Citation d eau dans la
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Une Sélection de 300 citations et proverbes sur le thème d eau dans la.
300 citations
Dans la salle d'abattoir blanche et rouge, frappe le coup sourd du marteau au clou acéré qui entre très vite dans la nuque du boeuf.
Les mots, j'ai appris à les aimer tous, les simples et les compliqués que je lisais dans le journal du maître, ceux que je comprends pas toujours et que j'aime quand même, juste parce qu'ils sonnent bien. La musique qui en sort souvent est capable de m'emmener ailleurs, de me faire voyager en faisant taire ce qu'ils ont dans le ventre, pour faire place à quelque chose de supérieur qui est du rêve. Je les appelle des mots magiciens : utopie, radieux, jovial, maladrerie, miscellanées, mitre, méridien, pyracantha, mausolée, billevesée, iota, ire, parangon, godelureau, mauresque, jurisprudence, confiteor, et tellement d'autres que j'ai retenu sans effort, pourtant sans connaître leur sens
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l’ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
Je m’endormis et rêvai aux bâches avec lesquelles nous avions recouvert les morts, cette nuit-là, et dans mon rêve elles se soulevaient et nous pensions que c’était le vent et nous avions beau planter les piquets elles se soulevaient encore. Nous les retenions avec nos mains mais une force plus grande continuait de les soulever et chacun au fond de lui savait que c’étaient les morts qui poussaient avec leurs jambes grises.
Pourquoi ce qui était beau nous paraît-il rétrospectivement détérioré parce que cela dissimulait de vilaines vérités ? Pourquoi le souvenir d'années de mariage heureux est-il gâché lorsque l'on découvre que, pendant tout ce temps-là, l'autre avait un amant ? Parce qu'on ne saurait être heureux dans une situation pareille ? Mais on était heureux ! Parfois le souvenir n'est déjà plus fidèle au bonheur quand la fin fut douloureuse. Parce que le bonheur n'est pas vrai s'il ne dure pas éternellement ? Parce que ne peut finir douloureusement que ce qui était douloureux, inconsciemment et sans qu'on le sût ?
C'est auprès de toi que ma vie prend sens. Je t'ai dans la peau. Je t'ai dans l'âme. Sans toi je ne suis rien. Tu es ma drogue, mon espérance et mon idéal.
Je me jurais, une fois rentré en France, de continuer à pratiquer l'affût. Nul besoin de se trouver à 5000 mètres dans l'Himalaya. La grandeur de cet exercice partout praticable était de toujours procurer ce qu'on exigeait de lui. À la fenêtre de sa chambre, sur la terrasse d'un restaurant, dans une forêt ou sur le bord de l'eau, en société ou seul sur un banc, il suffisait d'écarquiller les yeux et d'attendre que quelque chose surgisse. On ne l'aurait jamais noté si l'on ne s'était pas maintenu aux aguets. Et si rien n'arrivait, la qualité du temps passé s'était trouvée accrue par l'attention portée. L'affût était un mode opératoire. Il fallait en faire un style de vie.
Il est remarquable qu'il y ait si peu d'évènements ou de crises dans nos histoires, que nous ayons si peu médité, que nous ayons eu si peu d'expériences. Quand, à de rares intervalles, des pensées nous visitent, comme cela se produit en marchant le long d'une voie de chemin de fer, alors, en effet, les voitures passent tout près sans qu'on les entende. Mais bientôt, par quelque inexorable loi, notre vie suit à nouveau son cour et les voitures repassent.
Il existe une race d'oiseau curieuse. Plusieurs mâles construisent chacun son nid et la femelle choisit celui qu'elle préfère. L'architecte a le droit de s'installer avec elle. Cela se passe ainsi, parfois, dans l'immobilier!
Quand une jeune fille, dans une ferme, laisse couler à travers sa chambre l'eau d'une source voisine et que son fiancé vient s'accouder à la barre arquée de sa fenêtre, ils partent eux aussi pour ne plus se retrouver.
Pour notre chance d'humains en bonne santé et avec quelque chose à faire, nous avons reçu en partage, légué par l'évolution de l'espèce et par les milliards de morts qui nous ont précédés, un cerveau incroyablement performant, surdimensionné dès la naissance (qu'il rend par là-même difficile et douloureuse). Ce même cerveau ultra-rapide et ultra-efficace, nous le conservons dans le très grand âge, quand nous n'avons plus rien qu'à mâcher le rien.
L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
Lorsqu'un homme à l'âme basse tente de mesurer le bonheur d'un grand sage, ce bonheur fuit comme l'eau entre ses doigts; mais dans la main d'un autre sage, il devient aussi ferme, aussi brillant que l'or.
Quand je serai vieille, je m'allongerai sur mon lit ou me calerai les reins dans un fauteuil et j'écouterai la musique que j'écoute aujourd'hui, celle qui passe à la radio ou dans les boîtes de nuit. Je fermerai les yeux pour retrouver la sensation de mon corps en train de danser. Mon corps délié, souple, obéissant, mon corps au milieu des autres corps, mon corps affranchi de tout regard, quand je danse seule au milieu de mon salon. Quand je serai vieille, je passerai des heures ainsi, attentive à chaque son, à chaque note, à chaque impulsion. Oui, je fermerai les yeux et je me projetterai mentalement dans la danse, dans la transe, je retrouverai un à un les mouvements, les ruptures, et mon corps épousera de nouveau le rythme, la mesure, au plus près de sa pulsation. Quand je serai vieille, si je le suis un jour, il me restera ça. Le souvenir de la danse, les basses qui cognent dans le ventre, et l'ondulation de mes hanches
C'était comme s'il n'y avait pas de noms, ici, comme s'il n'y avait pas de paroles. Le désert lavait tout dans son vent, effaçait tout. Les hommes avaient la liberté de l'espace dans leur regard, leur peau était pareille au métal.
La vérité est un flambeau qui luit dans un brouillard sans le dissiper.
Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.Aujourd’hui est le plus beau jour de notre vie, car hier n’existe plus et demain ne se lèvera peut-être jamais. Le passé nous étouffe dans les regrets et les remords, le futur nous berce d’illusions. Apprécions le soleil qui se lève, réjouissons-nous de le voir se coucher. Arrêtons de dire « il est trop tôt » ou « il est trop tard » ; le bonheur est là : il est l’instant présent.
Qu'elle est belle, qu'il est beau!
Le morne oubli prend dans l'ombre,
Par degrés, l'épaisseur sombre
De la pierre du tombeau.Se laisser guider par son instinct, suivre des chemins inconnus où tout devient important. Avoir le sentiment d'être de nouveau un enfant. Être curieux du monde et apprendre sans cesse. Tout a du sens quand on est comme cela, en voyage dans sa vie. Et qu'on s'est mis en route lorsqu'on était petit.
Quand on n'a jamais vécu dans la troupe, quand on n'a pas senti la douleur et la crispation des hommes qui vont déboucher pour l'assaut et probablement mourir, quand on n'a pas vu de ses yeux les rangs fauchés autour de soi par la mitrailleuse, il est très facile de téléphoner de loin, du fond d'un P.C. sûr et confortable : "Attaquez, attaquez coûte que coûte !" et ensuite d'aller dîner. Être un bourreau d'hommes, c'est la meilleure manière de décrocher les étoiles. Quant aux soldats, ils se demandent si mourir pour le communiqué, c'est mourir pour la France.
J'ai une théorie. C'est en fait une grave erreur que notre cervelet n'ait pas été correctement connecté à notre cerveau. Il s'agit là sans doute du plus grand bug survenu dans notre programmation. Quelqu'un nous a mal conçus. C'est pourquoi on aurait dû nous remplacer par un autre modèle. Si notre cervelet avait été connecté au cerveau, nous aurions joui de la pleine connaissance de notre anatomie, des processus survenant à l'intérieur de notre corps.
J'ai parfois le sentiment de ne pas être un vrai être humain, mais plutôt un oiseau ou quelque autre animal qui aurait très vaguement pris forme humaine ; au fond de moi, je me sens bien plus chez moi, dans un petit bout de jardin comme ici, ou dans la campagne, entourée de bourdons et de brins d'herbe que - dans un congrès du Parti.
Tu penses ? La réflexion est l'acide qui ronge insidieusement la foi. Ton devoir est de croire, pas de penser, car l'esprit d'un être humain est inférieur à celui du Créateur. Tes idées et toutes celles qui tournent dans le cerveau des gens n'ont aucune valeur. L'humanité est méprisable, quand le comprendras-tu enfin ? Une seule chose compte: l'amour et la bonté que le Créateur a quand même instillés dans l'âme des pêcheurs.
Les prairies étaient vides, le vent agitait la rivière; au fond, de grandes herbes s'y penchaient, comme des chevelures de cadavres flottant dans l'eau.
L'Extase matérielle (1967) de J. M. G. Le Clézio
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Né d'aucune femme (2019) de Franck Bouysse
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L'Art d'être grand-père (1877) de Victor Hugo
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La Terre invisible (2019) de Hubert Mingarelli
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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La spirale du bonheur (2004) de Paule Salomon
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La panthère des neiges (2019) de Sylvain Tesson
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De la marche (1862) de Henry David Thoreau
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Pensées, répliques et anecdotes (2006) de Michel Galabru
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L'Année des chapeaux rouges (1922) de André Breton
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Devant ma mère (2007) de Pierre Pachet
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Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, in L 'autre journal, n°1, mai 1990 de Gilles Deleuze
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La Sagesse et la destinée (1898) de Maurice Maeterlinck
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Les gratitudes de Delphine de Vigan
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Désert (1980) de J. M. G. Le Clézio
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Sans référence de Claude Adrien Helvétius
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Phèdre (1677), II, 5 de Jean Racine
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Seulement si tu en as envie...(2017) de Bruno Combes
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Les Chansons des rues et des bois (1865), L'oubli de Victor Hugo
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Je vis pas ma vie, je la rêve de Jacques Higelin
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Le polygone étoilé (1966) de Yacine Kateb
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Sur les ossements des morts (2014) de Olga Tokarczuk
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Rosa, la vie : lettres de Rosa Luxemburg de Rosa Luxemburg
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La Foi des réprouvés de Terry Goodkind
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Un coeur simple de Gustave Flaubert
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