Citation on n est jamais trop
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Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème on n est jamais trop.
80 citations
Gloire au premier venu qui passe et qui se tait
Quand la canaille crie «haro sur le baudet»!
Et gloire a don Juan pour ses galants discours
A celle a qui les autres faisaient jamais la cour!
Cette fille est trop vilaine, il me la faut.Jamais les arbres ne ramassent leurs feuilles, savait Bazelle. Automne après automne, elle sentait s'alourdir le poids de ses hanches et tandis que d'âge en âge son esprit ressassait, elle se persuadait qu'à trop oublier qui l'on est, on s'efface, on s'amenuise.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.On voit dans les journaux amusants, des plaisanteries sur les «enfants terribles»; pourquoi n'y a-t-il jamais de plaisanteries sur les «parents terribles?» C'est peut-être parce qu'ils sont vraiment trop terribles...
On n'est jamais trop vieux pour devenir plus sage.
Il est impossible de décrire une chose exactement telle qu'elle est, parce que ce que l'on dit ne peut jamais être exact, il faut toujours laisser quelque chose de côté, il y a trop d'éléments, d'aspects, de courants contraires, de nuances ; trop de gestes qui pourraient signifier ceci ou cela, trop de formes qui ne peuvent jamais être complètement décrites, trop de saveurs dans l'air ou sur la langue, de demi-teintes, trop.
Quand j'entends qu'il faut descendre devant une femme dans l'escalier, parce que c'est plus simple pour la rattraper si jamais elle tombe. Franchement! Si on est devant, c'est trop tard, on la voit toomber que quand elle nous dépasse!
Même un enfant de huit ans a l’intuition de sa dignité. Pour le reste, j’ignorais ce qu’il était permis d’éprouver dans ces cas-là. La honte, la colère, le ressentiment, l’indifférence. Restait le désarroi. Qui mettait tous les autres sentiments en instance. Qui différait la peine. Et pouvait la retarder des jours, des mois, des années parfois. Et alors, quand elle surgissait, on ne savait plus. Il est souvent trop tard pour se souvenir mais jamais trop tard pour oublier.
Et puis il y a un moment où tu commences à sentir que c'est trop tard, que la vie ne va jamais te rembourser, et c'est l'angoisse. C'est ce que nous appelons l'angoisse du roi Salomon.
Laissez-moi vous dire une chose. On n'est jamais trop vieux pour apprendre.
On dit toujours que le pire, c'est le silence avant ou après une attaque, mais en réalité, c'est beaucoup trop poétique, dit-il. Seuls ceux qui n'ont encore jamais eu dans les oreilles le vrai bruit du combat peuvent avoir une idée pareille.
Certainement, dans mon petit livre sur Wilde, je me suis montré peu juste pour son œuvre et j'en ai fait fi trop à la légère, je veux dire : avant de l'avoir connue suffisamment. J'admire, en y repensant, la bonne grâce avec laquelle Wilde m'écoutait lorsque, à Alger, je faisais le procès de ses pièces (fort impertinemment, à ce qu'il me paraît aujourd'hui). Aucune impatience dans le ton de sa réponse, et même pas une protestation ; c'est alors qu'il fut amené à me dire, et presque en manière d'excuse, cette extraordinaire phrase, que j'ai citée et que depuis on a citée partout : « J'ai mis tout mon génie dans ma vie ; je n'ai mis que mon talent dans mes oeuvres. » Je serais curieux de savoir s'il a jamais dit cette phrase à quelque autre que moi.
Pas étonnant que les Grecs aient pensé que peu de fils sont l'égal de leur père ; que la plupart en sont indignes, et trop rares ceux qui le surpassent. Ce n'est pas une question de valeur; c'est une question de savoir. Le père sait tout du fils tandis que le fils ne peut jamais connaître le père.
Manifestement, je n'ai jamais eu le vrai goût de la vie et la gravité qui est son corollaire, surtout la persévérance. Je pourrais évoquer les circonstances familiales, défaut dans ma trame. En place d'une maison, d'un enracinement familial : un lieu de passage, un hôtel. Je ne cherche pas d'explication, les choses sont comme elles sont. Simplement, je ne sais pas si elles vont pouvoir continuer. Je suis trop vieux pour la Légion étrangère. Trop indolent pour mener une vie de gangster, trop lâche.
Après tout il n'est jamais trop tard pour commencer son adolescence.
Jamais une âme bien amoureuse n'est juste; elle trouve son bonheur trop petit, et son malheur trop grand.
L'enfant de Daech va avoir la possibilité d'une autre vie, pourra tenter de gommer les images noires enfouies dans sa mémoire, aura l'opportunité de reconstruire ce qui a été détruit en lui. Lena veut se persuader qu'il n'est jamais trop tard, que même un garçon ayant défilé et joué avec une kalachnikov peut être arraché au destin tracé par ses bourreaux. Si Zaïm arrive à être sauvé, alors Daech aura définitivement perdu la bataille idéologique... : l'école de la république doit vaincre celle du terrorisme.
On est jamais trop lucide, et mieux vaut, dans le doute, noircir le tableau au moins intellectuellement, que l'enjoliver : cela évitera imprudences et désillusions.
Il n'y a jamais trop de livres ! Il en faut, et encore, et toujours ! C'est par le livre, et non par l'épée, que l'humanité vaincra le mensonge et l'injustice, conquerra la paix finale de la fraternité entre les peuples.
La vie est courte et l'on n'a jamais trop de temps pour réjouir le coeur de ceux qui font avec nous la sombre traversée. Hâtons-nous d'être bons.
L'humanité est si belle qu'il faut se contenter de l'aimer et de la servir sans jamais l'examiner d'un oeil trop attentif. Sans quoi, on risque de perdre la vue ou même la raison.
L'ennui est un avertissement, qu'on n'écoute jamais trop.
Les riches du XXI e siècle n'ont ni manières ni éducation. Jamais ils n'ouvrent un livre, ne possèdent pas de bibliothèque. Tout ce qu'ils savent, c'est le prix des choses. Alors, ils se couvrent jusqu'à l'asphyxie d'effets de marque. Quoi qu'ils fassent, on les reconnaît. Ils parlent, marchent, agissent comme ce qu'ils sont. Des gens trop vite passés de la nature au lit king size, du bain dans l'eau sale du marigot aux remous du jacuzzi
Si vous dites que la race n'a jamais été un problème, c'est uniquement parce que vous souhaitez qu'il n'y ait pas de problème. Moi-même je ne me sentais pas noire , je suis devenue noire qu'en arrivant en Amérique. Quand vous êtes noire en Amérique et que vous tombez amoureuse d'un Blanc, la race ne compte pas tant que vous êtes seuls car il s'agit seulement de vous, et de celui que vous aimez. Mais dès l'instant où vous mettez le pied dehors, la race compte. Seulement nous n'en parlons pas. Nous ne mentionnons même pas devant nos partenaires blancs les petites choses qui nous choquent et que nous voudrions qu'ils comprennent mieux, parce que nous craignons qu'ils jugent notre réaction exagérée ou nous trouvent trop sensibles.
Galathée n'aime jamais entièrement Pygmalion : le lien qui les unit est trop divin pour être absolument agréable.
Trompe la mort (1976), Don Juan de Georges Brassens
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Un grand pas vers le bon Dieu (1989) de Jean Vautrin
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Enfantines (1918), Devoirs de vacances de Valéry Larbaud
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Le Dissipateur, ou l'honnête friponne (1753), IV, 2 de Philippe Néricault, dit Destouches
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La Servante écarlate (1987) de Margaret Atwood
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J'me marre (2003) de Jean Gouyé, dit Jean Yanne
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Parle tout bas (2021) de Elsa Fottorino
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L'angoisse du roi Salomon (1979) (sous le pseudonyme d'Emile Ajar) de Romain Gary
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée (2019) de Daniel Mendelsohn
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Le Métier de tuer (2003) de Norbert Gstrein
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In Journal, Gide, le 3 juillet 1913 de André Gide
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée (2019) de Daniel Mendelsohn
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Chien (1988) de Paul Nizon
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Bon petit soldat (2012) de Mazarine Pingeot
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Pensées et Maximes (1791) de Jean-Benjamin de Laborde
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Dans son cœur sommeille la vengeance (2018) de Sonia Mabrouk
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Le Goût de vivre et cent autres propos (2010) de André Comte-Sponville
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Rome (1896) de Emile Zola
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Fragments d'un journal intime (1884, 1887, 1923, 1927) de Henri-Frédéric Amiel
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La Danse de Gengis Cohn (1967) de Romain Gary
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Les rencontres des jours de Claude Roy
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Crépuscule du tourment (2016) de Léonora Miano
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Americanah (2014) de Chimamanda Ngozi Adichie
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Pygmalion (1912), Fine de George Bernard Shaw
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