Citation sur la fin
Découvrez une citation sur la fin - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase sur la fin issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 220 citations et proverbes sur le thème sur la fin.
220 citations
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Quand j'étais enfant, j'appartenais à l'espèce des poids lourds, difficiles à vaincre, difficiles à remuer, lents à s'émouvoir. Aussi il arrivait souvent que quelque poids léger, maigre de tristesse et d'ennui, s'amusait à me tirer les cheveux, à me pincer, et avec cela se moquant, jusqu'à un coup de poing sans mesure qu'il recevait et qui terminait tout. Maintenant, quand je reconnais quelque gnome qui annonce les guerres et les prépare, je n'examine jamais ses raisons, étant assez instruit sur ces malfaisants génies qui ne peuvent supporter que l'on soit tranquille. Ainsi la tranquille France, comme la tranquille Allemagne, sont à mes yeux des enfants robustes, tourmentés et mis enfin hors d'eux-mêmes par une poignée de méchants gamins.
L'aube se lève. Telle une prière inutile sur un désert sourd, misérable et nu. Épaves oubliées par une mer volatilisée depuis des millénaires, quelques rochers s'effritent dans la poussière ; çà et là, enguirlandés de coloquintes vénéneuses, de maigres bras de broussailles soulignent les berges de jadis sur lesquelles des acacias solitaires se sont crucifiés puis, plus rien – rien de ce que l'on espère entrevoir –, ni caravane providentielle, ni cahute salutaire, pas même la trace d'un bivouac. Le désert est d'une perversité !... C'est un code piégé, le désert, un dédale souverain et fourbe où les témérités courent à leur perte, où les distraits s'évanouissent parmi les mirages plus vite qu'une feinte, où pas un saint patron ne répondrait aux appels du naufragé afin de ne pas se couvrir de ridicule ; un territoire d'échec et d'adjuration, un chemin de croix qui n'a de cesse de se ramifier, un envers du décor où l'entêtement se mue en obsession et la foi en folie. Ci-gît la vanité de toute chose en ce monde, semble clamer la nudité des pierres et des perspectives. Car, ici, tout retourne à la poussière, les montagnes taciturnes et les forêts luxuriantes, les paradis perdus comme les empires bâclés, jusqu'au règne claironnant des hommes… Ici, en ces immensités reniées des dieux, viennent abdiquer les tornades et mourir les vents bredouilles à la manière des vagues sur les plages sauvages puisque seule la course inexorable des âges est invincibilité et certitude. Au loin, très loin, là où la terre commence à s'arrondir, l'horizon se tient immobile, piètre et livide, comme si la nuit l'avait tenu en haleine jusqu'au matin…
Si l'on tient la liberté pour le principe et le but de toute activité humaine, il est également faux que l'on doive juger les moyens sur la fin et la fin sur les moyens.
Il est bien connu que les femmes disent une chose et pensent le contraire. Elles aiment être courtisées, flattées, voire harcelées. Pour elles, l’homme doit se dévoiler, afin qu’elles puissent le mettre sur la sellette.
Heureux le médecin qui vient sur la fin de la maladie.
Chaque peuple à son tour a brillé sur la terre,
Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre;
Le temps de l'Arabie est à la fin venu.Sur la fin que le bucher s'en alloit declinant et le feu assopissant.
A quatre heures, en hiver, la concierge allumait le gaz et se retirait dans sa loge afin d'y épucer un affreux matou jaune qu'elle installait sur ses genoux.
Peut-être a-t-il gardé en lui des enseignements de Mani la conviction profonde que ce monde est mauvais et ne mérite pas que l'on verse des larmes sur sa fin.
Il est enfin très naturel à la jeunesse de se jeter sur les fruits, et l'automne de la femme en offre d'admirables et de très savoureux.
Enfin, mon cher maître, voilà la bataille engagée, et le signal donné: il faut que Shakspeare ou Racine demeure sur la place.
Le soleil brillait enfin sur Paris. Les pots d'échappement diffusaient leurs polluants comme les pollens d'une nouvelle ère, ensemençant dans les poumons des Parisiens et des touristes la future flore d'une civilisation malade.
Parfois, j'ai cette drôle d'impression que la vie est un jeu vidéo. On commence la partie avec plusieurs jauges pleines. La jauge de sérénité, la jauge de force, la jauge d'énergie, la jauge de joie. Sur notre chemin, on va croiser quelques ennemis, faire face à des attaques, parfois se tromper de chemin, sauter sur des bombes, chuter dans des trous, buter contre des obstacles. A chaque fois, nos jauges vont être entamées, mais des bonus "Bonheur" vont nous aider à les recharger. Le bonus "Mariage", le bonus "Naissance d'un enfant", le bonus "Soirée en famille". Ces bonus sont précieux, ce sont eux qui déterminent la qualité de la partie, parfois même sa durée. A la fin de chaque tableau, on doit affronter un gros monstre. Parmi les plus terrifiants, il y a le monstre "Deuil", le monstre "Maladie", le monstre "Chômage", le monstre "Rupture". Ceux-là, ils sont coriaces. Il faut du temps pour en venir à bout. Même si on y parvient, ils emportent toujours avec eux une bonne partie de chaque jauge. Un jour, les bonus ne sont plus assez costauds pour restaurer la joie, l'énergie et la force.
Nous avons toujours besoin d'un point extérieur sur lequel nous appuyer, afin d'appliquer le levier de la critique. C'est particulièrement vrai en psychologie, où, de par la nature de la matière, nous sommes beaucoup plus impliqués subjectivement que dans toute autre science. Comment, par exemple, pouvons-nous prendre conscience des particularités nationales si nous n'avons jamais eu l'occasion de considérer notre propre nation de l'extérieur ? La considérer de l'extérieur signifie la considérer du point de vue d'une autre nation. Pour ce faire, nous devons acquérir une connaissance suffisante de la psyché collective étrangère, et au cours de ce processus d'assimilation, nous rencontrons toutes ces compatibilités qui constituent le préjugé national et la particularité nationale. Tout ce qui nous irrite chez les autres peut nous conduire à la compréhension de nous-mêmes.
Qu'importent, en fin de compte, les dommages matériels ? Et l'adversité même ! Comme le disait Sénèque, il faut refuser de laisser son âme s'engloutir dans la nuit et, même dans le malheur, qui arrive de toute manière, rester conscient « qu'il est plus humain de rire de la vie que d'en pleurer ». Étudiant, j'avais lu et même traduit Sénèque, mais de façon académique, sans m'interroger sur le sens profond de ses pensées ni sur leur usage pratique. Pourquoi porter un masque grimaçant, pourquoi souffrir du regard d'autrui ? Pourquoi vivre dans la crainte de l'opinion, pourquoi refuser de détonner ? Pourquoi en un mot comme en cent, s'avouer vaincu ?
Enfin agissez-en ni plus ni moins que si le soleil et les étoiles vous appartenaient en bien propre, et que la fée Morgane vous eût tenu sur les fonts baptismaux.
Aujourd'hui quand je lis les articles sur le baby blues, cette dépression postnatale, je suis de tout cœur avec ces femmes-là, ayant bien connu ce désarroi face à un bébé. Ce trou qui semble vous aspirer à la nuit tombée, quand le silence se fait, que votre bébé s'est endormi enfin. Ce corps qui n'est plus le vôtre, que vous lavez sans plus rien ressentir, cet engourdissement permanent, cette façon de se couper de tout, de ne plus s'intéresser à rien, rien d'autre que son enfant et lui en vouloir un peu pour cela.
Il est étrange que, parfaitement certains de la brièveté de la vie, nous prenions tant à coeur les intérêts qui s'y rapportent. Quelle est cette activité, ce mouvement, à l'entour de places et de richesses dont nous aurons si peu de temps à jouir ? Et ces pleurs sur des morts chéris que nous irons rejoindre demain ? L'homme sait tout cela, et cependant il s'agite, il s'inquiète, il s'afflige, comme si la fin de ces empressements et de ces larmes n'était pas prochaine, et nulle philosophie ne peut lui donner sur toutes choses l'indifférence qui convient à un condamné à mort sans espoir ni recours.
Ces tâtonnements, étonnements, dénominations, cet essai d'épeler la réalité est, bien sûr, voué en fin de compte à l'échec, c'est un coup de projecteur désespéré, un peu comme si l'on cherchait à allumer un dernier bout de chandelle dans un caveau aussi vaste que l'univers et qu'à la seule lueur de ce bout de chandelle le monde se mît à exister.
Elle démontra que dépenser des milliards de dollars - pour la plupart en vain - afin de sortir l'Afrique de son cycle de pauvreté revenait juste à changer les chaises longues de place sur le pont du Titanic qu'était la planète Terre. Cela ne servait à rien si l'on ne mettait pas fin au réchauffement global, et si l'on n'inversait pas la tendance.
Il n'y a qu'une manière d'être féministe aujourd'hui pour un homme, c'est de se taire enfin sur la féminité. C'est de laisser parler les femmes.
Peut-on redéfinir le mot torture afin de pouvoir la pratiquer? Bien sûr, et c'est même digne d'une démocratie, à condition de redéfinir aussi le mot démocratie
Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d'enfant
Se balance avec la mollesse
D'un jeune éléphant,
Et ton corps se penche et s'allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ses vergues dans l'eau.Trois numéros, en matière d'expérience, se virent privés de travail pendant un mois ; ils pouvaient aller où ils voulaient, faire ce qu'ils voulaient. Les malheureux errèrent autour de leur lieu de travail, qu'ils contemplaient avec des yeux affamés. Ils firent dans le vide, pendant des heures entières, les mouvements qui, à certaines heures étaient devenus un besoin pour leur organisme : ils scièrent et rabotèrent, ils frappèrent sur des clous invisibles avec des marteaux également invisibles. Enfin, le deuxième jour, n'y tenant plus ils se prirent par la main et, aux sons de la Marche, entrèrent dans le fleuve jusqu'à ce que l'eau mit fin à leurs tortures...
Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Propos sur le bonheur (1928) de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Situations II (1948) de Jean-Paul Sartre
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L'affaire William Smith (2000) de Patricia Wentworth
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Proverbe de Proverbes français
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Le fanatisme, ou Mahomet le Prophète (1741), II, 5, Mahomet de Voltaire
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Sylla, 76 de Jacques Amyot
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Nostalgie de Paris (1941) de François Carcopino-Tusoli, dit Francis Carco
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Le Sermon sur la chute de Rome (2012) de Jérôme Ferrari
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La Comédie humaine (1842-1852) de Honoré de Balzac
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Lettre à Voltaire, 20 août 1776 de Jean le Rond d'Alembert
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Comment je suis devenu stupide (2000) de Martin Page
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Tu comprendras quand tu seras plus grande (2017) de Virginie Grimaldi
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Ma vie, souvenirs, rêves et pensées (1961) de Carl Gustav Jung
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Le Prince d'Aquitaine de Christopher Gérard
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La Quenouille de Barberine (1835) de Alfred de Musset
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La Noce d'Anna (2005) de Nathacha Appanah
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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Dans le ventre de la baleine (1993) de Paul Nizon
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L'Année du lion (2016) de Deon Meyer
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Le Féminisme au masculin (1980) de Benoîte Groult
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Guerre et plaies (2003) de Hervé Le Tellier
Références de Hervé Le Tellier - Biographie de Hervé Le Tellier
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Les Fleurs du Mal (1857), XXVIII - Le serpent qui danse de Charles Baudelaire
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Nous autres (1920) de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine
Références de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine - Biographie de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine
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