Citation on a tous
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Une Sélection de 2250 citations et proverbes sur le thème on a tous.
2250 citations
Mais y a pas un soldat qui a pas dans son coeur meurtri un petit bout de tendresse pour son ennemi, c'est comme ça. Peut-être parce qu'on est au même endroit au même moment, et finalement tous victimes du même joueur de bonneteau.
Il t'apprendra à ne pas craindre la nuit,
Il te dira que c'est pas grave
Si tu pisses au lit,
Lui l'faisait aussi.
Il te dira que le sang est le même pour tous
Seules les couleurs changent
On finit de la même façon,
On tend la main aux anges.S'aimer les uns, les autres, s'aimer tous. Non pas à des heures fixes, mais toute la vie. Aimer les pauvres gens, aimer les gens heureux, aimer l'inconnu, aimer le prochain qui est au bout du monde, aimer l'étranger qui est tout près de chez vous. Aimer.
Les Français ont tous les défauts, sauf un : ils ne sont pas obséquieux. Ils l'ont assez démontré pendant l'Occupation ; je n'en ai vu aucun qui, dans la rue ou ailleurs, se soit aplati devant l'occupant ou qui ait pris un air servile.
Les faits historiques se succèdent, qui non seulement se contredisent, mais s'annulent. Rien n'est « irréversible » (comme on dit maintenant), au contraire, tout se renverse, et nous avons des milliers de preuves : un excès de science conduit à l'ignorance crasse, et c'est la curiosité de l'ignorance qui récrée la science ; des sociétés marxistes ont existé dix mille ans avant Marx, pour se transformer en régimes aristocratiques, suivant un processus révolutionnaire inverse à celui qui a l'air de vouloir occuper aujourd'hui notre besoin de mouvement ; des empires sont devenus des républiques, et vice versa ; des royaumes se sont anarchiquement balkanisés, pendant que des nomades se coagulaient en empire, pour devenir ensuite socialistes, après être passés par tous les stades et avant de repasser par tous les stades. Rien ne dure. l'histoire n'est que le catalogue des inconstances de fortune. Rien ne durera de ce que nous fabriquons aujourd'hui. L'extrême pointe de l'avenir nous pique les fesses et nous croyons que c'est le passé.
« Je me sens solitaire », lui disait-elle quand elle était toute petite, et ne réussit jamais à deviner où elle avait attrapé ce mot. Solitaire. Comment imaginer un mot plus triste dans la bouche d'une enfant de deux ans ? mais elle savait dire tant de choses si jeune, elle avait appris à parler si facilement, au début, si intelligemment – peut-être était-ce la cause de son bégaiement, tous ces mots qu'elle connaissait mystérieusement avant que les autres enfants en soient capables d'articuler leur propre nom, peut-être était-ce la charge émotive trop lourde d'un vocabulaire qui comporte la phrase « je me sens solitaire ».
Ils sont tous les mêmes, se lamentait Ursula. Au début, on n'a aucun mal à les élever, ils sont obéissants et sérieux, paraissent incapables de tuer une mouche, et à peine la barbe leur pousse-t-elle qu'ils se jettent dans la perdition.
Je suis devant le roi, je tends mes lettres de créance de la main droite, mon bicorne à plumes sous le bras gauche, comme le veut la règle. Et le roi dit à mi-voix: «Tu aurais cru qu'un jour on se retrouverait tous les deux costumés comme ça?»
De tous les personnages dont j'ai écrit la vie, de Gaulle est celui qui m'a le plus ému, dont je me sens le plus proche - sa vision de l'histoire, son entourage, ses rapports avec sa fille malade, son pessimisme. C'était un être de douleur et de grandeur.
Je voudrais aussi qu'on fût soigneux de lui choisir un conducteur qui eût plutôt la tête bien faite que bien pleine, et qu'on y requît tous les deux, mais plus les moeurs et l'entendement que la science.
César était un dictateur, et tous les colonels voulaient le tuer à coups de poignard, sauf Brutus qui hésitait. César qui s'en aperçut lui offrit son sein en disant : « Toi aussi, mon fils. »
On parla de la cherté du blé et la mère Blanchet remarqua, comme elle le faisait tous les soirs, qu'on mangeait trop de pain.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Tout comme celui qui, dans un camp de concentration, a survécu mois après mois et s'est habitué, et enregistre froidement l'horreur qu'éprouvent les nouveaux arrivants. La perception qu'il en a est anesthésiée, comme celle qu'il a des morts et des meurtres quotidiens. Tous les textes des survivants témoignent de cette anesthésie, qui réduit les fonctions vitales, induit un comportement indifférent et sans scrupule, banalise le gaz et les fours. [...] Les accusées me donnaient l'impression d'être encore prisonnières, et pour toujours, de cette anesthésie, d'y être comme pétrifiées.
L'art de prévoir et de gagner par tous les moyens la guerre - la politique - s'impose, dès lors, comme l'exercice même de la raison. La politique s'oppose à la morale, comme la philosophie à la naïveté.
Tous les bébés naissent en temps de guerre et dans des villes en ruine. Sitôt qu'on naît, on reçoit les éboulis de la vie.
Les bonnes âmes ne cessaient de lui dire qu'on a plusieurs vies au cours de la vie, qu'un seul homme ne peut endosser toutes les fonctions, répondre à tous les besoins d'une femme, de même qu'une femme ne peut assouvir tous les désirs d'un homme.
La distraction est un remède à l'ennui et, comme tous les remèdes, elle est inutile à deux espèces d'hommes: les bien-portants et les incurables.
Et le jeu d'échecs, peut-être parce qu'elle n'y entendait rien, lui apparaissait non pas comme une distraction familiale, un passe-temps agréable, mais comme un art mystérieux, comparable à tous les arts universellement reconnus.
La faux mortelle de Staline fauchait tout le monde sans distinction, en nivelant selon des répartitions, des listes et un plan à réaliser. Il y avait le même pourcentage de vauriens et de lâches parmi les hommes qui ont péri au camp qu'au sein des gens en liberté. Tous étaient des gens pris au hasard parmi les indifférents, les lâches, les bourgeois et même les bourreaux. Et ils sont devenus des victimes par hasard.
Quand on est première dame, l’Amérique se révèle à vous dans tous ses extrêmes.
L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
Moi, j'essaie de comprendre pourquoi, étant tous trois fils d'Abraham, et en prêchant les mêmes fondements, les mêmes valeurs et les mêmes croyances, nos croyants, eux, se font la guerre. Partout sur la planète, on s'entretue au nom de notre Dieu.
Je mets en fait que, si tous les hommes savaient ce qu'ils disent les uns des autres, il n'y aurait pas quatre amis dans le monde. Cela paraît par les querelles que causent les rapports indiscrets qu'on en fait quelquefois.
On se lasse de tout, de tous, même de soi-même. Non sans toutefois se plaindre de la brièveté de la vie.
Des jours sans fin (2016) de Sebastian Barry
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Où je vis (1998) de Geoffroy Mussard, dit Shurik'n
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Aimer, agir : textes choisis (1974) de Raoul Follereau
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Cahiers, 1957-1972 (1997) de Emil Cioran
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Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
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Pastorale américaine (1997) de Philip Roth
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Cent ans de solitude (1967) de Gabriel García Márquez
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Mémoire de sept vies (1997), Croire et oser de Jean-François Deniau
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L'histoire, n° 260, décembre 2001. de Max Gallo
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Essais, I, 26 de Michel de Montaigne
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L'Humour vert (sous le pseudonyme de Claude Sergent), Éditions Buchet-Chastel, (1964) de Claude Schnerb
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François le Champi (1847-1848) de George Sand
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Totalité et infini (1961) de Emmanuel Levinas
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La lumière du monde (2001) de Christian Bobin
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Ce qu'il voulait (2012) de Macha Méril
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L'ignorance étoilée (1974) de Gustave Thibon
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La défense Loujine de Vladimir Nabokov
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Récits de la Kolyma (1978) de Varlam Chalamov
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Devenir (2018) de Michelle Obama
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Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, in L 'autre journal, n°1, mai 1990 de Gilles Deleuze
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Prophètes sans Dieu (1999) de Slimane Benaïssa
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Pensées (1670) de Blaise Pascal
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Notes d'enfance (1979) de Georges Perros
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