Citation sans moi
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Une Sélection de 350 citations et proverbes sur le thème sans moi.
350 citations
Le seul moyen de vous faire admettre désormais l'individualisme, même chez un personnage de roman, à vous les taupes conformes ... et sans que votre surmoi se trouve mal, ... c'est d'en faire un fou.
On peut vivre sans être aimé, croyez-moi. Mais on ne peut pas vivre sans aimer. Le temps y remédiera. Pour vivre, vous pardonnerez.
Les limites de son rôle dérivent de la nature de ses vertus. Et ces vertus, c’est encore aux lectures d’enfance que je vais aller demander en quoi elles consistent. Ce livre que vous m’avez vu tout à l’heure lire au coin du feu dans la salle à manger, dans ma chambre au fond du fauteuil revêtu d’un appuie-tête au crochet, et pendant les belles heures de l’après-midi, sous les noisetiers et les aubépines du parc, où tous les souffles des champs infinis venaient de si loin jouer silencieusement auprès de moi, tendant sans mot dire à mes narines distraites l’odeur des trèfles et des sainfoins sur lesquels mes yeux fatigués se levaient parfois, ce livre, comme vos yeux en se penchant vers lui ne pourraient déchiffrer son titre à vingt ans de distance, ma mémoire, dont la vue est plus appropriée à ce genre de perceptions, va vous dire quel il était « le Capitaine Fracasse », de Théophile Gautier. J’en aimais par-dessus tout deux ou trois phrases qui m’apparaissaient comme les plus originales et les plus belles de l’ouvrage.
Sans mon rêve, je n'étais qu'une absence, le néant. J'ai échoué. Cet échec, je l'ai porté en moi, et je me suis mis à flotter, à dériver. Flotter, c'est justement ce que je n'ai jamais pu supporter. Au contraire, j'aimais nager parce que j'avais l'impression de voler, l'eau n'était pas liquide, c'était de l'air.
Je m'étais rendu compte que les gens connaissaient le mot « inceste », mais qu'ils n'avaient aucune idée de la chose. Ils utilisaient le mot comme un mot étranger, vide, sans le connaître. Donc, il fallait le définir en images, et en perceptions. C'est ça faire apparaître le réel, et faire disparaître le discours. Les mots jusque-là mal agencés ou trop bien agencés qui recouvrent les choses. Je pense à Beckett dans L'innommable : « Je vais le leur arranger moi leur charabia. » Leur charabia c'est le discours social, la soi-disant écoute, l'injonction à dire. Alors que c'est l'impossible. L'injonction qui infériorise. Le réel n'est pas fait pour être dit. Il est là, il se contente de ça. Il est le vrai, c'est tout.
Gémir, pleurer, prier, est également lâche. - Fais énergiquement ta longue et lourde tâche - Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler, - Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler.
Et je le donnerais à bien d'autres qu'à moi - De se voir sans chagrin au point où je me voi.
Entre moi et le monde, une vitre. Ecrire est une façon de la traverser sans la briser.
Ça paraissait et ça paraît toujours invraisemblable que je n'ai été au courant de rien. Et ça me paraît à moi aussi invraisemblable. Le processus du déni, ça existe. En psychanalyse, tout le monde le connaît. C'est sans doute que je n'ai pas voulu voir.
Je peux regarder des civilisations disparaître, des villes flamber ou des planètes exploser sans réagir. Mais montrez-moi une larme sur la joue d'une femme et vous ferez de moi ce que vous voudrez.
Le soir, enfouie sous les couvertures, j’entends mon père hurler, traiter ma mère de « salope » ou de « pute », sans en comprendre la raison. À la moindre occasion, pour un détail, un regard, un simple mot « déplacé », sa jalousie explose. D’un instant à l’autre, les murs se mettent à trembler, la vaisselle vole, les portes claquent. D’une maniaquerie obsessionnelle, il ne tolère pas qu’on déplace un objet sans son accord. Un jour, il manque d’étrangler ma mère parce qu’elle a renversé un verre de vin sur une nappe blanche qu’il vient de lui offrir. Bientôt, la fréquence de ces scènes s’accélère. C’est une machine lancée dans une course folle, personne ne peut plus l’arrêter. Mes parents passent désormais des heures entières à s’envoyer à la figure les pires insultes. Jusqu’à l’heure tardive où ma mère vient se réfugier dans ma chambre pour y sangloter en silence, blottie contre moi, dans mon étroit lit d’enfant, avant de rejoindre, seule, le lit conjugal. Le lendemain, mon père dort une fois encore sur le canapé du salon.
Cher ami, un amour excessif est un amour coupable, et vous en êtes sans doute la meilleure preuve. - Je croyais que mon amour pour ma femme était la seule bonne chose qu'il y a en moi.
Je fus informé, avant que le vocable eût un sens pour moi, que ma mère était une "grue". C'est étrange à penser, que mon père n'a sans doute jamais su mon existence.
Pour des personnes comme toi et moi, le plus important, c’est la rage. Sans rage, nous serions incapables de trouver la force pour ôter la vie. Certains sont différents : ils obéissent à d’autres instincts ou ont grandi dans une violence inouïe ; ces gens-là te regardent depuis des cavernes inconnues.
Si l'on jette un coup d'œil sur ce qui a été écrit jusqu'ici, l'impression pourrait facilement se dégager que ce qui compte, pour moi, c'est uniquement de dénombrer avec malveillance les faiblesses de mes pauvres parents afin de les faire passer ensuite pour les méchants qui m'auraient détraqué et auxquels il faudrait donc attribuer tout mon malheur. Mais j'ai tendance à croire qu'il y a davantage, dans ce récit, que la simple intention de rendre mes parents responsables de ce que j'aurais dû mieux savoir et mieux faire. Aujourd'hui, mes parents sont beaucoup moins, à mes yeux, les « coupables » que les co-victimes de la même situation faussée. Ils n'étaient pas les inventeurs de cette mauvaise façon de vivre ; ils étaient bien davantage –tout comme moi- dupes de cette vie mauvaise, acceptée sans esprit critique.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Sur l'écran noir de mes nuits blanches,
Moi je me fais du cinéma
Sans pognon et sans caméra,
Bardot peut partir en vacances:
Ma vedette, c'est toujours toi.Ce que nous sommes convenus d'appeler notre amour n'a pour moi qu'une importance secondaire. C'est un ornement de mon existence, une guirlande qui peut se faner sans inconvénient.
Être un grand acteur, c'est être capable de dire « Passe-moi le sel, s'il te plaît », sans avoir l'air pompeux. Être un grand acteur, c'est être capable de dire « Horreur ! horreur ! horreur ! » sans avoir l'air bizarre, étrange, stupide ou pompeux.
Avoir l'heure m'a toujours paru quelque chose de ridicule, de fondamentalement mensonger, peut-être parce qu'une nécessité interne que je n'ai moi même jamais réussi à comprendre m'a toujours fait regimbe contre le pouvoir du temps et me tenir à l'écart de ce que l'on a coutume d'appeler l'actualité, dans l'espoir que le temps ne passe pas, ne soit point révolu, que je puisse revenir en arrière et lui courir après, que là-bas tout soit alors comme avant ou plus précisément, que tous les moments existent simultanément, auquel cas rien de ce que raconte l'histoire ne serait vrai, rien de ce qui s'est produit ne s'est encore produit mais au contraire se produit juste à l'instant où nous le pensons, ce qui d'un autre côté œuvre naturellement sur la perspective désespérante d'une détresse perpétuelle et d'un tourment sans fin.
Depuis le début, il savait qu'elle mentait, qu'elle lui avait menti sur tout. Elle restait cette forteresse sans porte ni fenêtres sous le plancher de laquelle il était persuadé que se trouvait le plus beau des trésors, son moi profond, qu'un jour il exhumerait, pour la sauver et la transformer.
Repose en paix, ma Virginie!
Le repos n'est pas fait pour moi.
Hélas! le monde entier, sans toi,
N'a rien qui m'attache à la vie.Voss regardait son café d'un air amer et triste. « Doktor Aue. Je vous ai toujours pris pour un homme intelligent et sensé. Même si tout ce que vous me dites est vrai, expliquez moi, s'il vous plait, ce que vous entendez par race. Parce que pour moi, c'est un concept scientifiquement indéfinissable et donc sans valeur théorique. » […] « Cette philosophie de vétérinaires, comme disait Herder, a volé tous ses concepts à la linguistique, la seule des sciences de l'homme jusqu'à ce jour qui ait une base théorique scientifiquement validée. Comprenez-vous »
Tant de vies individuelles, collectives, dont je suis exclu, moi qui depuis l'enfance ne peut se faire à ce fait qu'on ne peut dans le temps d'une vie humaine embrasser chacune des milliards et millions de vies humaines en cours, en cours de naissance, qui ne peut voir une fenêtre allumée sans éprouver le regret, la rage de n'être pas l'un ou l'une de ceux qui y vivent- et y lampent la soupe.
J’ai passé mes vingt ans sans être débarrassée de moi. Je me portais comme une promesse fragile, comme un habit trop neuf que l’on ne veut ni user, ni tacher, qu’on ne veut sortir qu’aux grandes occasions et qu’au final, on ne porte jamais. J’attendais que ma vie commence, parce que je voulais qu’elle advienne
Demain les loups de Fritz Leiber
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L'emprise (2010) de Sarah Chiche
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Sur la lecture de Marcel Proust
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Barracuda de Christos Tsiolkas
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Un amour impossible (2015) de Christine Angot
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Les Destinées, la Mort du loup de Alfred de Vigny
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Sganarelle, ou Le cocu imaginaire (1660), 16 de Molière
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Mozart et la pluie de Christian Bobin
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Anne Sinclair, lundi 31 mai 2021 sur France Inter, à propos de l'affaire DSK, en 2011. de Anne Sinclair
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Mémoires d'un jeune homme dérangé (1990) de Frédéric Beigbeder
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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La valse aux adieux (1976) de Milan Kundera
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Un Enfant du verbe (1979) de Iris Murdoch
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Le Puits (2013) de Ivan Repila
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Mars (1977) de Fritz Zorn
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le Cinéma (1962) de Claude Nougaro
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Les Quatre Vérités (1954), III de Marcel Aymé
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L'Attente de l'aube (2012) de William Boyd
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Austerlitz (2001) de W. G. Sebald
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Les Enténébrés (2019) de Sarah Chiche
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Paul au tombeau de Virginie de Vincent Campenon
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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Coma de Pierre Guyotat
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Sagan 1954 (2014) de Anne Berest
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