Citation il n y a plus de vie
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Une Sélection de 190 citations et proverbes sur le thème il n y a plus de vie.
190 citations
«Oui, tout va bien, et rien ne va, avait-il envie de répondre. Je vais bien en ce moment, mais je n'irai plus jamais bien.» Il y a des choses qu'on ne dit pas. On se contente de les porter.
Il y a, me dit-il une fois, peu de temps avant de mourir, deux sortes de souffrance : avec l'une, on sait que l'on souffre et , tandis que l'on souffre, une vie meilleure dont le goût persiste dans la mémoire est escamotée; avec l'autre, on ne le sait pas mais le monde entier, jusque dans la plus modeste de ses présences, apparaît aux yeux de celui qui le traverse comme un lieu désert et calciné.
Il y a une chose plus triste à perdre que la vie, c'est la raison de vivre, - Plus triste que de perdre ses biens, c'est de perdre son espérance, - Plus amère que d'être déçu, et c'est d'être exaucé.
Les gens tiennent à la vie plus qu'à n'importe quoi, c'est quand même marrant quand on pense à toutes les belles choses qu'il y a dans le monde.
Plus ça va et plus je me dis qu'être philosophe, c'est un moment de sa vie qui est appelé à être dépassé. Un philosophe cherche un sens ou a le courage de reconnaître qu'il n'y a en pas. Ça, c'est ce que je pense.
La race est la pierre angulaire sur laquelle repose l'équilibre des nations. Elle représente ce qu'il y a de plus stable dans la vie d'un peuple.
Les effets du poison de la vérité sont d'abord douloureux, on songe avec nostalgie à la douceur perdue des rêves d'avenir qu'on ne fera plus jamais, aux délices du mensonge et de l'illusion dont on ne supporte plus la puanteur après s'être si longuement enivré de leur parfum délicat, aux promesses d'amour auxquelles on ne peut plus croire, mais quelques mois plus tard, quand le poison a desséché jusqu'à la racine de la vie, il n'y a plus de nostalgie, plus de souffrance, seulement l'incomparable quiétude du désespoir.
Même les canards m'ont enseigné d'importantes leçons sur le plan spirituel. Le seul fait de les regarder est une méditation en soi. Ils flottent si paisiblement de ci, de là, bien avec eux-mêmes, en étant totalement dans l'instant présent, dignes et parfaits comme seules les créatures dépourvues de mental peuvent l'être. A l'occasion, pourtant, deux canards auront une prise de bec, parfois pour aucune raison apparente ou parce que l'un d'eux a empiété sur le territoire de l'autre. L'altercation ne dure en général que quelques secondes, et ils se séparent, nagent dans des directions opposées et battent vigoureusement des ailes à quelques reprises. Puis ils reprennent leur paisible promenade sur l'eau comme s'il n'y avait jamais eu de bataille. Quand je les ai vus faire pour la première fois, j'ai soudainement compris que, en battant des ailes, ils se débarrassaient d'un surplus d'énergie, empêchant ainsi celle-ci de rester emprisonnée dans leur corps et de se transformer en négativité. Il s'agit là de sagesse naturelle, et c'est facile pour eux de l'appliquer parce qu'ils n'ont pas un mental qui maintient inutilement le passé en vie pour pouvoir en tirer une identité.
Parfois, j'ai cette drôle d'impression que la vie est un jeu vidéo. On commence la partie avec plusieurs jauges pleines. La jauge de sérénité, la jauge de force, la jauge d'énergie, la jauge de joie. Sur notre chemin, on va croiser quelques ennemis, faire face à des attaques, parfois se tromper de chemin, sauter sur des bombes, chuter dans des trous, buter contre des obstacles. A chaque fois, nos jauges vont être entamées, mais des bonus "Bonheur" vont nous aider à les recharger. Le bonus "Mariage", le bonus "Naissance d'un enfant", le bonus "Soirée en famille". Ces bonus sont précieux, ce sont eux qui déterminent la qualité de la partie, parfois même sa durée. A la fin de chaque tableau, on doit affronter un gros monstre. Parmi les plus terrifiants, il y a le monstre "Deuil", le monstre "Maladie", le monstre "Chômage", le monstre "Rupture". Ceux-là, ils sont coriaces. Il faut du temps pour en venir à bout. Même si on y parvient, ils emportent toujours avec eux une bonne partie de chaque jauge. Un jour, les bonus ne sont plus assez costauds pour restaurer la joie, l'énergie et la force.
Il y a des hommes qu'on pourrait appeler des survivants. Ils ont perdu, de bonne heure, un être cher, un père, un ami, une maîtresse, et leur vie n'est plus que le morne lendemain de cette mort.
Pour caractériser mon personnage, disons tout d’abord que ses origines sociales modestes et sa très grande culture le singularisent à la cour. Il lui arrive d’être naïf, maladroit, de susciter la colère ou l’hilarité du roi ; il est ambitieux aussi, il écrit de la littérature, et caresse même l’idée, très brièvement, de se laisser porter à de hautes responsabilités par les révolutionnaires qui entrent en contact avec lui. Il a le même âge que le roi, il a été choisi, quand il était enfant, pour accompagner ce prince dans sa scolarité, et il y a entre eux un rapport complexe de familiarité et de distance, presque de rivalité gémellaire. Sa « confession », comme vous l’appelez, s’arrête en 1972, et on le retrouve à la fin, en 1999, après la mort du roi et peu avant la sienne. Il y a une grande ellipse narrative concernant ce qui lui arrive alors, mais il est cependant assez clair que sa vie va prendre un autre tour, et qu’il ne sera sans doute plus ce lettré aux mains à peu près pures dont on a suivi le récit.
La mission du précepteur que vous donnerez à votre enfant – et dont le choix conditionne la réussite de son éducation – comporte plusieurs autres grandes tâches dont je ne parlerai pas, parce que je ne saurais rien en dire de valable. Et sur le point à propos duquel je me mêle de lui donner un avis, il m'en croira pour autant qu'il y verra quelque apparence de raison. A un enfant de bonne famille, qui s'adonne à l'étude des lettres, non pas pour gagner de l'argent (car un but aussi abject est indigne de la grâce et de la faveur des Muses, et de toute façon cela ne concerne que les autres et ne dépend que d'eux), et qui ne recherche pas non plus d'éventuels avantages extérieurs, mais plutôt les siens propres, pour s'en enrichir et s'en emparer au-dedans, comme j'ai plutôt envie de faire de lui un homme habile qu'un savant, je voudrais que l'on prenne soin de lui choisir un guide qui eût plutôt la tête bien faite que la tête bien pleine. Et si on exige de lui les deux qualités, que ce soit plus encore la valeur morale et l'intelligence que le savoir, et qu'il se comporte dans l'exercice de sa charge d'une nouvelle manière.
Il y a une autre façon, plus brutale, de dire la même chose. En fait il y a mille autres façons : il pourrait passer le reste de sa vie à en faire la liste. Mais la façon la plus brutale est de dire qu’il a peur : peur d’écrire, peur des femmes.
Il se posait encore des questions sur le sens à donner à sa vie, l’écriture le requérait mais la société ne désirait pas qu’il écrivît, à tout le moins ne l’y encourageait pas, et se moquait de ce projet. « Saurai-je un jour, se disait-il, pourquoi je suis venu sur terre ? » et « ne suis-je qu’un homme de plus, un figurant de l’espèce humaine ? »
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre. Et, d’avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n’osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l’on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n’en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n’ont pas la force de résister à l’ambiance. On s’habitue à l’alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d’assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l’espace de trente jours. Depuis, hélas ! j’en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu’il a pu boire en un mois.
Il y a deux manières d'être riche : tu peux gagner, hériter, emprunter, mendier ou voler assez d'argent pour assouvir des désirs coûteux, ou bien tu peux vivre une vie simple avec peu de désirs. De cette manière, tu as toujours plus d'argent qu'il ne t'en faut.
Sans trop savoir comment, j’ai réussi à traverser l’autoroute et escalader le talus pour rejoindre le Ramada Inn avant de me rendre compte que les obstacles les plus sérieux m’attendaient. Ike me menaçait sans relâche : « Si tu pars, ce sera comme tu es venue. » Autrement dit : sans rien. Il avait raison. Dans ma poche, il y avait trente-six cents et une carte de crédit Mobil qui ne permettait d’acheter que de l’essence. J’avais le visage tuméfié, les vêtements souillés et ensanglantés… et j’étais noire. A Dallas. Dans de telles circonstances, n’importe quel hôtelier sensé me dirait de passer mon chemin. Je me suis approchée du comptoir de la réception et je me suis présentée au directeur. J’ai décliné mon identité, puis j’ai expliqué que je venais de fuir mon mari sans le moindre argent. Mais j’ai juré que je le rembourserais s’il me laissait occuper une chambre pour la nuit. J’ai bien songé que, dans mon état de vulnérabilité, cet inconnu aurait pu profiter de moi. J’étais trop épuisée pour m’en soucier. Par chance, il avait du coeur. Il m’a conduite à l’étage, dans une suite et m’a promis de me faire apporter de la soupe et des crackers. Quand j’ai refermé la porte, le contrecoup a frappé si fort que mes genoux se sont dérobés. J’ai failli m’évanouir. Mon coeur battait à tout rompre. J’étais terrifiée, mais aussi fébrile. Je fuyais Ike, mais je courais vers ma nouvelle vie.
A côté de la vie idéale, il y a la vie matérielle, et les résolutions les plus chastes sont retenues à terre par des fils ridicules, mais de fer, et que l'on ne brise pas facilement.
Il n'y a pas de secret : la vie exige de nous bien plus que nos vies... celle des dieux, des bêtes, des hommes et des femmes disparues depuis la nuit des temps, l'infini de la vie qui passe par la mort aussi.
C'est un grand avantage de savoir, à chaque péripétie de l'existence, tourner la page. Sauf qu'il finit par ne plus rien y avoir d'écrit sur le livre d'une vie...
C'est vrai qu'aujourd'hui je suis un peu tiraillé, parce que je me dis que j'aurais dû rester encore plus longtemps, que j'aurais dû essayer d'aller dans telle région où je n'irai peut-être jamais, j'aurais dû rester des mois dans certains pays et pas aller dans d'autres. De nouveau, maintenant, germe en moi l'idée de ce retour sur le lieu du crime et j'ai envie de retourner sur ces lieux qui ont été forts pour moi, qui m'ont apporté une grande jouissance. Donc les regrets commencent… Ils commencent toujours un peu à naitre au bout de six mois ou un an… Il y a des regrets qui remontent. Puis ils se mélangent avec les bons souvenirs.
Le moment ou l'on découvre qu'il n'y a plus d'avenirs devant soi, plus de choix possible, même plus le rêve de changer de vie.
Dans l'Iliade, qui est un poème sur la guerre, des héros meurent tout le temps, mais ils y sont prêts pourvu que leur héroïsme sur le champ de bataille leur apporte une renommée glorieuse ... Alors que l'Odyssée, poursuivis-je, est un poème sur un monde de l'après-guerre. Il se déroule au lendemain d'un conflit, et ce qu'il explore, entre autres, c'est ce à quoi pourrait ressembler un héros une fois qu'il n'y a plus de combat à livrer. Ulysse, bien qu'étant un guerrier respecté, est surtout connu pour ses stratagèmes, son génie intellectuel. Achille meurt, mais Ulysse survit. Une des questions que pose l'Odyssée est de savoir à quoi pourrait ressembler l'héroïsme de la survie.
Le suicide n'est pas une lâcheté comme le disent les prêcheurs qui exagèrent. Ce n'est pas non plus un acte de courage. C'est une lutte entre deux craintes. Il y a suicide quand la crainte de la vie l'emporte sur la crainte de la mort.
Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence et aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite enfin, de ne jamais renoncer à la recherche, à l'aventure, à la vie, à l'amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille.
Je vous souhaite surtout d'être vous, fier de l'être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable.
Arrive un vagabond (2012) de Robert Goolrick
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L'ancêtre (1983) de Juan José Saer
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L'Otage (1914) de Paul Claudel
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La vie devant soi de Romain Gary
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Interview La Libre par Virginie Roussel, 28 septembre 2014 de Adèle Van Reeth
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Hier et Demain de Gustave Le Bon
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Le principe de Jérôme Ferrari
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Le Pouvoir du moment présent (1997) de Eckhart Tolle
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Tu comprendras quand tu seras plus grande (2017) de Virginie Grimaldi
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Situations I (1947) de Jean-Paul Sartre
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Entretien Destimed, propos recueillis par Jean-Rémi BARLAND, 2 septembre 2020 de Maël Renouard
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Essais, I, 26, De l'institution des enfants. A Madame Diane de Foix, comtesse de Gurson de Michel de Montaigne
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Vers l'âge d'homme (2003) de J. M. Coetzee
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La poursuite de l'idéal (2021) de Patrice Jean
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Batouala (1921) de René Maran
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Le Guerrier pacifique de Dan Millman
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Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
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La Dame aux Camélias (1848) de Alexandre Dumas fils
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Dans le temps (2016) de Pierre Ouellet
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Mille et une pensées (2005) de Philippe Bouvard
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Errance (2000) de Raymond Depardon
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L'Homme qui voulait vivre sa vie (1998) de Douglas Kennedy
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée (2019) de Daniel Mendelsohn
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Philosophie prose, 1846-47 de Victor Hugo
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Je vous souhaite « voeux de Jacques Brel sur Europe 1, 1er Janvier 1968 » de Jacques Brel
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