Citations sur aboyer

Le chien veut mal à celui à qui il abbaye

Il lui fut advis qu'une lyce asprement courroucée abbayoit contre lui, et que parmi son abboi elle jettoit une parole humaine

Nous nous courrouceons contre les chiens qui nous abayent et contre les asnes qui nous regibbent

Parce que li quien s'engressent [s'irritent] de baier

Quoique toujours, sous son empire, L'usurpateur nous ait chassés, Nous avons laissé, sans mot dire, Aboyer tous les plus pressés

La plupart des chiens se contentent de l'aboyer [le hérisson] et ne se soucient pas de le saisir

Les autres, en abbayant leur parchemin jour et nuit, et barbotant leur breviaire, vendent leurs coquilles au peuple

Desormais travailler [il] n'ose, Abayer ne mot sonner ; On lui doit bien pardonner ; Un vieillart peut peu de chose

Aussi l'avocat qui plaidye Les causes, raisons et moyens, Pourvu qu'il ait la main garnye, Sera pour les deux aboyans

Ces compagnies ne le firent qu'abaier entre Longuive et le faubourg, à l'entrée du quel Mortemar chargea et le mesla

Moi je ne tue pas un chien qui m'aboie

Tu étais, Caton, comme un chien qui aboie contre tous les passants

Lorsque je vois ce moderne Sisyphe Nous aboyer, je trouve qu'il fait bien

Si vous voyez deux chiens qui s'aboient...

Nous avons de tous côtés des gens qui aboient après nous

Il delibera de contenter un jeune homme pauvra, son fidele ami, aboyant après les richesses

En certain abbayer du chien le cheval cognoist qu'il y a de la cholere

Ce chien se meit à abbayer contre lui tant qu'il put

Comme les chiens, quand il oent [entendent] heurter, il abaient tantost sans atendre que il aient conoissance se celui qui heurte est ami ou non

Quand avons-nous manqué d'aboyer au larron ?

Il se mit à aboyer contre Brancas sur le jansénisme

A si grand chose, com à l'empire de Constantinople, poés [vous pouvez] croire que mout i en avoit aboans et envians

Qui ne peut mordre, si abaye

Jean-Jacques.... En nouveau Diogène aboie à nos beautés