Citations sur soirs

Un de ces soirs fameux, chers au peuple romain, Où des temples secrets la Vénus impudique Sortait échevelée, une torche à la main

Combien le feu tient douce compagnie Au prisonnier, dans les longs soirs d'hiver !

je suis las de me voir les soirs en ma maison Seul avec des valets souvent voleurs et traîtres, Et toujours à coup sûr ennemis de leurs maîtres

De la tourpie aux Amantins M'esbatoie soirs et matins

Là les rouques se rassemblent les soirs pour fumer, pour boire, et pour s'éprouver les uns contre les autres, c'est-à-dire pour tâcher de s'entr'enlever les profits de la journée ; or ces rouques sont proprement ce qu'on appelle capons ou piqueurs en France ; gens qui portent toujours de l'argent pour en offrir à ceux qui perdent au jeu, moyennant une rétribution qui n'est rien pour les joueurs et qui ne va qu'à deux pour cent à payer le lendemain

Je pourrai dire un jour, lorsque la nuit douteuse Fera parler les soirs ma vieillesse conteuse, Comment....

Sa mère, peu de temps hélas ! Vint tous les soirs dans la vallée Visiter la tombe isolée ; Mais son amante ne vint pas

Sa mère, peu de temps, hélas ! Vint tous les soirs dans la vallée Visiter la tombe isolée, Et son amante ne vint pas

Ne comptez-vous pour rien le plaisir que l'on a à connaître tous les matins la méchanceté des gens, couverte du nom de zèle, et tous les soirs leurs sottises déguisées en pénétration ?

Le fils de la Feuillade se lassa de faire allumer tous les soirs les falots des quatre coins de cette place [des Victoires]

Fraternité des arts ! union fortunée ! Soirs dont le souvenir, même après mainte année, Charmera le vieillard !

Il y a tous les soirs des bals, des comédies et des mascardes à Saint-Germain

Les soirs il vient faire collation avec nous

Nous sommes tellement parfumés les soirs de jasmins et de fleurs d'orange, que par cet endroit je crois être en Provence

Je prie Deville de faire tous les soirs une ronde, pour voir si le feu est éteint partout

Sinon aux trahistres chiens mastins Qui m'ont fait manger dures crostes Et boire eau maintz soirs et matins, Que ores je ne crains pas trois crottes

Toute la noblesse vivait alors dans ses châteaux, les soirs d'hiver sont longs, on serait mort d'ennui sans ces nobles amusements ; il n'y avait guère de château où il ne revînt une fée à certains jours marqués, comme la fée Merlusine au château de Lusignan

Vous n'y trouveriez [à Ferney] d'autre amusement que celui d'un peu de société les soirs et une petite bibliothèque, si vous aimez la lecture