Citation de Marie
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Liste de citations - Marie - Citations Marie
Un air qui n'évoque rien, aucune image, n'apporte aucune vision, ne me sert à rien. En quelques minutes, une mélodie peut vous offrir un film, un tableau, un roman, oblitérer le quotidien, suggérer une autre vie.
Le grand n'importe quoi - Jean-Pierre Marielle
Trop souvent le même homme a différentes faces.
Nathan le Sage, Acte III, Scène 5 - Marie-Joseph Chénier
Figure-toi, que j’apprends la chimie dans un livre ! Tu imagines le peu que cela m’apporte, mais que faire, puisque je n’ai pas où faire des travaux pratiques et des expériences.
Cite Eve Curie, dans Madame Curie, Gallimard, 1938. - Marie Curie
Je désire élever mes enfants le mieux possible, mais même elles ne peuvent réveiller la vie en moi. Elles sont toutes les deux bonnes, gentilles et assez jolies. Je fais de grands efforts pour qu'elles deviennent solides et bien portantes.
Lettres de Marie Curie - Marie Curie
Je crois au paradoxe antique Qu'ont enseigné les sages du Portique : Fous et pervers sont nés proches parents.
Discours sur la raison - Marie-Joseph Chénier
C'est le bon sens, la raison qui fait tout : Vertu, génie, esprit, talent et goût.
Discours sur la raison - Marie-Joseph Chénier
Le goût n'est rien qu'un bon sens délicat.
Discours sur la raison - Marie-Joseph Chénier
Laissez-moi ; la douleur veut être solitaire.
Jean Calas - Marie-Joseph Chénier
Je puis vous épargner un crime. Vous êtes tous d'accord : moi, seul de mon côté, Seul. .. avec la justice, avec l'humanité, J'ose vous conjurer, mes compagnons, mes frères, Vous au nom de vos fils, vous au nom de vos pères, Et tous au nom du ciel que vous croyez venger, De différer encor le moment de juger, De ne point prononcer, de peser, de suspendre L'irrévocable arrêt que vous prétendez rendre. Si l'on exécutait cet arrêt odieux, Si bientôt l'innocence éclatait à vos yeux, Quel attentat ! Pour vous quel avenir horrible ! Verra-t-on, dites-moi, dans ce moment terrible, L'innocent expiré sous le fer d'un bourreau Sortir à votre voix de la nuit du tombeau ? Anéantirez-vous son trépas, son supplice ? Chacun de vous alors, pour n'être pas complice, Pour n'avoir pas trempé dans l'arrêt inhumain, Voudrait donner son sang, et le voudrait en vain. Oh ! ne soyez point sourds à ma voix qui vous prie ; Songez bien qu'il y va d'un homme et de sa vie, Que vous vous préparez les tourmens du remord, Qu'il ne sera plus temps de retarder sa mort, Plus temps de réparer un crime irréparable, Mais qu'il est toujours temps de punir un coupable.
Jean Calas - Marie-Joseph Chénier
Il était plus frappé en elle par la femme physique que par la femme morale. Mais rien ne ment moins que le corps.
Une liaison parisienne - Marie Claire Blais
Il vaut mieux vivre avec un fou comme moi qu'avec une âme médiocre et c'est vers la médiocrité que tu cours.
Le loup - Marie Claire Blais
Ceux que j’aimais de façon immanquable, suivaient tous le même rituel à travers mes perplexités intérieures, mais il fallait, pour qu’à chaque fois le processus puisse se renouveler sans que je l’anticipe, que la personne sur laquelle j’avais fixé mon sentiment, me paraisse toujours nouvelle, qu’elle semble écraser de son simple nom couché une pléiade d’antécédents bavards et divers, qu’elle les enterre, tous.
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
Elle savait tout, elle pensait tout, elle captait tout ; elle vous avalait et puis je l’adorais, elle avait une place bénite dans un tréfonds de mon esprit, l’abyssale clairière, mon épouse au second degré, ma choseline claire, aux philtres d’été, mon oileau d’onde… Des fois, elle me disait l’important c’était quoi – « l’amour ».
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
Je l’aimais toujours autant, toujours beaucoup, avec du débordement. Vous vivez dans une absolue procuration, vous n’êtes qu’un parallèle, un pâme dièdre d’autrui, le bonheur a pris les traits d’une seule personne. Et on se trouve un matin, méchanceté d’attaque, et cruauté sur pied. On entrevoyait le malheur. La perversité, assez gratinée, montrait du caractère, se serrait les coudes. Tout s'ébranlait dans un conflit mauve.
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
J’étais résigné à penser que le bonheur était un animal solitaire, dans les bois, qu’il était bon de laisser vivre en paix. Je m’étais longtemps demandé ce qu’il cachait, mais je devais m’y résoudre. Le bonheur ne cachait rien.
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
Ainsi jouais-je, avec des nuances qui appartenaient qu’à moi, toute une partition du malheur, qui allait du dégoût au mépris et jusqu’au sanglot, un orchestre riche de variations, de finesses mais dont le son était répétitif, monotone et pas tellement gracieux.
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
Nous étions donc condamnés à rencontrer des personnes, et à ne plus jamais les revoir ? Il faudrait donc toujours mourir. Mourir, mourir. C’était ça : il faudrait mourir.
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
Et, bien sûr, mieux je m’habillais, plus je tentais d’apparaître beau, élégant, désirable, plus je m’enlaidissais, plus mes traits perdaient leur union d’étendard, leur unité presque héraldique.
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
Je couvais mon aigreur, mon envie, mes haines, je les soignais, je les sauvais de leurs blessures, je les dorlotais, je les promenais en badinant, dans le creux de mes bras, je les avais engendrées, nourries, éduquées, je les amusais et les entretenais, je les levais le matin sous leurs couvertures, dans leurs draps sales, et je les bordais le soir, très vicieuses et sanguines, échaudées, tellement échaudées, comme autant d’astronautes en partance pour la Lune : « bonne nuit. ».
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
Les rayons du soleil changeaient, glissaient en diagonale sur les toits, décrivaient des trajectoires compliquées comme dans ce jeu où une petite bille doit réussir un parcours à travers un carré de bois piqué de trous noirs, les gouffres des puces. Les rayons volatils s’évadaient vers leur repos et leur démolition, mais gardaient une luminosité d’été ; certains, les plus prétentieux, les princes parmi les cieux, restaient illuminer les airs mais d’autres, plus aimables, descendaient sur les villes dorer les rues.
Du temps qu'on existait - Marien Defalvard
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