Citation il n y a que les
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1770 citations
Pourtant, il n'y a jamais rien qui change et j'ai parfois l'impression de vivre dans une dimension parallèle où ce qui se passe ici ne traverse jamais l'océan et n'atteint jamais personne. Nous sommes seuls. D'en haut et de loin, c'est vrai que ce n'est qu'une poussière ici mais cette poussière existe, elle est quelque chose. Quelque chose avec son envers et son endroit, son soleil et son ombre, sa vérité et son mensonge. Les vies sur cette terre valent autant que les vies sur les autres terres, n'est-ce pas ?
Les hommes n'ont pas compris qu'il n'y a pas de meilleure arme contre la médiocrité que la souffrance. On ne change pas grand-chose par la culture ou par l'esprit ; en revanche, on transforme un nombre incalculable de choses par la douleur.
Les hommes et les femmes sont différents. Nous n'avons ni les mêmes hormones, ni les mêmes capacité biologiques -les femmes peuvent avoir des enfants, les hommes non. Les hommes sécrètent de la testostérone et sont en général plus fort physiquement que les femmes. Il y a un peu plus de femmes que d'hommes dans le monde - elles constituent cinquante-deux pour cent de la population mondiale -, pourtant les hommes occupent la plupart des postes importants ou prestigieux.
Il n'y a que les mauvais coeurs qui médisent à table, car rien ne rend plus indulgent que la bonne chère.
Il y a deux sortes de diplomates : ceux qui lisent les journaux et en savent autant que nous ceux qui ne lisent pas les journaux et ne savent rien.
Il y a dans les rapports de l'homme avec les bêtes, avec les fleurs, avec les objets de la création, toute une grande morale à peine entrevue encore, mais qui finira par se faire jour et qui sera le corollaire et le complément de la morale humaine. J'admets les exceptions et les restrictions, qui sont innombrables, mais il est certain pour moi que, le jour où Jésus a dit : « Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fît », dans sa pensée autrui était immense ; autrui dépassait l'homme et embrassait l'univers.
Vous continuerez d'habiter les mêmes chambres, le même fauteuil, de voir le même horizon dans le cadre de la même fenêtre. Echappez donc à tout cela! Il y a si peu de jours dans la vie: faites que pas un d'eux ne ressemble au suivant.
Il y a deux sortes de gens : les salauds et les autres. Et tout le monde doit choisir son camp. Si vous ne le faites pas, c'est que vous êtes déjà dans celui des salauds.
Je ne présenterai pas d'excuses, parce que je n'ai voulu blesser personne. Je ne peux pas être responsable de mes inclinations, de mes penchants et de mes goûts. Je suis enfermé dedans comme tous les individus, comme tout un chacun. Il n'y pas de tribunal du goût, et je ne peux pas raturer mes pulsions, mes penchants pour des raisons qui seraient de la morale et du tribunal du goût.
Je regardais la mer qui, à cette heure, se soulevait à peine d’un mouvement épuisé et je rassasiais les deux soifs qu’on ne peut tromper longtemps sans que l’être se dessèche, je veux dire aimer et admirer.Car il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. Nous tous, aujourd’hui, mourons de ce malheur. C’est que le sang, les haines décharnent le cœur lui-même ; la longue revendication de la justice épuise l’amour qui pourtant lui a donné naissance. Dans la clameur où nous vivons, l’amour est impossible et la justice ne suffit pas. C’est pourquoi l’Europe hait le jour et ne sait qu’opposer l’injustice à elle-même. Mais pour empêcher que la justice se racornisse, beau fruit orange qui ne contient qu’une pulpe amère et sèche, je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise.
Une fois une carte remplie, je devais opérer ma fuite quotidienne, faire sortir du bâtiment cette archive vitale, passer devant les chefs et des types en uniforme, descendre les escaliers, m'engouffrer dans un couloir vide, scanner mon badge, passer devant les gardes armés, passer les sas de sécurité – ces zones à deux portes dans lesquelles, pour que la seconde porte s'ouvre, il faut que la première soit fermée et que votre badge soit approuvé, et s'il ne l'est pas, ou que quelque chose ne se passe pas comme prévu, le garde vous braque avec son arme, les portes se verrouillent, et vous dites : "Eh bien, c'est pas mon jour !" A chaque fois que je partais, j'étais pétrifié. Je devais me forcer à ne pas penser à la carte SD car si j'y pensais, j'avais peur d'agir différemment, de manière suspecte.
Où veux-tu en venir avec les souffrances particulières aux Juifs ? Pour moi, les malheureuses victimes des plantations d'hévéas dans la région du Putumayo, les nègres d'Afrique dont les Européens se renvoient les corps comme on joue au ballon, me touchent tout autant. Te souviens-tu du récit de la campagne de Von Trotha, dans le Kalahari […] : « Et les râles des agonisants, les cris de ceux que la soif avaient rendus fous retentissaient dans le silence de cette immensité. » Ce « silence sublime de l'immensité » où tant de cris se perdent, il éclate dans ma poitrine si fort qu'il ne saurait y avoir dans mon cœur un petit recoin spécial pour le ghetto ; je me sens chez moi dans le vaste monde partout où il y a des nuages, des oiseaux et des larmes”.
Mais ce qu'il y a de beau en amour, c'est qu'il y a autant de couples que de façons de s'aimer.
«Oui» et «non» sont bien courts à dire; mais, avant que de les dire, il y faut penser longtemps.
Elle ne le lui dit pas, mais maintenant elle le sait : même les choses tristes, il y a une façon de se les rappeler qui rend heureux. Quand bien même elle ne serait revenue ici que pour apprendre ça, elle n'aurait pas fait le voyage en vain.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il y a une espèce de livres que nous ne connoissons point en Perse, et qui me paroissent ici fort à la mode: ce sont les journaux.
C’est bien simple, le collège, c’est ce que la société offre de pire. Après tu verras, le lycée, c’est plus civilisé. De toute façon, l’humanité, c’est une véritable saloperie. Et c’est pareil partout, à peine pire dans notre quartier qu’ailleurs. À l’adolescence, il n’y a plus d’amitié qui tienne. Les mecs, ils se trahissent pour une paire de baskets. C’est de la folie.
Celui qui a plongé son regard au fond de l'univers devine très bien quelle profonde sagesse il y a dans le fait que les hommes sont superficiels.
Je suis bouleversée par l’accueil qu’a reçu mon livre. Je reçois énormément de lettres de gens qui me parlent des morts qu’ils ont accompagnés, des mots qui n’ont pas été dits, des deuils difficiles, voire impossibles. Cet ouvrage se situe dans l’interstice d’une faille de parole. Il y a quelque chose de l’ordre du "manquant", et qui le reste dans la vie de ceux qui n’ont pas raconté leur deuil. Dans ce livre, j’ai voulu mêler le personnel et le spirituel.
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j’ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n’y a pas d’amour heureux.Je ne suis pas un pays des Diallobé distinct face à un Occident distinct, et appréciant d'une tête froide ce que je puis lui prendre et ce qu'il faut que je lui laisse en contrepartie. Je suis devenu les deux. Il n'y a pas une tête lucide entre deux termes d'un choix. Il y a une nature étrange, en détresse de n'être pas les deux.
L'univers fonctionne dans la mesure où la Lune tourne autour de la Terre et la Terre autour du Soleil, ce qui nous ramène au fait de tourner en rond et aux atomes. Au cas où quelqu'un ne trouverait pas évident que c'est bien de tourner en rond, il n'a qu'à demander à un petit enfant sur un manège si tourner en rond, c'est bien, et il saura la vérité car, comme on sait, les petits enfants disent toujours la vérité. Tout ce qui grouille et fourmille et tourne en rond est bien. Mais tout le monde ne trouve pas ça bien, il y a beaucoup de gens qui sont contre.
J'ai des liens assez forts avec la Bretagne ; grâce à l'absence de télévision, et à la bonne volonté de mes parents qui le soir, l'hiver au coin du feu, l'été, l'après-midi, sur la terrasse, me lisaient des légendes, me racontaient des histoires. Parmi toutes ces histoires, bien entendu il y avait ce qu'on appelle la matière de Bretagne. J'ai baigné là-dedans : le rythme effréné des galops de chevaux, le choc des épées sur les boucliers... Et puis également, c'est en Bretagne qu'on allait en vacances, quand j'étais petit. Tout ça pour dire que même si je n'ai rien de breton en moi, la Bretagne m'a durablement influencé. Et c'était donc tout naturel que mon premier livre se déroule dans une ambiance celte.
C’est une drôle d’affaire, la pensée, n’est-ce pas ? Ce n’est pas qu’il y ait long en distance du cerveau vers les lèvres mais quelquefois quand même ça peut vous paraître des kilomètres, que le trajet pour une phrase, ce serait comme traverser un territoire en guerre avec un sac de cailloux sur l’épaule, au point qu’à un moment la pensée pourtant ferme et solide et ruminée cent fois, elle préfère se retrancher comme derrière des sacs de sable.
Tropique de la violence (2016) de Nathacha Appanah
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Le livre des leurres (1936) de Emil Cioran
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Nous sommes tous des féministes (2014) de Chimamanda Ngozi Adichie
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Almanach des Gourmands (1803-1810) de Alexandre Grimod de La Reynière
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Notes et Maximes (1961) de Edouard Herriot
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En voyage, tome II (1910) de Victor Hugo
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Les Aventures du roi Pausole (1901) de Pierre Louÿs
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Glacé (2011) de Bernard Minier
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Sur le plateau d' "On n'est pas couché", le 12 janvier 2019 de Yann Moix
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L’été, « Retour à Tipasa » (1952) de Albert Camus
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Mémoires vives (2019) de Edward Snowden
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Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
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En voiture, Simone ! de Aurélie Valognes
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Maximes de l'homme de cour (1647) de Baltasar Gracián y Morales
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Un léger déplacement (2012) de Marie Sizun
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Lettres persanes (1721) de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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Né sous une bonne étoile (2020) de Aurélie Valognes
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Par-delà le bien et le mal (1886) de Friedrich Wilhelm Nietzsche
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Interview Lire Magazine littéraire en juin 2021 de Delphine Horvilleur
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Il n'y a pas d'amour heureux (1943) de Louis Aragon
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L'Aventure ambiguë (1961) de Cheikh Hamidou Kane
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Mars (1977) de Fritz Zorn
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Interview accordée par Erik L'Homme
à Harmonia Amanda et Tsaag Valren, pour Wikinews, le 12 novembre 2011 de Erik L'Homme
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Article 353 du code pénal (2017) de Tanguy Viel
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