Citations sur assis

Et ot par defors les palis Tabliaus en pluseurs lieus assis Sor très haus sapins, qui estoient Li plus haut que trouver povoient ; De ces tabliaus i avoit quatre à quoi se devoient esbatre à la feste li chevalier, Li damoisel, li escuier De lancier de leur javelos ; Et encore atorne on à los Qui plus apertement i lance ; Vraiement sachiez, sans cuidance, K'Espaignol tienent moult à bel Le jeu de lancier au tablel

Si quelqu'un assis bec à bec raconte....

Luy seul, de loing, estant assis à son aise, sans s'efforcer aucunement, en tirant tout bellement avec la main le bout d'un engin, la feit approcher de soy

Brennus s'esmerveilla fort, quand il veit ces hommes assis dedans leurs chaires en gravité, sans mot dire

En lieu commodement assis pour les chemins et advenues des lieux circonvoisins

Il donnoit audience, estant assis en une chaire à dossier renversé en arriere

Il donnoit audience estant assis en une chaire à dossier renversé en arriere

Paulus estoit assis auprès d'une roche, attendant que quelqu'un des ennemis vinst l'achever de tuer

Il en est [des masques de théâtre] qui ouvrent une bouche énorme et revêtue intérieurement de lames d'airain ou de tout autre corps sonore, afin que la voix y prenne assez de force et d'éclat pour parcourir la vaste enceinte des gradins où sont assis les spectateurs

Le plant du fort d'Edimton est tout quarré et assis au milieu d'une plaine raze et basse

E mult [des assiégés] li crient grant merci, Qu'il les secore e ne lor faille ; Kar grant sofraite [manque] unt de vitaille ; Mandent cum l'om les a serrez, Clos e assis [assiégés] e estopez

Deus vassialx ont appareilliez D'esmeraldes bien entailliez, Toz pleins de basme et d'aloès ; Sor un bufet de gargatès Les ont assis en tel endreit, Que ses deus piez [du corps d'Hector] dedanz teneit

J'ouvre, bon Dieu ! c'était lui [Napoléon 1er] Suivi d'une faible escorte ; Il s'asseoit où me voilà, S'écriant : oh ! quelle guerre ! Il s'est assis là, grand'mère, Il s'est assis là !

Servius se est assis en la sée royal, et aucuns jugemens a decerné et determiné

Et regarde le champ, assis sur la barrière

Je laisse aux plus hardis l'honneur de la carrière Et regarde de loin assis sur la barrière

Alidor assis dans sa chaise, Médisant du ciel à son aise, Peut bien médire aussi de moi ; Je ris de ses contes frivoles ; On sait fort bien que ses paroles Ne sont pas articles de foi

Je laisse aux plus hardis l'honneur de la carrière, Et regarde le champ assis sur la barrière

Viendrai-je en une églogue, entouré de troupeaux, Au milieu de Paris enfler mes chalumeaux, Et, dans mon cabinet assis auprès des hêtres, Faire dire aux échos des sottises champêtres ?

Moi qui ne compte rien, ni le vin, ni la chère, Si l'on n'est plus au large assis en un festin Qu'aux sermons de Cassagne ou de l'abbé Cotin

Et, dans mon cabinet assis au pied des hêtres, Faire dire aux échos des sottises champêtres

Avant lui [Boileau] Juvénal avait dit en latin Qu'on est assis à l'aise aux sermons de Cotin

Alidor, assis dans sa chaise, Médisant du ciel à son aise, Peut bien médire aussi de moi

Avant lui Juvénal avait dit en latin Qu'on est assis à l'aise aux sermons de Cotin

Qu'on est assis à l'aise aux sermons de Cottin