Citation n y
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Une Sélection de 11450 citations et proverbes sur le thème n y.
11450 citations
J'éprouvais, en dehors du plaisir physique et très réel que me procurait l'amour, une sorte de plaisir intellectuel à y penser. Les mots «faire l'amour» ont une séduction à eux ...
C’est une chose d’une grande conséquence que d’habiller les pingouins. À présent, quand un pingouin désire une pingouine, il sait précisément ce qu’il désire, et ses convoitises sont bornées par une connaissance exacte de l’objet convoité. En ce moment, sur la plage, deux ou trois couples de pingouins font l’amour au soleil. Voyez avec quelle simplicité ! Personne n’y prend garde et ceux qui le font n’en semblent pas eux-mêmes excessivement occupés. Mais quand les pingouines seront voilées, le pingouin ne se rendra pas un compte aussi juste de ce qui l’attire vers elles. Ses désirs indéterminés se répandront en toutes sortes de rêves et d’illusions ; enfin, mon père, il connaîtra l’amour et ses folles douleurs. Et, pendant ce temps, les pingouines, baissant les yeux et pinçant les lèvres, vous prendront des airs de garder sous leurs voiles un trésor !… Quelle pitié !
Y a trois choses qu'on ne peut regarder en face: la mort, le soleil, et le dentiste.
Divisez le genre humain en vingt parts : il y en a dix-neuf composées de ceux qui travaillent de leurs mains, et qui ne sauront jamais s'il y a un Locke au monde ; dans la vingtième partie qui reste, combien trouve-t-on peu d'hommes qui lisent ! Et parmi ceux qui lisent, il y en a vingt qui lisent des romans, contre un qui étudie la philosophie. Le nombre de ceux qui pensent est excessivement petit, et ceux-là ne s'avisent pas de troubler le monde.
Le besoin de lire étant une traînée de poudre, une fois allumé il ne s’arrêtera plus, et, ceci combiné avec la simplification du travail matériel par les machines et l’augmentation du loisir de l’homme, le corps moins fatigué laissant l’intelligence plus libre, de vastes appétits de pensée s’éveilleront dans tous les cerveaux ; l’insatiable soif de connaître et de méditer deviendra de plus en plus la préoccupation humaine ; les lieux bas seront désertés pour les lieux hauts, ascension naturelle de toute intelligence grandissante ; on quittera Faublas et on lira l’Orestie ; là on goûtera au grand, et, une fois qu’on y aura goûté, on ne s’en rassasiera plus ; on dévorera le beau, parce que la délicatesse des esprits augmente en proportion de leur force ; et un jour viendra où, le plein de la civilisation se faisant, ces sommets presque déserts pendant des siècles, et hantés seulement par l’élite, Lucrèce, Dante, Shakespeare, seront couverts d’âmes venant chercher leur nourriture sur les cimes.
Il y a également des suffixes augmentatifs: ail, as, on: portail, coutelas, caisson.
De l'esprit au bon sens il y a plus loin qu'on ne pense.
L'humanité ne changeant guère, on peut dire, comme un vieil auteur, que moins il y a de fripons aux galères, plus il y en a dehors.
Il y a quinze ans, on a eu le voile, il y avait de plus en plus de voiles. Puis il y a eu la burqa, il y a eu de plus en plus de burqas. Et puis il y a eu des prières sur la voie publique […]. Maintenant il y a dix ou quinze endroits où, de manière régulière, un certain nombre de personnes viennent pour accaparer les territoires. Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s'il s'agit de parler d'occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça, c'est une occupation du territoire. C'est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s'applique, c'est une occupation. Certes il n'y a pas de blindés, il n'y a pas de soldats, mais c'est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants.
Plus on lutte contre un sentiment, plus on y pense, et y penser, c'est l'exaspérer.
Lorsqu'un bon esprit ne voit pas qu'une pensée puisse être utile, il y a grande apparence qu'elle est fausse.
C'est fou. Nous les filles, quand on pense à quelqu'un, on y pense tout le temps. Il occupe chaque recoin de notre esprit à chaque seconde.
Eh oui! On s'épouse sans se connaître. Vous voulez donc qu'il n'y ait plus de mariages!
Dans le monde, les hommes ne pensent qu’à leur propre nombril. Orgueilleux, narcissiques, ils sont prêts à s’affirmer par tous les moyens, y compris les plus mesquins. Dans le métavers, les joueurs apprendront à vivre incognito. Ils goûteront aux charmes de l’anonymat. Tous cachés derrière des avatars, ils seront bien obligés de perdre leur amour-propre. CQFD.
Interrogeons alors l'observation astronomique sur la dimension de l'Univers. ... Elle ne répond pratiquement rien ... : au-delà d'une certaine distance, on ne «voit» plus rien. L'amélioration des téléscopes n'y changera rien.
Tout brûle et se consume. La vie résulte d'une combustion. L'homme a inventé de brûler en laissant derrière lui de belles cendres. Il y en a qui restent chaudes. C'est par elles que le passé se montre sous sa forme de présence.
Il n'y a en amour que les honteux qui perdent.
A présent, le monde n'est plus divisé en ceux qui ont fait de la prison et ceux qui les y ont envoyés, ou en ceux qui ont lus Soljénitsyne et ceux qui ne l'ont pas lu, mais en ceux qui peuvent acheter, et ceux qui ne le peuvent pas.
Les choses sont une façade, une croûte, Dieu seul est. Mais dans les livres il y a quelque chose de divin.
Je pense qu'on n'aime que les êtres qui peuvent vous détruire, à moins qu'il n'y ait que les êtres que l'on aime qui puissent vous détruire.
Plus un bénéfice est illégal, plus l'homme y tient.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La douleur, ça te fait souffrir mais ça ne te détruit pas. Le problème, c'est la solitude engendrée par la douleur. C'est elle qui te tue à petit feu, qui te coupe des autres et du monde. et qui réveille ce qu'il y a de pire en toi.
En politique, nous passons le plus clair de notre temps à parler des absents, il arrive que leur présence n'y change pas grand-chose.
Le soleil brille, dans le ciel il y a des nuages blancs floconneux, de ceux qui font penser à des moutons sans tête. À cause de nos ailes, nos œillères, il est malaisé de regarder en l'air, d'avoir une vue complète du ciel, ou de quoi que ce soit. Mais nous y parvenons, fragment par fragment, un mouvement rapide de la tête, de haut en bas, de droite à gauche. Nous avons appris à voir le monde par hoquets.
Bonjour tristesse (1954) de Françoise Sagan
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L'Ile des Pingouins (1908) de Anatole France
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Opéra comique (1993) de Alex Métayer
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Lettres philosophiques (1734) de Voltaire
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William Shakespeare (1864) de Victor Hugo
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La Pensée et la Langue de Ferdinand Brunot
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Maximes et pensées de Napoléon de Napoléon Bonaparte
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Contes et facéties (1852), La main enchantée de Gérard de Nerval
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Marine Le Pen, 10 décembre 2010, Lyon, dans lefigaro.fr, paru 11 décembre 2012 de Marine Le Pen
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Physiologie de l'amour moderne (1883) de Paul Bourget
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Réflexions et Maximes (1746) de Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues
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Demain j'arrête ! (2011) de Gilles Legardinier
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Sans référence de Henry Becque
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Les liens artificiels (2022) de Nathan Devers
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Patience dans l'azur (1981) de Hubert Reeves
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Journal d'un inconnu (1953) de Jean Cocteau
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Les Amants magnifiques (1670) de Molière
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La Fin de l'homme rouge (2013) de Svetlana Alexievitch
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Lointain intérieur (1938) de Henri Michaux
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Les amnésiques n'ont rien vécu d'inoubliable (1998) de Hervé Le Tellier
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César Birotteau (1838) de Honoré de Balzac
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Que serais-je sans toi? (2009) de Guillaume Musso
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La petite marchande de prose (1989) de Daniel Pennac
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La Servante écarlate (1987) de Margaret Atwood
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