Citation pouvais
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Une Sélection de 180 citations et proverbes sur le thème pouvais.
180 citations
J'y suis allée tellement trop dans ce texte là, j'ai payé de ma personne, vraiment ... Je ne pouvais pas me faire aussi mal en écrivant et que ce soit gnangnan, je ne vois pas comment ça aurait pu se produire.
Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère
Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux
Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre
Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux !Personne ne peut se renier. Peut-être ne peut-on tout simplement pas faire tomber en se secouant toutes les influences qui ont marqué une enfance. Alain ne le pouvait pas, je ne le pouvais pas non plus. C'est pourquoi, dès le début de nos rapports, la fin était inévitable. Seulement, à ce moment-là, nous ne le savions pas encore. Ou bien nous ne voulions pas en convenir - en tous cas, pas moi.
Je pouvais donc le voir comme je voulais, aller à lui ... Pour l'approcher, je possédais le plus avouable des prétextes: ma camaraderie pour un ancien colon et ma fidélité à Mettray.
J'ai découvert que je devais être écrivain après avoir compris que je ne pouvais exercer aucun autre métier: si j'avais un vrai job, je me ferais virer au bout d'une semaine! Je suis incapable d'exercer une autre profession.
Oh! si tu pouvais lire dans mon coeur, tu verrais la place où je t'ai mise!
Vaincre l'accoutumance a été une action à mener sur le plan philosophique, comme toutes les autres : j'ai dû modifier ma manière de percevoir le temps. Au lieu de concevoir les journées comme des étendues sans fin, sans cigarettes, intolérables, je me suis arrangée pour entraîner mon esprit à être ici et maintenant, là où je pouvais prendre la décision répétée de ne pas fumer.
J'avais peu de service, pouvais être en civil, n'étais affecté de rien, attaché à personne, comprenais à peine la langue; flânais dans les rues, peuple étranger. (...) qu'était la canonade de l'Yser, sans laquelle aucune journée ne se passait ! - la vie se balançait dans une atmosphère de silence et d'abandon, je vivais à la lisière, là où l'existence s'évanouit et où le Moi commence, je pense souvent à ces semaines, elles étaient la vie, elles ne reviendront pas, tout le reste était du toc.
Malgré le froid, je ne pouvais plus m'en aller. Je restais là, fasciné par ce feu comme une bête. Car je suis aussi une bête sauvage. Sinon subirais-je cette fascination?
Dès que j'avais un emploi, je le jouais plus que je ne l'exerçais. Je ne pouvais jamais m'y donner vraiment, j'avais d'emblée l'impression d'être dans des vêtements d'emprunt et de circuler avec de faux papiers. (...) Comme si non seulement je n'avais aucun droit au travail, aucune légitimité, mais aussi aucun droit à l'existence. Et bien vite je partais. Un seul objectif, retrouver la rue et plonger. Il n'y a que dans la rue que je me sentais bien, en transit, enfoncé dans le quotidien des autres.
J'ai dû être de loin parmi les coureurs les plus rapides que la terre ait jamais portés, sur une courte distance, cinq ou dix mètres, une seconde et j'étais rendu. Mais je ne pouvais pas tenir à cette allure.
La présence des autres dans une salle de classe permet l'infini confort de la solitude: j'étais seul, mais entouré je me frottais au groupe comme un matou se frotte aux hommes (j'avais d'ailleurs la sensation, en ce lieu, d' habiter dans un chat) je pouvais mentalement m'isoler , pour vivre ailleurs et autre chose. Je pouvais gribouiller des signes m'essayer à la poésie découvrir en plissant les yeux jusqu'à ce que mes camarades se transforment en statues agitées des continents aberrants. Mes pensées envahissaient peu à peu l'espace; je devenais le personnage principal en ce paysage où les êtres confectionnaient mon décor .
Je ne voyais pas pourquoi il me fallait peiner à l'école, tout comme plus tard je n'eus pas la concentration nécessaire pour faire des études et obéir à une discipline de vie et de travail. Il y avait toujours quelque chose qui me retenait. Je déviais toujours. En fait je n'ai pas fui les mariages et les emplois, j'ai simplement dévié. Je ne pouvais vivre qu'en transit, ou bien entre deux chaises, comme on dit. Dès que j'étais installé dans un appartement ou un emploi, les choses perdaient leur saveur. Je connaissais tout d'avance, et ce monde connu s'étendait devant moi comme un désert. Comme je m'ennuyais !
Un entrelacement de souvenirs s'était fait tellement inextricable que je ne pouvais plus arracher à un désir de tendresse toute cette broderie des souvenirs du corps d'Albertine.
Tu as guéri. Tu as retrouvé un corps de vivant, un cœur de vivant, un visage de vivant. La mort est partie. La petite fille est revenue. Et tu as décidé, en ce retour, parce que tu pouvais enfin marcher et vivre, de te rendre toi-même sur les lieux de ton enfance - ceux que tu avais perdus, ce qui t'avait tué. Tu avais dix-sept ans alors, à peine, et tu as pris l'avion, seule, pour retourner à Hanoï.
Mais ce que j'attendais d'un homme, à part moi, ce dont je pouvais m'enchanter jusqu'à fléchir, c'était le point où quelque chose de son passé, de son appel ou de sa force vous jette dans l'émotion, les jambes molles, le coeur touché.
Un ami d'autrefois (1998) de Ah si je pouvais - Ne plus jamais l'entendre - Le soir sous la lune - Il fait croire que l'on vient - Le vent qui effleure les roseaux!
Kinkai-shû, II, 426 de Si je pouvais vous faire rire quelques instants à mes dépens, je me sentirais mieux: prêter à rire, il n'y a rien de plus généreux.
Aujourd'hui je comprends que la solitude est inscrite dans les lois du monde, au même titre que les feuilles des arbres ou le sang dans le corps. La solitude n'est pas un sentiment mais un élément organique. J'ai été vaniteux de croire que je pouvais y échapper.
Je sus que j'entrais dans un autre monde que celui que je pouvais découvrir de la maison, et aussi que j'étais parti pour un long voyage. il ne s'agissait plus d'aller en ville, cette fois, mais beaucoup plus loin ; un voyage comme j'en avais jamais fait.
Et ce qui me fait souffrir, ce n'est pas tant la mort d'un amour que celle d'un être vraiment vivant que nous avions créé l'un et l'autre, que peut-être moi j'avais créé seule… Cet être était une union de vous et de moi, tels que nous nous voulions l'un et l'autre. C'était vous comme j'avais besoin que vous fussiez ; non pas un admirateur de ma personne comme vous avez prétendu, mais un homme qui m'aimait ; qui, à cause de cet amour, trouvait de l'intérêt à tout ce qui venait de moi ; devant lui, je pouvais avoir tous mes défauts et toutes mes qualités ; je pouvais me laisser aller au désordre… ce désordre lyrique et inattendu où tous les instincts se livrent en paroles et en cris pour ensuite permettre aux sûres directions de l'âme de retrouver la route et de continuer. Et j'imaginais qu'aucun de ces abandons ne troublait votre amour et votre confiance.
J'ai pris comme principe de ne rien arranger, et croyez-moi, j'aurais préféré avoir des réactions plus matures ou sages que celles que j'ai eues… j'ai coupé là où je pouvais blesser, mais très peu. Moi-même, je reste très infantile, il me semble, et fatigante… Il y a des années qui manquent, des carnets perdus, les personnes qui ne sont pas là, des récits aussi aléatoires que des photos prises, ou pas, comme les bobines non développées, absence d'appareil ce jour-là, cette année-là, mémoire sélective… je fais le tri
La vérité c’est que j’absorbais tout ce que je pouvais jusqu’à devenir l’air autour d’eux, jusqu’à être aspiré dans leurs poumons, puis recraché, puis aspiré encore pour saisir l’essence même de leur bonheur. J’aurais bu leur sang si ça m’avait permis de comprendre ce que c’est que d’avoir une famille comme les autres.
Mais puisque je savais maintenant que je ne pouvais rien atteindre de plus que des plaisirs frivoles, à quoi bon me les refuser?
La polygamie, c'était une de nos coutumes que je ne pouvais comprendre, que je détestais même. Et puis il arrive que l'on se mette à aimer ce que l'on croyait détester.
Maria Pourchet et l’amour pyromane, La Grande Table culture par Olivia Gesbert, 16/09/2021 de Maria Pourchet
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L'isolement de Alphonse de Lamartine
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Moi, Romy (1990) de Romy Schneider
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Miracle de la Rose (1947) de Jean Genet
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Interview Harlan Coben Par François Busnel (Lire), le 01/06/2005 de Harlan Coben
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Correspondance, 6 août 1846 de Gustave Flaubert
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J'y suis presque (2005) de Nuala O'Faolain
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Double vie de Gottfried Benn
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Hyacinthe (1940) de Henri Bosco
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Chien (1988) de Paul Nizon
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Têtes-mortes (1967) de Samuel Beckett
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Orléans (2019) de Yann Moix
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Chien (1988) de Paul Nizon
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Albertine disparue (1925) de Marcel Proust
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Les os des filles (2019) de Line Papin
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Jeanne Dautun
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Minamoto no Sanemoto
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Clair de femme (1977) de Romain Gary
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La Passion selon Juette (2007) de Clara Dupont-Monod
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Un été indien (1985) de Truman Capote
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Laissez-moi de Marcelle Sauvageot
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Munkey Diaries : Le journal intime de Jane Birkin de Jane Birkin
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Un jour ce sera vide (2020) de Hugo Lindenberg
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A la recherche du temps perdu, Le Temps retrouvé (1927) de Marcel Proust
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Les Bouts de bois de Dieu (1960) de Ousmane Sembène
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