Citations sur vois-je

Mais que vois-je ? de bons amis Que rassemble un couvert bien mis ; Asseyez-vous, me dit la compagnie

Ici, que vois-je ? est-ce un aigle qui vole, Et du soleil mesure la hauteur ? C'est un ballon ; voici la banderole, Et la nacelle et le navigateur

Mais, que vois-je ! de bons amis Que rassemble un couvert bien mis

Oh ! que, pour la punir de cette comédie, Ne lui vois-je une vraie et longue maladie !

Ah ! que, pour la punir de cette comédie [feindre d'être malade], Ne lui vois-je une vraie et triste maladie ?

Pourquoi vois-je parmi vous des haines bizarres, des oppositions d'humeur à humeur et de personne à personne ?

Mon Dieu, pourquoi vois-je devant moi ce visage dont vous étonnez les réprouvés ?

Et comment puis-je me fier à toi, ô pauvre philosophie ? que vois-je dans tes écoles, que des contentions inutiles qui ne seront jamais terminées ? on y forme des doutes, mais on n'y prononce point de décisions

Que vois-je durant ce temps ? Quel trouble ! Quel affreux spectacle se présente ici à mes yeux !

.... Mais dieux ! que vois-je ! ô ciel ! je suis perdu, Si j'ai tant de malheur qu'elle m'ait entendu

Pourquoi ne pas débrailler ce saint ? Pourquoi n'en vois-je ni la poitrine ni le cou ?

Aussi vois-je cette fécondité qui se renouvelle toujours

Si quelqu'un est purgé par cette voie-là, à la bonne heure ; encore ne vois-je pas trop bien à quoi il peut être bon d'être guéri de la pitié

Mais quels chants ! loin de moi, fuis, pensée odieuse ; Sur de plus beaux objets promenons mes regards ; Vois-je pas de buveurs une troupe joyeuse ?

Ô dieux hospitaliers, que vois-je ici paraître ? Dit l'animal chassé du paternel logis

La belette avait mis le nez à la fenêtre : Ô dieux hospitaliers, que vois-je ici paraître ? Dit l'animal chassé du paternel logis

Ô dieux hospitaliers, que vois-je ici paraître ? Dit l'animal chassé du paternel logis

Que vois-je ? en une frêle barque Quels insensés fendent les eaux ?

Aussi ne vois-je rien qui soit plus odieux.... Que ces francs charlatans, que ces dévots de place De qui la sacrilége et trompeuse grimace Abuse impunément et se joue à leur gré De ce qu'ont les mortels de plus saint et sacré

Ah ! monsieur, quel bruit ! quel cliquetis ! - Que vois-je là ? Un homme attaqué par trois autres ! La partie est trop inégale, et je ne dois pas souffrir cette lâcheté

Ah ! quel abominable maître me vois-je obligé de servir

Aussi ne vois-je rien qui soit plus odieux Que le dehors plâtré d'un zèle spécieux

Que vois-je ! quelle épée ! ah ! qui l'aurait pu croire ?... Mon fils, ah ! mon cher fils, où nous exposais-tu ?

Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi ?

Quelles traces de sang vois-je sur vos habits ?