Citation es pas comme lui
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Une Sélection de 240 citations et proverbes sur le thème es pas comme lui.
240 citations
Que les gens ne montrent pas trop d'assurance dans leurs jugements, comme celui qui, dans un champ, estime les blés avant qu'ils ne soient mûrs.
Désormais, Paol est un ennemi du Reich, un indésirable. On lui a retiré ses papiers, ses lacets, sa ceinture. Sur la paillasse, il ne cesse de recomposer les derniers instants, son cerveau ayant tout enregistré, il voit enfin la scène, y traquant en vain quelque chose, un indice : les pas dans la cour, la sonnerie, son nom prononcé derrière la porte, les sbires qui se ruent, cette narcose vénéneuse filtrant de partout, avec lui au milieu, en accéléré entre les plans ralentis, c'était son coeur qui battait fort, il est ceinturé dans la Citroën, la portière claque, il traverse le bourg, croise une section de soldats allemands en colonne, et puis deux gars au seuil d'une ferme, un copain sur son vélo au croisement, un autre plus âgé qui guette par la fenêtre en angle du café d'Ys, tout le village sera au courant, la voiture descend jusqu'à l'Aulne pour franchir le pont, le bruit du moteur coupe en deux les champs et les futaies en attaquant une nouvelle côte, il a un mal de tête atroce, sa main est insensible comme du marbre, et le ruban d'asphalte par la lunette arrière est devenu sa vie débobinée tant les virages se répètent et s'évanouissent, il n'y a pas de héros, il doit oublier le réseau, ils vont si vite, un accident serait préférable à ce qui l'attend, et après le dernier croisement le panneau fléché « BREST » lui oppresse soudain la poitrine et l'affole…
Il en est des enfants comme des champignons, ils ne sont pas tous également bons; quand on en rencontre de tels, on se livre sans crainte au plaisir qu'ils procurent au goût; mais malheur à qui tombe mal, ils lui causent des douleurs.
Sauf durant les seize premières années de sa vie, où la religiosité, dans un milieu chrétien, était inévitable, M. l'abbé de Pradts n'avait jamais cru en Dieu. Son esprit n'avait pas besoin d'un Dieu ; son coeur n'avait pas besoin d'un Dieu. Le surnaturel était un monde qui lui était aussi fermé que celui des sciences, par exemple, ou celui de l'économie politique : le naturel le comblait largement. Selon lui, les hommes avaient inventé Dieu, parce que la grande majorité en avait besoin, de tête ou de coeur ; ce besoin était, selon lui, une des caractéristiques les plus communes de la faiblesse humaine. Ensuite ils avaient travaillé sans répit tant pour donner un sens à cette invention, que pour lui donner du prestige, afin de n'avoir pas honte d'elle, qui avouait si cruellement leur débilité. Comme ils étaient capables, toujours, du meilleur et du pire, ils avaient construit sur cette idée de Dieu, chacun dans son pays et dans son époque, un système plein de beautés et d'absurdités, en partie admirable, en partie risible, en partie odieux, duquel ils tiraient toutes sortes d'actes allant eux aussi de l'admirable à l'odieux, en passant par le risible. De ces édifices construits sur des nuées, le plus important était sans doute le catholicisme. Telles étaient les vues de M. l'abbé de Pradts, qui ne prétendaient ni à l'originalité ni à la profondeur.
L'artiste doit tout élever; il est comme une pompe, il a en lui un grand tuyau qui descend aux entrailles des choses, dans les couches profondes. Il aspire et fait jaillir au soleil en gerbes géantes ce qui était plat sous terre et qu'on ne voyait pas.
L'enfant, de jour en jour, avance dans la vie :
Et, comme les aiglons qui, cédant à l'envie
De mesurer les cieux dans leur premier essor,
Exercent près du nid leur aile faible encor,
Doucement soutenu sur ses mains chancelantes,
Il commence l'essai de ses forces naissantes.
Sa mère est près de lui : c'est elle dont le bras
Dans leur débile effort aide ses premiers pas ;
Elle suit la lenteur de sa marche timide ;
Elle fut sa nourrice, elle devient son guide.
Elle devient son maître, au moment où sa voix
Bégaie à peine un nom qu'il entendit cent fois :
MA MÈRE est le premier qu'elle l'enseigne à dire.
Elle est son maître encor dès qu'il s'essaie à lire ;
Elle épelle avec lui dans un court entretien,
Et redevient enfant pour instruire le sien.N'empêche qu'il n'y en avait pas d'autres comme elle. Si son cerveau ne fonctionnait pas toujours parfaitement, son coeur, lui, ne faisait jamais défaut.
Il est étrange que, parfaitement certains de la brièveté de la vie, nous prenions tant à coeur les intérêts qui s'y rapportent. Quelle est cette activité, ce mouvement, à l'entour de places et de richesses dont nous aurons si peu de temps à jouir ? Et ces pleurs sur des morts chéris que nous irons rejoindre demain ? L'homme sait tout cela, et cependant il s'agite, il s'inquiète, il s'afflige, comme si la fin de ces empressements et de ces larmes n'était pas prochaine, et nulle philosophie ne peut lui donner sur toutes choses l'indifférence qui convient à un condamné à mort sans espoir ni recours.
Quand on répète que l'amour est remplacé à la fin entre les époux par une solide amitié, on veut dire seulement que les sens s'apaisent ou s'épuisent; car l'amour conjugal conserve tous les autres caractères de l'amour. Il est protecteur et dévoué chez le mari, tendre et soumis chez l'épouse; il comporte un désintéressement absolu, l'union des âmes la plus intime et la plus complète. L'amitié, même parfaite, est un sentiment froid et réservé auprès de celui-là. L'amour conjugal est comme la base sur laquelle reposent tous les sentiments qui font le charme et le lien de la famille. N'en médisons pas, ne le dédaignons pas. Il n'y a, sans lui, ni bonheur ni dignité du foyer domestique.
Aux étudiants en cinéma, elle affirme continuellement qu'elle n'a pas de méthode à leur transmettre. Elle sait seulement ceci : il faut raconter ce qui hante. Et les sujets des documentaires comme ceux des romans sont des paravents qui masquent nos questions irrésolues. Le sujet ne se trouve ni ne se cherche, il faut s'autoriser à l'entendre, à lui laisser donner de la voix. Il est là depuis toujours, une banale écharde sous la peau qui se laisse oublier à la façon d'une dent ébréchée, jusqu'à ce qu'on passe sa langue dessus.
Le loup criait sous les feuilles - En crachant les plumes - De son repas de volailles: - Comme lui je me consume.
Stupide et vaincue comme une enfant. Je me sentais comme une enfant qui avait demandé à ses parents un jouet qu'ils ne pouvaient pas lui payer et qu'ils avaient pourtant fini par acheter. Ce que vous voulez vraiment, et ce que vous avez peur qu'on vous donne.
Avoir l'heure m'a toujours paru quelque chose de ridicule, de fondamentalement mensonger, peut-être parce qu'une nécessité interne que je n'ai moi même jamais réussi à comprendre m'a toujours fait regimbe contre le pouvoir du temps et me tenir à l'écart de ce que l'on a coutume d'appeler l'actualité, dans l'espoir que le temps ne passe pas, ne soit point révolu, que je puisse revenir en arrière et lui courir après, que là-bas tout soit alors comme avant ou plus précisément, que tous les moments existent simultanément, auquel cas rien de ce que raconte l'histoire ne serait vrai, rien de ce qui s'est produit ne s'est encore produit mais au contraire se produit juste à l'instant où nous le pensons, ce qui d'un autre côté œuvre naturellement sur la perspective désespérante d'une détresse perpétuelle et d'un tourment sans fin.
Ah! la gloire, triste denrée. Elle se paye cher et ne se garde pas. Ne serait-elle point l'égoïsme des grands hommes, comme le bonheur est celui des sots?
L'amour est comme la fortune, il n'aime pas que l'on coure après lui. Il visite de préférence ceux qui dorment au bord des puits, et souvent les baisers des reines et des dieux descendent sur des yeux fermés.
L'amour, tu vois, lui a-t-il expliqué, c'est vraiment comme la neige à Paris. C'est bien joli quand ça vous tombe dessus mais ça ne tient pas. Et ensuite c'est foutu. Soit que ça vire à la boue, soit que ça vire à la glace, très vite c'est plus d'ennuis que d'émois.
Un jour, l'un d'entre nous s'est levé, il est allé vers l'absolu de la vie, il a pris sur lui toutes les douleurs du monde en donnant sa vie, en sorte que même les plus humiliés et les plus suppliciés peuvent, dans leur nuit complète, s'identifier à lui. S'il a fait cela, ce n'était pas pour se complaire dans la souffrance : il s'est laissé clouer sur la croix pour montrer au monde que l'amour absolu est possible, un amour « fort comme la mort », et même plus fort qu'elle, capable de dire de ses propres bourreaux : « Pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font. »
Quand ils sont jeunes, la plupart des gens jugent de tout. Quand ils vieillissent, c'est pareil. Entre les deux, il y a peut-être un moment où ils pourraient ne juger de rien, s'abstenir, s'amuser, ne prendre au sérieux que leur propre misère, mais ce moment est celui où ils agissent, bâtissent, font carrière ou la ratent ; le moment où ils s'y croient, comme on dit à l'école, et où ils ont rarement la possibilité ou l'envie de faire un pas de côté.
Toucher la terre, la sentir, provoquait en lui une indépassable émotion et, même si elle avait recélé de l'or, il n'en aurait pas été plus ému. C'était comme si elle lui parlait, quand le versoir de la charrue faisait basculer en sifflant d'épaisses tranches.
Helvétius essuya cette sortie avec la tranquillité la plus philosophique, et se contenta de dire, quand Marivaux fut parti: Comme je lui aurais répondu, si je ne lui avais pas l'obligation d'avoir bien voulu accepter mes bienfaits!
Dans le moment qu'il développait cela, il arrive que Mme de Bricoule prit conscience que son nez luisait. Cette luisance qui venait facilement à son nez était un des soucis de la comtesse. D'abord elle l'éteignait en passant sur lui une feuille de papier à cigarettes, ensuite elle le poudrait. Elle n'osa pas, devant l'abbé, user du papier à cigarettes, mais elle se poudra le nez sans vergogne, avec sa poudre Rêve de Mignon. Ce faisant, elle aperçut dans la petite glace du poudrier les deux rides qui descendaient de son nez, et, du pouce et du médius, elle les tira ; ce fut plus fort qu'elle. Ensuite elle épousseta, avec humeur, la poudre qui, comme d'habitude, était tombée sur son jabot. M. de Pradts vit les trois gestes, et méprisa.
Elle refuse grossièrement d'engraisser. J'ai beau lui dire que sans la graisse les phoques, les otaries et les autres animaux du pôle nord mourraient gelés. Une femme potelée en vaut deux. Cette femme flotte en quelque sorte sa vie sans péril. Elle ne coule pas comme une épave gorgée d'eau.
Sa vie se lisait sur sa peau et il la trouvait belle. Les hommes qui prétendent aimer la jeunesse ne font que s'aimer eux-mêmes, songea-t-il. Lui n'éprouvait pas le besoin de projeter l'encre de ses fantasmes sur la page blanche de femmes en devenir. Un être malléable ne lui inspirait pas de désir : c'était conquérir du vide. Il préférait les femmes que la vie avait polies et marquées, celles dont on touche, comme sur un livre en braille, les humiliations et les plaisirs au coin de la bouche et des yeux. Il aimait qu'avec un corps il y ait une âme un peu lasse et fourbue qui vienne se lover contre lui.
Ils (les jansénistes de Port-Royal) ne se refusaient pas dans leur solitude comme l'a remarqué Racine, le plaisir de faire des sabots, et celui de tourner les jésuites en ridicule.
Papa est toujours sur sa planète. J'essaye de le faire rire en imitant le singe heureux de retrouver la jungle. Il dit "non" avec sa tête. Bon. Sur sa planète, on ne rit pas. Alors je m'approche de lui et je lui prends sa main dans laquelle je dépose un baiser d'amour. Rien à voir avec la langue de Franklin. On fait ça le dimanche quand on regarde des DVD à la télé. Entre deux films, papa et moi on dépose des baisers d'amour au creux des mains. Je me suis assis sur mes talons, la tête sur les jambes, et j'attends qu'il me caresse la tête. Je suis prêt à rester des heures. Je veux juste qu'il abandonne un instant sa planète pour la mienne. Et sa main, un peu hésitante, se pose sur mes cheveux, ses yeux gris laissent sortir la tempête, de grosses gouttes qui me tombent dessus et coulent sur mes joues, comme si on pleurait tous les deux, un goût de mer chaude, sans le sable et les transats bleu et blanc.
La Divine Comédie, Le Paradis (1321), XIII de Dante
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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Pensées de M. le comte d'Oxenstierna sur divers sujets de Axel Oxenstierna
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Correspondance, à Louise Colet, 25 juin 1853 de Gustave Flaubert
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Le Mérite des femmes (1801) de Gabriel Marie Legouvé
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Les enfants des autres (1986) de Victoria Torey Lynn Hayden, dite Torey Hayden
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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Le Devoir (1854) de François-Jules Suisse, dit Jules Simon
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Chavirer (2020) de Lola Lafon
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Derniers Vers (1872), le Loup criait sous les feuilles de Arthur Rimbaud
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À Suspicious River(1996) de Laura Kasischke
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Austerlitz (2001) de W. G. Sebald
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La Peau de chagrin (1831) de Honoré de Balzac
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Mademoiselle de Maupin (1835) de Théophile Gautier
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Les Grandes Blondes (1995) de Jean Echenoz
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Cinq méditations sur la mort. Autrement dit sur la vie (2013) de François Cheng
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Le lambeau (2018) de Philippe Lançon
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Glaise (2018) de Franck Bouysse
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Eloges, Marivaux de Jean le Rond d'Alembert
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Centre-ville (1973) de Jean-Jules Richard
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Fourrure (2010) de Adélaïde de Clermont-Tonnerre
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Sans référence de Jean le Rond d'Alembert
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Au pays des kangourous (2012) de Gilles Paris
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