Citations sur veux-tu

Ami, depuis trois jours tu n'es d'aucune fête, Dit-elle, que fais-tu ? pourquoi veux-tu mourir ? Tu souffres ; l'on me dit que je peux te guérir ; Vis et formons ensemble une seule famille : Que mon père ait un fils, et ta mère une fille

Il nous faut ton moulin ; que veux-tu qu'on t'en donne ? - Rien du tout ; car j'entends ne le vendre à personne

Que veux-tu ? dit-il en me frappant l'épaule, Réal réalise

Êtes-vous fou de me faire une pareille demande ? Que veux-tu ? je suis folle et mon esprit s'égare

Et veux-tu rendre seul ton crime irrémissible ?

Je te prends sur le livre. - Hé bien, qu'en veux-tu dire ? Tant d'excellents esprits qui se mêlent d'écrire, Valent bien qu'on leur donne une heure de loisir

La sonate ne peut pas être appréciée par tout le monde ; de là cette boutade : Toute cette musique purement instrumentale, sans dessein et sans objet, ne parle ni à l'esprit ni à l'âme, et mérite qu'on lui demande avec Fontenelle : sonate, que me veux-tu ?

Poignante, aspre, importune et fiere souvenance, Veux-tu donc nuict et jour mon esprit tourmenter ?

À peine eut-elle commencé à frotter cette lampe, qu'en un instant, en présence de son fils, un génie hideux et d'une grandeur gigantesque s'éleva et parut devant elle et lui dit d'une voix tonnante : Que veux-tu ? me voici prêt à t'obéir comme ton esclave et de tous ceux qui ont la lampe à la main, moi avec les autres esclaves de la lampe

Annette, veux-tu aller avec elle ? - Moi, de tout mon coeur ; me voilà prête

.... Que veux-tu ? c'est peut-être bêtise De croire ce qu'on voit ; mais j'ai cette sottise

Morbleu, veux-tu te battre à coups de poing ?

Cher compagnon, me veux-tu croire ? Courons ensemble le pays ; Tu sais médire, je sais boire : Nous ne manquerons point d'amis

....Si je t'apprends la guise Et le moyen d'être un jour plus content Qu'un petit roi, sans te tourmenter tant, Que me veux-tu donner pour mes étrennes ?

Quel grain veux-tu répandre dans ces lieux ? Le manant dit : Monseigneur, pour le mieux, Je crois qu'il faut les couvrir de touselle, Car c'est un grain qui vient fort aisément

Hé ! comment veux-tu donc que je fasse ? suis-je femme à thésauriser ?

Ah ! vieux roquentin, disais-je entre mes dents, chien de lambin, veux-tu donc me faire enrager ?

Gouyatte, combien veux-tu par mois de ton labeur ? [il s'agit d'un mari vêtu en chambrière et blutant, dont sa femme se moque]

Et que veux-tu ? el' m'ayme bien, Je n'ai que faire de m'en plaindre

Diantre, où veux-tu que mon esprit T'aille chercher des fariboles ? Quinze ans de mariage épuisent les paroles

Madelon : Quoi ! débuter d'abord par le mariage ? - Gorgibus : Et par où veux-tu donc qu'ils débutent ? par le concubinage ?

Mascarille : Voulez-vous deux témoins qui me justifieront ? - Albert : Veux-tu deux de mes gens qui te bâtonneront ?

Quoi ! vous ne croyez pas au séné, ni à la casse, ni au vin émétique ? - Et pourquoi veux-tu que j'y croie ?

Que veux-tu que je te dise ? vérité dans un temps, erreur dans un autre

Il me respondit : Ha ! monsieur, à pecheur misericorde. Alors la rage me print plus que devant, et luy dis : Meschant, veux-tu que j'aye misericorde de toy, et tu n'as pas respecté ton roy ?