un but tout contraire au sien ; car il n'écrivait ses Essais que pour les autres, et je n'écris mes rêveries que pour moi.
Nous ne parlerions pas de Manderley, je ne raconterais pas mon rêve. Car Manderley n'est plus.
Je parle un langage de décombres où voisinent les soleils et les plâtras. Car j'annexe également les miettes multicolores des villes.
Je pense à ce que dit Millet : Je ne veux point supprimer la souffrance, car souvent c'est elle qui fait s'exprimer le plus énergiquement les artistes.
Je me souvins d'un matin où j'avais découvert un cocon dans l'écorce d'un arbre, au moment où le papillon brisait l'enveloppe et se préparait à sortir. J'attendis un long moment, mais il tardait beaucoup, et moi j'étais pressé. Énervé je me penchai et me mis à le réchauffer de mon haleine. Je le réchauffais, impatient, et le miracle commença à se derouler devant moi, à un rythme plus rapide que nature. L'enveloppe s'ouvrit, le papillon sortit en se traînant, et je n'oublierai jamais l'horreur que j'éprouvai alors: ses ailes n'étaient pas encore écloses et de tout son petit corps tremblant il s'efforçait de les déplier. Penché au-dessus de lui, je l'aidais de mon haleine. En vain. Une patiente maturation était nécessaire et le déroulement des ailes devait se faire lentement au soleil, maintenant il était trop tard. Mon souffle avait contraint le papillon à se montrer, tout froissé, avant terme. Il s'agita, désespéré, et, quelques secondes après, mourut dans la paume de ma main. Ce petit cadavre , je crois que c'est le plus grand poids que j'aie sur la conscience. Car, je le comprends bien aujourd'hui, c'est un péché mortel que de forcer les grandes lois. Nous ne devons pas nous presser, ne pas nous impatienter, suivre avec confiance le rythme éternel.
Je rends grâce à Dieu car il fit plusieurs Eves, - Une aux long cheveux d'or, une autre au sein bruni, - Une gaie, une tendre, et quand il eut fini, - Ce Dieu qui, au fond, crée toujours les mêmes choses, - Avec ce qui restait des femmes fit... les roses.
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre. Et, d’avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n’osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l’on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n’en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n’ont pas la force de résister à l’ambiance. On s’habitue à l’alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d’assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l’espace de trente jours. Depuis, hélas ! j’en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu’il a pu boire en un mois.
C'est pourquoi je désire qu'ils épaulent solidement les maîtres couples du navire. Afin de les sauver de génération en génération, car je n'embellirai point un temple si je le recommence à chaque instant.
Je vous le dis en vérité, celui qui aime, son coeur est un paradis sur la terre. Il a Dieu en soi, car Dieu est amour.
Si vous dites que la race n'a jamais été un problème, c'est uniquement parce que vous souhaitez qu'il n'y ait pas de problème. Moi-même je ne me sentais pas noire , je suis devenue noire qu'en arrivant en Amérique. Quand vous êtes noire en Amérique et que vous tombez amoureuse d'un Blanc, la race ne compte pas tant que vous êtes seuls car il s'agit seulement de vous, et de celui que vous aimez. Mais dès l'instant où vous mettez le pied dehors, la race compte. Seulement nous n'en parlons pas. Nous ne mentionnons même pas devant nos partenaires blancs les petites choses qui nous choquent et que nous voudrions qu'ils comprennent mieux, parce que nous craignons qu'ils jugent notre réaction exagérée ou nous trouvent trop sensibles.
Il pleut. C’est Noël.
Vers le Nord, c’est mieux :
Il y a la neige qui fait mal.
Et le froid, bien pire encore.
Et tout le monde est content
Parce qu’il faut l’être aujourd’hui.
Il pleut en ce jour de Noël.
Mais cela est préférable à la neige.
Car bien que ce soit
Le Noël conventionnel,
Quand mon corps refroidit
J’ai le froid mais pas Noël.
Je laisse sentir cette période à ceux qui le souhaitent,
Et Noël à ceux qui l’ont fait,
Car si j’écris un autre quatrain
J’en aurais les pieds gelés.
Je ne veux pas faire partie des ingrats
Mais avec ces cieux obscurs,
On a mis dans mes chaussures
Seulement ce que la pluie m’a apporté.Je ne regrette pas d'avoir été refaite par les mains du Seigneur. - Il ne m'a sauvée ni de la mort, ni des maux, ni du crime, car c'est par eux qu'on se sauve. Il m'a sauvée du bonheur.
Il n'y a pas d'accord entre les Républicains et les socialistes, il n'y aura pas de combines car ce n'est pas comme ça que ça se passe, « passe-moi la salade, je t'envoie la rhubarbe ».
Un grand homme n’a qu’un souci : devenir le plus humain possible, — disons mieux : devenir banal. Devenir banal, Shakespeare, banal Gœthe, Molière, Balzac, Tolstoï… Et chose admirable, c’est ainsi qu’il devient le plus personnel. Tandis que celui qui fuit l’humanité pour lui-même, n’arrive qu’à devenir particulier, bizarre, défectueux… Dois-je citer le mot de l’Évangile ? Oui, car je ne pense pas le détourner de son sens : « Celui qui veut sauver sa vie (sa vie personnelle) la perdra ; mais qui veut la perdre la sauvera (ou pour traduire plus exactement le texte grec : « la rendra vraiment vivante »).
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Je crois en la bonté de l'être humain, car au bout du compte, nous avons toujours le recours de puiser dans le meilleur de nous-même.
Je n'ai jamais recherché les hommages et pourtant, dès mon plus jeune âge, j'ai eu grand souci de la gloire. Mes livres, durant longtemps, n'eurent aucun succès et je ne m'en affectais guère, car je ne doutais pas qu'ils méritassent d'être lus... plus tard me disais-je.
Le Jardin du prophète de Khalil Gibran
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De l'esprit des lois (1748) de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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Le Gardeur de troupeaux et autres poèmes de Fernando Pessoa
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Discours du Président de la République Emmanuel Macron relatif à la stratégie et à la méthode pour la transition écologique, le 27 novembre 2018 de Emmanuel Macron
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Citadelle (1948) de Antoine de Saint-Exupéry
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Le Rouge et le Noir (1830) de Henri Beyle, dit Stendhal
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La Chambre des officiers (1999) de Marc Dugain
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Les vierges et autres nouvelles (2009) de Irène Némirovsky
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Les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778, édition posthume 1782) de Jean-Jacques Rousseau
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Rebecca (1938) de Daphne du Maurier
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Traité du style (1928), Le Porte-Plume de Louis Aragon
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Lettres de Vincent à son frère Théo (1872-1890) de Vincent Van Gogh
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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Sans référence de Victor Hugo
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Batouala (1921) de René Maran
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Citadelle (1948) de Antoine de Saint-Exupéry
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Paroles d'un croyant (1834) de Félicité Robert de Lamennais
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Americanah (2014) de Chimamanda Ngozi Adichie
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Noël (1922) de Fernando Pessoa
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Feux (1936) de Marguerite Yourcenar
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France2, journal de 20h00, 8 décembre 2015. de Nicolas Sarkozy
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De l'influence en littérature (1900) de André Gide
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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RTL, Journat Télévisé du 8 octobre 2008. de Ingrid Betancourt
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Texte envoyé Le 13 novembre 1947 par Gide au jury du prix Nobel de André Gide
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